background preloader

Féminisme

Facebook Twitter

L'autodéfense mentale pour les femmes : prévenir les agressions et riposter. Le livre Notre corps, nous-mêmes : écrit par des femmes, pour les femmes a été rédigé par un collectif de femmes : Thyna Akeno, Nana Kinski, Mathilde Blézat, Naïké Desquesnes, Mounia El Kotni, Nina Faure, Hélène de Gunzbourg, Marie Hermann et Yéléna Perret.

L'autodéfense mentale pour les femmes : prévenir les agressions et riposter

Dans cet ouvrage, les autrices consacrent un chapitre à l’autodéfense mentale que les femmes peuvent cultiver pour faire face aux agressions dont elles sont victimes. Se donner le droit à la colère en tant que femme Les autrices rappellent que les femmes doivent se (re)donner le droit à la colère. Elles écrivent que, pour prévenir les agressions, mais aussi pour les stopper quand elles ont lieu, il faut faire sauter les verrous de la colère féminine. Si les hommes avaient peur que les femmes défendent avec fermeté leurs limites et n’hésitent pas à leur faire mal, ils seraient sans doute moins enclins à la violence tant mentale que physique.

Savoir identifier une agression. La Pensée straight. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Pensée straight

La Pensée straight est un recueil d'articles féministes de Monique Wittig paru d'abord en anglais en 1992, puis en 2001 en français. Wittig a présenté l'essai The Straight Mind dont le livre tire son titre dans un discours à Barnard College en avril 1979[1],[2] paru en français en 1980[3]. Table des matières[modifier | modifier le code] Résumé[modifier | modifier le code] Un système politique. Le terme désigne, par extension, un système politique. Public et privé: des rapports déterminés par avance. Ces deux concepts (la différence entre les sexes et l'hétéro-sexualité) constitutifs de l'hétérosexualité comme système politique (la pensée straight pour reprendre les mots de Wittig) conditionnent les rapports entre les individus dans la sphère privée et la sphère publique (deux notions également constitutives de la pensée straight qui fonctionnent sur un mode binaire. L'hétérosexualité comme destin. Dépasser la pensée straight. Manon Garcia, spécialiste des questions féministes : «Le mot consentir sous-entend une forme de passivité»

Manon Garcia a soutenu en juin sa thèse Consentir à sa soumission.

Manon Garcia, spécialiste des questions féministes : «Le mot consentir sous-entend une forme de passivité»

Un problème philosophique.Actuellement chercheuse en philosophie à l’université Harvard, elle estime que la conception tacite du consentement est inopérante dans le domaine sexuel. Ne serait-il pas plus pertinent d’adopter un discours volontaire et conscient du désir et de la volonté ? Une façon plus égalitaire de séduire et coucher ? A Lire aussi. L'expérience d'être une femme, c'est l'expérience de se soumettre aux hommes. Manon Garcia est philosophe, enseignante et chercheuse à l'université de Chicago, diplômée de l'Ecole normale supérieure.

L'expérience d'être une femme, c'est l'expérience de se soumettre aux hommes

Elle vient de publier "On ne naît pas soumise, on le devient", un essai philosophique qui tente de comprendre la situation de soumission des femmes au patriarcat, malgré les progrès de la loi et des usages. Nous l'avons rencontrée à l'occasion d'un "Hashtag" sur le premier anniversaire du mouvement Me Too. Écouter 27 min "L'expérience d'être une femme, c'est l'expérience de se soumettre aux hommes", interview intégrale avec Manon Garcia, philosophe Pourquoi avoir écrit ce livre ?

J’essaye de montrer qu'il est important de réfléchir à ce que signifie se soumettre aux hommes quand on est une femme : comprendre que la soumission n’est pas un phénomène hors du commun réservé à certaines femmes différentes de nous. En fait, l’expérience d’être une femme, c’est l’expérience de se soumettre aux hommes. Inégalité des sexes. Domination masculine.

Ecoféminisme

L'éthique du care. Feminism. Jordan Peterson. Féminisation des mots. Philosophie du langage. Livres. Podcasts. Féminisme essentialiste. La sorcière, l’icône haïssable. «Inutile d’adhérer à Witch.

La sorcière, l’icône haïssable

Si vous êtes une femme et que vous osez regarder à l’intérieur de vous-même, alors vous êtes une sorcière. » En 1968, tel était le manifeste de Women’s International Terrorist Conspiracy from Hell, ou comment la figure de la sorcière, ayant subi toutes les tortures inimaginables, sexuelles et cruelles, de la part du pouvoir des hommes, comment cette figure honnie est devenue l’emblème d’une certaine idée du féminisme, soit une femme d’envergure avant qu’elle n’ait le droit de l’être. Aujourd’hui, les hashtags la commémorant pullulent sur les réseaux sociaux. D’ailleurs, toutes celles qui s’aventurent sur les rives de l’ambition et de la liberté d’expression font généralement très vite les frais de cette même diabolisation. Dans Sorcières. La puissance invaincue des femmes (Zones, 2018), Mona Chollet revient sur ces têtes féminines qui dépassent, souvent brûlées ou noyées, lors de chasses aux sorcières délirantes, aux XVIe et XVIIe siècles.