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Ecoféminisme

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L'écoféminisme, quand justice environnementale et féminisme s'entremêlent. Le mot a vu le jour dans le courant des années 70, mais le mouvement est né dans les années 80.

L'écoféminisme, quand justice environnementale et féminisme s'entremêlent

Aujourd'hui, il est plus que jamais d'actualité, d'après l’écoféminisme, la domination sur la terre est liée à l’oppression subie par les femmes. Invitée du jour Myriam Bahaffou, doctorante en philosophie et en étude de genre, et antispéciste, autrice d’un mémoire intitulé « Les plaisirs de la chair : le véganisme éclairé renouveau radical du féminisme moderne » soutenu en 2018, et en cours d’écriture d’une thèse sur l’écoféminisme. L'écoféminisme est un mot inventé en 1974 par Françoise D’Eaubonne qui a eu davantage d'échos aux Etats-Unis qu'en France.

Ecoféminisme, 2ème volet : Retrouver la terre (22) Elles ont construit des cabanes et réparé des tracteurs seules, entre femmes.

Ecoféminisme, 2ème volet : Retrouver la terre (22)

Elles ont appris à reconnaitre les plantes, à cultiver des légumes, à élever des chèvres. Elles ont vécu en pleine nature, sans eau ni électricité, pendant des années. Ecoféminisme, 1er volet : Défendre nos territoires (21) Comment articuler féminisme et écologie ?

Ecoféminisme, 1er volet : Défendre nos territoires (21)

Quel rapport entre la destruction de la planète et les violences faites aux femmes ? Entre l'énergie nucléaire et le féminisme ? Entre les grands chantiers extractivistes en Amérique latine et les corps des femmes ? Entre les semences et le genre? Entre le retour à la terre et le patriarcat ? Textes :- « L’émerveillement nocturne », Pattie O’Green- « Rêver l'obscur », Starhawk- « Un thé dans la toundra », Joséphine Bacon.

L’écoféminisme, d’où ça vient? L'écoféminisme, ou comment se reconnecter au monde. L'écoféminisme, c'est quoi au juste ? Avec l'écoféminisme, l'avenir des femmes et de la planète n'a jamais été aussi lié. L’écoféminisme, contre l’organisation sexiste de la société et la destruction de l’environnement. Histoire d’une notion.

L’écoféminisme, contre l’organisation sexiste de la société et la destruction de l’environnement

Lors des récentes marches pour le climat, d’étranges pancartes ont surgi dans les rues de France. « Pubis et forêts, arrêtons de tout raser » ; « Ma planète, ma chatte, sauvons les zones humides », proclamaient-elles. Des slogans relevant à la fois de l’écologie et du féminisme – autrement dit : de l’écoféminisme, un mot-valise qui s’invite de plus en plus fréquemment dans le débat des idées politiques. Des intellectuel(le)s de premier ordre s’en réclament, des manifestations sont menées en son nom, des ouvrages entiers lui sont consacrés. Cinq questions sur l’écoféminisme. Né dans les années 1970, l’écoféminisme refait surface dans un contexte d’urgence climatique.

Cinq questions sur l’écoféminisme

On essaie de vous en présenter l’héritage et les ambiguïtés, à la suite de plusieurs conférences organisées ces dernières semaines sur le sujet. « En France, en Europe, les jeunes, et en particulier les jeunes femmes, se lèvent pour le climat. Nous assistons aux funérailles de l’ancien modèle », jubilait, le 21 février dernier à Paris Vandana Shiva, face à l’assistance féminine, et engagée pour l’action climatique, de la conférence Women4Climate.

Le lendemain, sur une place de la République baignée d'un franc soleil et d’une douceur anormale pour la saison, la militante indienne anti-OGM et figure internationale de l’écoféminisme se tenait en retrait, fièrement, tandis qu’une poignée de jeunes femmes, la Suédoise Greta Thunberg en tête, exposaient aux journalistes les raisons de la grève scolaire pour le climat. Emilie Hache : « Pour les écoféministes, destruction de la nature et oppression des femmes sont liées » Émilie Hache est maîtresse de conférence au département de philosophie de l’université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense. Spécialiste en philosophie pragmatique et en écologie politique, elle est l’auteure de l’essai Ce à quoi nous tenons. Propositions pour une écologie pragmatique. Elle publie cet automne Reclaim, un recueil de textes écoféministes (éd.

Cambourakis). Expliquez-moi l’écoféminisme. Les théories écoféministes L’écoféminisme recouvre une très grande diversité d’idées, on peut le voir comme une constellation d’approches très distinctes qui se recoupent ou non.

Expliquez-moi l’écoféminisme

Il n’y a donc pas de pensée unique ou unifiée mais différentes perspectives écoféministes. « L’écoféminisme se réfère à une pluralité de positions. La raison tient à ce qu’il n’existe pas plus un seul écoféminisme qu’il n’existe un seul féminisme. Les positions écoféministes sont aussi diverses que les féminismes desquels elles tirent leur force et leur signification. » – Karen J. Écoféminisme. L'écrivaine féministe indienne Vandana Shiva est l'une des figures de l'écoféminisme.

Écoféminisme

L’écoféminisme est un courant philosophique, éthique[1] et politique né de la conjonction des pensées féministes et écologistes. Origine du terme[modifier | modifier le code] Le terme « écoféminisme » est la contraction des mots « écologie » et « féminisme ». On considère généralement qu'il a été utilisé pour la première fois en 1974 par Françoise d'Eaubonne, féministe française, dans son ouvrage Le féminisme ou la mort[4],[5], quoiqu'Émilie Hache note qu'il est possible que le terme ait été inventé par plusieurs personnes au même moment[6]. L’écrivaine Janet Biehl affirme quant à elle que ce serait Murray Bookchin qui aurait inventé ce concept pour parler des conférences données par Ynestra King à l’Institut d’Écologie Sociale durant les années 1970[7].

Histoire[modifier | modifier le code] Origines (1960-1980)[modifier | modifier le code] Développement (1980-2000)[modifier | modifier le code] Douglas A.