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Projet Village Marie

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4 blogs à suivre pour penser éthique et écoresponsable. Pas toujours facile de trouver des informations quand on aspire à un mode de vie écoresponsable.

4 blogs à suivre pour penser éthique et écoresponsable

Parce que si vous avez bien compris l’intérêt et l’urgence de changer vos comportements, il reste à trouver comment faire. Comment concrètement s’habiller éthique / réduire ses déchets / passer à la cosmétique bio ? Devant autant de questions et d’habitudes à modifier on ne sait souvent pas par quoi commencer. Et bien la première chose à faire c’est déjà de bien vous entourer ! Alors on remplit son feed instagram et ses favoris internet de personnes positives et inspirantes. Le blog de Céline alias Iznowgood Le blog Iznowgood, c’est un peu le saut dans le vide de Céline comme elle le dit lui-même. La beauté écoresponsable de Peau Neuve Si vous adorez doser, mélanger et créer vos propres produits de beauté foncez sur le blog de Peau Neuve. Bloomers : le couple qui démocratise la mode éthique On parle de tout sur Take it green Derrière Take It Green on retrouve Asmae.

Sans A_ - Rendre Visibles les Invisibles. LES MAINS BALADEUSES - Portraits de mains d'artisans tripoteurs. Écoféminisme : Écologie et droits des femmes, même combat ? En cette journée de lutte pour les droits des femmes, et alors que les mobilisations pour le climat agitent l'Europe, l'écoféminisme est d'actualité (Crédit : Shutterstock) "Plus je lis sur la crise climatique, plus je réalise à quel point le féminisme est crucial.

Écoféminisme : Écologie et droits des femmes, même combat ?

Nous ne pouvons pas vivre dans un monde durable, à moins que tous les genres et les personnes soient traitées de façon égale. " Voilà ce qu'a tweeté Greta Thunberg au matin de ce 8 mars, Journée internationale des droits des femmes. Depuis le mois d'août, la Suédoise de 16 ans et son combat pour le climat trouvent un écho international. En Belgique, c'est Anuna De Wever, 17 ans, qui s'illustre. Entre 1981 et 2000, la base de la Royal Air Force de Greenham Common a été occupée par 30 000 militantes pour lutter contre l'installation de missiles nucléaires. À la même époque, de l'autre côté de l'Atlantique, le plus grand camp écoféministe de l'histoire voit le jour à Greenham Common, en Angleterre (voir photo ci-dessus). L'écologie, ce truc de filles : quand sauver le monde n'est pas assez viril.

De plus en plus d’études montrent que le développement durable intéresse et mobilise surtout les femmes.

L'écologie, ce truc de filles : quand sauver le monde n'est pas assez viril

Alors, le développement durable est-il condamné à être un « truc de fille » ? On sait qu’en matière d’emploi, d’intérêt ou de passions, les différences de genre marquent des spécificités importantes. Souvent l’éducation des filles et des garçons, ainsi que les stéréotypes qui les entourent dans la société les orientent vers certaines filières professionnelles ou vers certains centres d’intérêt. Mais le développement durable, sur le papier, devrait intéresser tout le monde : l’avenir des sociétés humaines est en jeu, tous les pans de l’économie sont affectés, tout cela a un impact sur tout le monde, garçons ou fille.

Pourtant, dans la pratique, on observe une grande différence entre la façon dont les femmes et les hommes appréhendent et perçoivent le développement durable, l’écologie et les problématiques environnementales. Le développement durable : pas assez viril ? Comment l'impératif écologique aliène les femmes. Temps de lecture: 9 min Il m'arrive quelques fois, quand je suis en train de fabriquer mon déodorant, de la poudre pour le lave-vaisselle ou bien de la brioche, de vivre une sorte d'expérience extracorporelle très ambivalente.

Comment l'impératif écologique aliène les femmes

Produire moi-même toutes ces choses que je pourrais acheter toutes faites à moins de cinq minutes à pied de chez moi me procure à la fois une intense satisfaction de type «C'est moi qui l'ai fait, et en plus c'est complètement écolo! Fuck le capitalisme!» Suivie d'une vertigineuse remise en question de mon engagement féministe. Comment puis-je être là, courbée et suante dans ma cuisine, à pétrir de la pâte, à mesurer du percarbonate de soude ou à faire fondre de la cire d'abeille, tandis que l'homme avec qui je vis depuis plusieurs années est vautré sur le canapé devant une série, parce que le sort de la planète me préoccupe davantage que lui?

Les enjeux environnementaux En somme, elle n'est pas liée au sexe, mais au genre. En première ligne La «nouvelle domesticité»