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Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique

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Point de vue des médecin (flux rss) Sitographie. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. About @ddict ? Un MOOC collaboratif sur nos usages du numérique. Le numérique est désormais partout.

About @ddict ? Un MOOC collaboratif sur nos usages du numérique.

Pouvons-nous nous passer des écrans ? Sommes-nous addicts au numérique ? Comment bien vivre avec Internet ? Ce MOOC pluridisciplinaire et ouvert à tous permettra d'échanger sur nos usages du numérique et leurs conséquences dans nos vies. Ce MOOC permettra de mieux comprendre les différents usages associés aux mondes numériques, notamment les usages à risque et les addictions.

Il s'agit avant tout d'un espace de partage et de réflexions autour des pratiques du numérique. Les technologies de l’information et de la communication sont variées (smartphone, ordinateur...), de même que les applications (bureautique, jeux vidéos) et les réseaux associés (Google, Facebook...) amenant des usages d’une grande variété. Notre objectif est de construire un dialogue entre participants du MOOC et chercheurs, portant sur nos usages et pratiques du numérique, que ceux-ci soient ludiques, excessifs, passionnants, à risque, distrayants, addictifs, etc. Les comportement addictifs liés à l'usage du numérique. Sitographie. Pouce ! Mieux vivre avec le numérique. Un salarié sur trois souffre du stress de l’e-mail, du mobile, voire des réseaux sociaux.

Pouce ! Mieux vivre avec le numérique

Deux salariés sur trois roulent en lisant leurs SMS. Trois salariés sur trois sont utilisateurs (pro ou perso) du 3.0 ou parents de Y. Le numérique professionnel nous occupe plus de 4h30 par jour. Le nombre de cartes SIM actives dépasse celui du nombre de français… « Prenant acte de l’intérêt des nouveaux outils, mais aussi des risques qu’ils induisent au regard des conduites addictives, Thierry Le Fur nous invite à identifier les conditions d’un usage adapté », indique en préface Jean-Pierre Couteron.

Préface de Jean-Pierre Couteron, psychologue clinicien et président de la Fédération Addiction Introduction – Vive le numérique ; vive la vie I – Bénéficier d’une éducation numérique II – Identifier les usages problématiques et agir III – Comprendre les comportements numériques addictifs Un outil préventif pour soi et les autres, pour comprendre et agir : la « Spirale des 9 C » Note concernant sitographie.

Blogs de psychologues

« Journée sans Facebook » : peut on parler d’addiction aux nouvelles technologies. L’initiative de la « journée sans Facebook » est un indice, parmi d’autres, d’une préoccupation grandissante autour des effets de l’usage abondant de certains services ou outils numériques.

« Journée sans Facebook » : peut on parler d’addiction aux nouvelles technologies

Le succès actuel de la notion de « binge watching » qui indexe la visualisation de séries télévisées sur la consommation excessive et répétée d’alcool en est un autre signe. La terminologie psychopathologique de l’addiction est aujourd'hui dans toutes les bouches : dans une enquête récente, nos interviewés se disent volontiers « addict » (à leur téléphone, à Facebook, à Twitter, aux séries TV…), de nombreux articles de presse fleurissent sur le sujet, des robinsonnades qui vantent les mérites de quelques mois « sans » ( internet, mobile, …) paraissent dans plusieurs pays (dont « J’ai débranché, Comment revivre sans Internet après une overdose », de Thierry Crouzet), et des études quantitatives mesurent désormais combien de français se déclarent « dépendants ». Sitographie. Dépendance à Internet.

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La. Nomophobie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Nomophobie

La nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot a été inventé au cours d'une étude menée en février 2008 par la UK Post Office qui accrédita YouGov, une organisation de recherche basée au Royaume-Uni, pour observer les angoisses subies par les utilisateurs de téléphones mobiles[1]. Le terme est un mot-valise construit par contraction de l'expression anglaise « no mobile-phone phobia »[2] et désigne alors la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile[3],[4],[5].

Michael Quinion (en) décrit ce néologisme comme une « affreuse chimère étymologique partiellement construite sur le grec ancien », et observe que le sens le plus logique à associer au terme « nomophobie » devrait être celui de « peur excessive des lois », considérant que le grec ancien nomos signifie « loi »[6]. Dépendance au smartphone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dépendance au smartphone

La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît entre 2000 et 2010 avec la large diffusion de l'IPhone puis d'autres types de smartphones. Il relève, au moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1]. Il peut ajouter à la dépendance au téléphone et à l'information disponible sur l'Internet une autre dépendance, à certains des réseaux sociaux qui se sont développés grâce à l'internet.

Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. §Histoire[modifier | modifier le code] Dépendance au jeu vidéo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dépendance au jeu vidéo

La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives.

Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication.