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Unnamed pearl

Unnamed pearl
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot a été inventé au cours d'une étude menée en février 2008 par la UK Post Office qui accrédita YouGov, une organisation de recherche basée au Royaume-Uni, pour observer les angoisses subies par les utilisateurs de téléphones mobiles[1]. Le terme est un mot-valise construit par contraction de l'expression anglaise « no mobile-phone phobia »[2] et désigne alors la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile[3],[4],[5]. Michael Quinion (en) décrit ce néologisme comme une « affreuse chimère étymologique partiellement construite sur le grec ancien », et observe que le sens le plus logique à associer au terme « nomophobie » devrait être celui de « peur excessive des lois », considérant que le grec ancien nomos signifie « loi »[6]. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Êtes-vous nomophobe ? Related:  Dangers et dérives

Enfants et tablettes : Attention danger Les crayons de coloriage, pastels et autre pots de peinture étaient l’apanage des enfants il y a encore quelques années. Aujourd’hui la tendance chez les porteurs de couche-culotte est au numérique ! Une étude menée récemment par Common Sense Media a révélé que 38% des moins de deux ans utilisaient des appareils mobiles en 2013 contre seulement 10% en 2011. Le phénomène est tel que des tablettes numériques spécialement conçues pour les enfants ont vu le jour. Si les parents sont ravis de voir leurs bambins se familiariser si tôt avec la technologie du futur, il n’en reste pas moins que ces objets ne leur veulent pas que du bien. En effet, les tablettes et autres smartphones nuiraient au développement musculaire des enfants. « S’ils sont toujours sur l’iPad et qu’ils ne s’amusent pas avec des crayons et du papier, leurs muscles vont s’affaiblir. A la fonte musculaire dangereuse qui guette les enfants accros aux nouvelles technologies, s’ajoutent des douleurs au niveau du cou et du dos.

Dépendance au jeu vidéo Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives. Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication.

Sitographie, commentaire. Les jeunes et le Web2.0 Férus de réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, Snapchat, Google+, Netlog, Twitter, Tumblr, Pinterest, Flickr, etc., les jeunes y consacrent beaucoup de temps.80 % d’entre eux se rendent sur les réseaux sociaux tous les jours ou plusieurs fois par semaine (étude JAMES 2016). Les réseaux sociaux appartiennent à la génération du Web 2.0. Autrement dit, à la différence de l’Internet traditionnel, l’utilisateur n’est pas seulement consommateur, mais aussi acteur, puisqu’il crée du contenu (textes, vidéos ou photos). 94 % des jeunes ont un profil Les réseaux sociaux sont particulièrement appréciés parce qu’ils permettent de nouer des contacts aux quatre coins de la planète, de trouver des personnes partageant ses intérêts et de communiquer avec elles en temps réel.

Dépendance au smartphone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît entre 2000 et 2010 avec la large diffusion de l'IPhone puis d'autres types de smartphones. Il relève, au moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1]. Il peut ajouter à la dépendance au téléphone et à l'information disponible sur l'Internet une autre dépendance, à certains des réseaux sociaux qui se sont développés grâce à l'internet. Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. §Histoire[modifier | modifier le code] Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie[8]. §Le cas de l'Asie[modifier | modifier le code] §Constats et enjeux[modifier | modifier le code] §Différences homme-femme[modifier | modifier le code] 1. 2.

Définition et typologie de la cyberdépendance Définition et typologie de la cyberdépendance Désignant, à l’origine, toute dépendance à l’ordinateur, ou plus largement à l’univers informatique, ce terme est aujourd’hui utilisé principalement pour désigner une dépendance qui s'instaure chez une personne faisant un usage distordu des moyens de communication offerts par Internet. Cette personne est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d’y établir une communication, d’ y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Elle éprouve une anxiété désorganisatrice si elle ne peut pas se connecter, et sa vie personnelle et sociale s'organise autour de la connexion. À l'image d'une toxicodépendance, le cyberdépendant manifeste un phénomène de manque et peut recourir au mensonge pour réduire l'importance de son addiction. La typologie de la cyberdépendance décline 4 quatre types majeurs : Extrait du livre "cyberdépendance en 60 question" de Jean-Charles Nayebi, RETZ, Paris.

L'hyperconnexion, source de stress Professeur à l'ESCP Europe et auteur du livre «Le Culte de l'urgence», la sociologue Nicole Aubert décrypte ce nouveau mal généré par la place grandissante d'Internet dans notre société. Le Figaro Magazine - Quand parle-t-on d'hyperconnexion ? Nicole Aubert Quand le temps consacré à internet est excessif par rapport aux autres activités. Quelles en sont les conséquences? L'hyperconnecté est dans une logique d'instantanéité. Que faire pour y échapper? Il existe des stratégies de déconnexion, mais elles reposent sur un arbitrage personnel. Le tableau est-il si noir ? Non, les connexions intermittentes présentent également un côté positif.

Dans cet article, on aborde la Dépendance à internet... Focus : Les Français et l'Hyperconnexion A l’heure où la loi interdisant les téléphones portables à l’école et dans les collèges vient d’être présentée à l’Assemblée Nationale, la Fondation APRIL a souhaité s’intéresser aux Français et à leur rapport aux outils connectés. Qu’elle soit assumée ou subie, l’hyperconnexion semble bel et bien être devenue la norme pour une grande majorité d’entre nous… Combien de temps les Français passent-ils devant leurs écrans ? Ces questions sont au cœur de ce baromètre « Hyper connexion : quel impact sur la santé des Français ? Des Français surexposés et suréquipés Premier enseignement de ce baromètre : 72 % des Français pensent qu’il serait bénéfique pour leur santé et leur bien-être de limiter le temps de connexion sur les écrans. Smartphone, tablette, ordinateur portable ou fixe… 42 % des Français possèdent 3 écrans ou plus par personne et par foyer et zappent facilement d’un outil à l’autre ; les moins équipés étant les seniors (à seulement 11 %), avec un seul écran. Méthodologie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

L’hyperconnectivité, nocive pour la santé? Continuer de répondre à ses courriels professionnels à l’extérieur des heures de travail serait-il nocif pour la santé? Le phénomène demeure trop récent et encore mal cerné pour poser des diagnostics, mais soulève déjà des inquiétudes. Mario Messier a été hyperconnecté avant même l’arrivée du cellulaire. Lorsqu’il était médecin à l’urgence de l’hôpital de Granby, durant les années 1980, il pouvait se faire réveiller chez lui en pleine nuit lorsque la vie d’un patient était en jeu. En revanche, il se souvient que lui et ses collègues savaient dans quoi ils s’embarquaient. De quoi préoccuper le médecin désormais spécialisé en matière de prévention en milieu de travail. Des répercussions physiques et psychologiques Mais quelles sont les répercussions de l’hyperconnexion sur la santé? Les répercussions de l’hyperconnexion sur la santé mentale demeurent pour l’instant plus floues, mais non moins préoccupantes. Déséquilibre dans les ressources M. Stress Exposition permanente

Hyperconnexion : définition et dangers pour la santé On parle d’hyperconnexion digitale ou numérique quand on reste connecté plus de trois heures par jour à Internet. L’apparition du smartphone à la fin des années 2000 a fait exploser le phénomène, surtout chez les jeunes. Souvent méconnus, les effets d’une exposition prolongée aux écrans sur la santé sont pourtant nombreux. Un Français sur deux pense que l’exposition aux écrans n’a aucun impact sur sa santé en général, selon une étude menée par la Fondation April et BVA. L’hyperconnexion nuit à la qualité du sommeil Les écrans (smartphones, tablettes, ordinateur portable) se glissent de plus en plus dans nos lits, juste avant le coucher. La surexposition aux écrans avant le coucher est d’autant plus dangereuse chez les enfants et adolescents car elle "nuit à la production de l’hormone de croissance Hgh et pourrait donc ralentir la croissance", prévient notre expert. L’hyperconnexion favorise l’obésité et les maladies cardiovasculaires L’hyperconnexion favorise la sédentarité À voir aussi

Bonjour,

Je suis ravie de découvrir ton pearltree car je n'avais au cours de mes propres recherches pas découvert ce terme. Il est extrêmement intéressant de constater tous les versants que recouvrent les problèmes d'une addiction au numérique, et la peur de perdre son portable et donc de ne plus être connecté en fait partie. cela me fait penser au livre écrit par une de mes amie, véronique Puech, qui avançait l'idée les portables étaient comme des "doudous". Voici le lien de son livre au cas où cela intéresserait quelqu'un :
by isabelle_groupe3_psy Apr 6

Bonjour,
Je trouve cet article très intèréssant et ta question Elisabeth entre le lien et l'addiction pertinente dés l'instant où il y a peur de la "séparation", il y a addiction, dans le cas de la nomophobie en tout cas. Je suis d'accord avec David.

Bonne journée.

Audrey by combault_groupe2_psy Apr 4

Je parlais juste de cet article pas de ton pearltress pardon de ton pearltrees (lapsus révélateur :-)) …et cette nomophobie est peut-être un nouveau symptôme de l'addiction au numérique ?
Concernant ton Pearltress je te rassure il est vraiment bien documenté. Cordialement Elisabeth. by guillet_groupe2_psy Mar 24

je vois maintenant excuse moi je suis déphaser:-). pour moi si il y a phobie comme dans la nomophobie et que le moyen d'aller mieux c l'addiction alors oui il y a un liens... by david_boum_groupe1_psy Mar 24

je vois pas où tu veux en venir? tu parles en général ou pour le thème de mon pearltrees? by david_boum_groupe1_psy Mar 24

Merci pour cet article je ne connaissais pars le terme…je serai plus savante. Mais est ce que tu fais un lien entre phobie et addiction ? Elisabeth by guillet_groupe2_psy Mar 24

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