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Peut-on parler d’addiction aux nouvelles technologies

Peut-on parler d’addiction aux nouvelles technologies
L’initiative de la « journée sans Facebook » est un indice, parmi d’autres, d’une préoccupation grandissante autour des effets de l’usage abondant de certains services ou outils numériques. Le succès actuel de la notion de « binge watching » qui indexe la visualisation de séries télévisées sur la consommation excessive et répétée d’alcool en est un autre signe. La terminologie psychopathologique de l’addiction est aujourd'hui dans toutes les bouches : dans une enquête récente, nos interviewés se disent volontiers « addict » (à leur téléphone, à Facebook, à Twitter, aux séries TV…), de nombreux articles de presse fleurissent sur le sujet, des robinsonnades qui vantent les mérites de quelques mois « sans » ( internet, mobile, …) paraissent dans plusieurs pays (dont « J’ai débranché, Comment revivre sans Internet après une overdose », de Thierry Crouzet), et des études quantitatives mesurent désormais combien de français se déclarent « dépendants ». Agir contre soi Méthodologie :

http://www.fftelecoms.org/articles/journee-sans-facebook-peut-parler-d-addiction-aux-nouvelles-technologies-0

Notre addiction aux nouvelles technologies illustrée en 20 posters humoristiques "La technologie a rendu nos vies beaucoup plus intéressantes et confortables mais nous a déconnectés d'une autre manière". C'est le constat fait par Ajit Johnson, doctorant à l'université d'Edimbourg, en Ecosse. Chacun peut se reconnaître Addicts aux nouvelles technologies, qui êtes-vous? Vous savez en permanence où est votre téléphone portable, ne passez pas un jour sans consulter vos e-mails ou jouer à votre jeu vidéo favori? Vous faites peut-être partie de ces nouveaux «cyber-dépendants». Mais attention, passer du temps sur un ordinateur ne fait pas de vous un drogué de la technologie.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? Mesdames, Messieurs, « Je t'aime moi non plus ». Voilà qui pourrait caractériser les relations qu'entretiennent la France et les nouveaux médias depuis quelques années. Tour à tour encensés par les thuriféraires d'une nouvelle ère numérique censée transformer nos sociétés centralisées et sclérosées en paradis technologiques, décentralisés et démocratiques, puis pourfendus par les Cassandre qui annoncent la fin de la lecture, le repli sur soi et l'enfermement mental de nos enfants décérébrés, les nouveaux médias font gloser à la fois les milieux intellectuels et politiques français, et le grand public qui s'en est rapidement emparé. Tantôt objets de haine ou d'opprobre publique, tantôt symboles d'un avenir radieux et révolutionnaire, Internet, les téléphones portables et les jeux vidéo ne sont donc pas des outils qui laissent indifférents.

L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis.

Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La Gazette de Danièle : Des idées et des Arts... Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. Numérique et comportement : Entretien avec Michel Lejoyeux Professeur de psychiatrie, de psychologie mais également spécialiste en addiction, Michel Lejoyeux nous parle de cet attrait parfois extrême que nous avons pour les nouvelles technologies. Appelée par certains addiction au numérique ou pathologie mentale, qu’en est-il réellement et comment s’en prémunir ? Spécialiste des comportements, Michel Lejoyeux est l’auteur de plusieurs ouvrages de développement personnel. ARTE : On parle aujourd’hui de l’attrait poussé pour le numérique comme d’une addiction voire d’une pathologie dans certains cas.

Je suis accro à Internet, Accros Internet. Les dangers d'Internet [ risque Internet ] Internet est présent partout aujourd’hui, mais son utilisation massive présente des risques pour la santé. Il existe plusieurs profils d’Internautes qui s’estiment très accros à Internet et ceci en fonction de leur activité principale sur le web : jeux (poker, jeux concours, etc.), jeu en réseau (Wow, Counter-Strike, etc.), chat, forum, messagerie instantanée, blog du type Skyblog, réseau social du type MySpace, Facebook, échange de vidéo du type YouTube et Dailymotion etc. Le fait de passer tout son temps libre derrière un écran à développer des relations virtuelles risque fort de porter préjudice aux rapports entretenus avec les autres dans la vraie vie car l’on consacre moins de temps à ces dernières.

Les addictions comportementales L’objectif de l’ouvrage est de présenter de façon didactique, sous forme de chapitre, les principales addictions comportementales: addictions aux achats, addiction aux jeux d’argent, cyberdépendance, troubles des conduites alimentaires, addiction au travail et addiction à l’activité physique. Chaque chapitre s’organise autour d’un même plan: définitions, repères historiques, données épidémiologiques nationales et internationales, principales approches théoriques, caractéristiques cliniques, outils d’évaluation et de diagnostic, modalités de prise en charge, axes de recherches actuels. L’introduction permet de définir et de préciser l’évolution du concept d’addiction comportementale en le distinguant des addictions aux substances psycho-actives. Chaque addiction comportementale retenue dans ce livre est exposée, décrite et discutée par un ou plusieurs enseignants-chercheurs et praticiens.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer.

GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions Introduction Le présent document présente la vision du GREA sur l’hyperconnectitivé (usage excessif des médias électroniques). Il fait suite à de nombreux échanges professionnels et s’appuie sur les résultats de la recherche en la matière. Les médias électroniques ont intégré le champ des addictions sans substance, appelé aussi «nouvelles addictions» ou «addictions comportementales». Au cours de ces dernières années sont apparues des offres de prévention et de traitement, et des spécialistes ont développé des compétences solides sur la question. C’est notamment le cas en Suisse romande, où se trouvent plusieurs centres spécialisés.

Cyberdépendance(s) - Tous addicts ? Les opinions et vues exposées dans les articles lecteurs ne reflètent pas forcément celles de la rédaction de Gameblog. C'est en lisant une news en une de Gameblog intitulée "Accro à Internet ? Vous pouvez désormais vous faire soigner" (03/09/13) que je me suis souvenu avoir écrit un article traitant de la cyberdépendance. Thierry Crouzet : Le retour du débranché LE MONDE TELEVISION | • Mis à jour le | Par Olivier Zilbertin Il s'y est remis tout doucement. Avec les gestes précautionneux et comme engourdis de celui qui remarcherait après six mois de plâtre. Désir de recommencer et crainte de chuter à nouveau mêlés.

ÉCRANS & NUMÉRIQUE : L’ADDICTION, ON EN PARLE ? L’avis du Dr Bruno Rocher, psychiatre Hôpital de jour, centre de soins ambulatoires en addictologie espace Barbara, Pôle hospitalo-universitaire psychiatrie et santé mentale du CHU de Nantes. Que pouvez-vous nous dire sur l’addiction, et plus particulièrement l’addiction aux écrans ? Est-ce une addiction qui diffère des autres ? Non, l’addictologie aux écrans rejoint l’addiction en général. Addictions : faut-il se méfier des smartphones ? Dans la rue, à l'école, au cinéma, au sport, au lit,... Les smartphones sont partout et consultés parfois à outrance, pouvant entraîner des comportements addictifs. Les adolescents sont particulièrement concernés. La plupart d'entre eux ne peuvent plus s'en passer, accros, certains deviennent de véritables zombies du numérique. Par Amel Hebbali, avec AFP

Bonjour, Cet article est très intéressant dans la mesure où le titre "journée sans Facebook" résonne en chacun de nous. Il nous renvoie à une prise de conscience de notre utilisation. Reconnaissance du problème et auto-discipline pour y remédier afin de pouvoir se reconnecter à notre vie intérieure... Est ce que nous pourrions envisager de nous donner de la valeur sans avoir à passer systématiquement par la validation d'autrui? Merci pour ce partage d'article. Cordialement, Emilie B by brissaud_groupeb_psy Mar 1

Bonjour, Je trouve l'article intéressant, après je penses qu'il est important de savoir mettre de la distance face aux réseaux sociaux et s'en servir intelligemment. Se demander si il est vraiment utile d'y aller tous les jours ? et quels liens ont souhaitent avoir avec les gens par ces biais ? Le sujet reste très vaste au vu de l'évolution du web. Bonne journée. Marion by chevrier_groupec_psy Feb 15

Bonjour, je te rejoins sur ton pearltrees. Bonne journée Jennifer by didelon_groupeb_psy Mar 7

Bonjour, Je rejoins Eliska sur ce point et je suis toujours étonnée de voir l'ampleur du phénomène facebook et la place que cela prend dans la vie des gens. Je pense qu'il faut s’interroger sur les nouvelles valeurs que véhiculent notre société et pourquoi tant de personnes donnent la primauté à l’alimentation d'une vie amicale virtuelle et surtout "publique". Je pense, en autres, peut être à un besoin de reconnaissance. Stéphanie by stefwebaddict Mar 6

Bonsoir, Pour ma part, je fais partie des derniers résistants à facebook, twitter et compagnie... Je ne m'en sers pas et je me porte bien :) Je trouve qu'une boite mail est déjà bien trop envahissante et voir ses amis en vrai c'est quand même mieux! by eliska_groupec_psy Mar 5

Bonsoir à tous, Pareille pour moi, la journée sans facebook se fait tous les jours, rajouter à cela twitter, snapchat et compagnies (à part Skype et Whatsapp) ... Après je ne dis pas que je suis mieux que les autres car j'ai mes propres addictions (je suis une sériephile qui a besoin de regarder au moins 4 épisodes chaque soir avant de se coucher !!!) Mais il faut éviter les excès : - perdre des ami(e)s car on ne les ''follow'' pas sur le net et qu'ils te disent qu'ils trouvent ça bizarre voir ''antisocial'' notre comportement -ou alors vouloir aider sa cousine à réviser pour son brevet et qu'elle ne veuille faire sa dictée que sur son portable -ta mère qui a plus de soixante balais qui rentre presque malade et que quand tu lui demandes ce qu'elle a et qu'elle te répond qu'elle s'est sentie mal toute la journée car elle avait oublié son portable -et je ne parles pas des petits bambins de 3-4 ans qui ont besoin de leur tablette dès qu'ils rentrent à la maison ou qui jouent sur nos portables mais pleurent dès que quelqu'un nous appelle ou si nous avons plus de batterie !!! Après je parle seulement en général et ceux ne sont que des exemples, certains de ma propre expérience et d'autres de mon entourage mais les faits sont là ; les nouvelles technologies nous affectent tous, petits ou grands et que nous devons tous faire attention et sans détacher de temps en temps et les utiliser avec modération. Cordialement Cassandra by alexis_groupec_psy Mar 5

Cet article montre l'évolution dans le temps de l'addiction . Initialament problème de civilité aujourd'hui dysfonctionnement intérieur nécessitant et générant une auto discipline individuelle de notre consommation numérique . La journée sans Facebook est une proposition collective à laquelle on adhère individuellement . Le fait que cet article soit mis en line par les fourrnisseurs de service numérique montre la prise de conscience à tous les niveaux du problème . Cordialement Jean-yves by poyac_groupeb_psy Mar 5

Hello, Pour ma part la journée sans facebook c'est tous les jours :) Ravie aussi de partager cet article avec vous Stéphanie by stefwebaddict Mar 4

Bonjour, Une journée sans Facebook, pourquoi pas :) Merci d'avoir partagé cet article, il m'a beaucoup plu ! Cordialement, Pauline by augiron_groupeb_psy Mar 4

Bonjour, J'aime beaucoup cette article, vraiment intéressant une journée sans Facebook il faudrait que j'essaye un jour . Cordialement by granville_groupea_psy Feb 27

Bonjour, Cet article est véritablement passionnant. Il aide clairement à comprendre le comportement addictif de l'usage du numérique. Cordialement, Anne Line by albt Feb 25

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