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Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur

Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur
Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés. Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. C'est en tout cas le point de vue de certains anciens employés de la firme de Mountain View, qui échangent leurs critiques sur un fil de discussion du site de questions-réponses Quora, repéré par Business Insider. En voici les plus marquants. > Des employés trop qualifiés Vu le nombre de personnes souhaitant travailler chez Google, la firme peut se permettre de ne recruter que les meilleurs éléments. > Esprit start-up, es-tu là ?

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Travailler chez google n'offre pas que des avantages Entreprise à part qui entretient le mythe sur son recrutement hors-norme de talents aussi divers que complémentaires, Google fait rêver. Liberté de travailler sur ses projets personnels, locaux fastueux et agréables, doux sentiment d'appartenir à une forme d'élite : un poste chez le géant américain relèverait donc de l'idéal. Pourtant, à en croire la quarantaine de témoignages d'anciens et actuels salariés publiés sur le site américain de discussion Quora, tout ne serait pas si rose dans l'une des sociétés les plus célèbres du monde. Privilégiés et souvent conscients de l'être, ces salariés ont peut-être des "problèmes de riches" mais leurs critiques sont révélatrices de failles d'organisation, dans lesquelles nombre d'entreprises (et d'employés) pourront se reconnaitre. Voici les cinq griefs principaux recensés sur le site, repris par le site Business Insider récemment. . Une somme de ressentis plus qu'une véritable attaque sur le front managérial.

Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. Depuis sa création, en 1998, on lui a tout reproché: politiques de confidentialité douteuses, violations de droits d'auteur, censure, etc. Les adversaires de la firme, pourtant, ne sont pas les seuls à exposer leurs doléances.

Google : pourquoi les salariés aiment y travailler Google, l’une des entreprises les plus puissantes du monde. Et aussi l’une des plus attractives ! Nombreuses sont les personnes qui rêvent d’y travailler. Des employés de Google affirment que leur contrat les empêche de signaler des conditions de travail dangereuses Des collaborateurs de Google ont affirmé lors d'un procès qu'ils sont tenus de signer des accords de non-divulgation illégaux qui violent leurs droits de "concurrence, de dénonciation et de liberté d'expression", selon la loi californienne. Dans le cadre de cette action en justice, durant laquelle une cour d'appel californienne a rendu un jugement la semaine dernière, les travailleurs ont accusé Google et Adecco, l'agence de recrutement par laquelle certains d'entre eux étaient employés, de violer leurs droits légaux. Google et Adecco n'ont pas répondu aux demandes de commentaires de Business Insider US. Les contrats auraient également interdit aux employés de parler des "compétences, des connaissances et de l'expérience qu'ils ont acquises chez Google". Version originale : Tyler Sonnemaker/Business Insider A lire aussi — Google va corriger la faille qui permet à Netflix ou Spotify d'éviter sa taxe de 30% sur les apps

Google Après Larry Page et Eric Schmidt, son DG est, depuis 2015, Pichai Sundararajan[8]. Google est devenu l'une des premières entreprises américaines et mondiales par sa valorisation boursière, quelques années après une entrée en bourse originale. Début 2008, elle valait 176 milliards de dollars à Wall Street[9]. Le 1er février 2016, sa capitalisation boursière dépasse celle d'Apple et devient la première des États-Unis, avec un total de 550 milliards de dollars dispersés dans ses différentes catégories d'actions[10]. En 2014, le classement Best Global Brands d'Interbrand positionne la marque Google en seconde position mondiale, derrière la marque Apple, avec une estimation de sa valeur à 107,43 milliards de dollars (+15 % par rapport à 2013), dépassant la barre des cent milliards de dollars pour la première fois depuis la création de ce classement en 1974[11].

Lidl : Des conditions de travail dangereuses et inacceptables Implantée depuis 1988 en France, la marque allemande Lidl, est depuis cinq années consécutives élue comme meilleure chaîne de magasins. Cette grande surface attire chaque jour un bon nombre de clients, en innovant régulièrement pour faciliter le quotidien des consommateurs, comme lorsqu’ils ont lancé leur rayon de pains et viennoiseries avec une cuisson immédiate. Sommaire La stratégie de cette enseigne se base sur un management « à l’américaine » avec des employés responsabilisés. Cependant, derrière cette stratégie et des prix ultra-compétitifs se cache une réalité bien choquante. L’enseigne Lidl est en proie à de nombreuses controverses et polémiques, notamment sur les conditions de travail des employés.

Les conditions de travail au sein de Google ! - Il faut tout d’abord maîtriser au minimum 3 langues couramment. Les 400 employés cadres chargés du recrutement n’opèrent en tout qu’une dizaine d’entretiens d’embauche, une vingtaine s’il s’agit d’un poste plus important Suite aux 3500 CV reçus quotidiennement par l’entreprise en 2006, Google a décidé de créer et de développer un logiciel entièrement consacré à la gestion des CV ! On compte aujourd’hui 54 604 employés chez Google et 3 des 10 directeurs du conseil d’administration font partie de l’entreprise (Sergey Brin, Eric Schmidt et Larry Page). Depuis que Google a rejoint le monde de la bourse, 1200 de ses employés sont devenus millionnaires. 500 d’entre eux ont plusieurs dizaines de millions et 80 d’entre eux ont quelques centaines de millions de dollars par an ! Ca donne envie, non ? Sachant qu’ un programmeur travaillant pour Google gagne la modique somme de 85 000 dollars par an, soit environ 7 083 dollars par mois.

Travailler chez google n'offre pas que des avantages Entreprise à part qui entretient le mythe sur son recrutement hors-norme de talents aussi divers que complémentaires, Google fait rêver. Liberté de travailler sur ses projets personnels, locaux fastueux et agréables, doux sentiment d'appartenir à une forme d'élite : un poste chez le géant américain relèverait donc de l'idéal. Pourtant, à en croire la quarantaine de témoignages d'anciens et actuels salariés publiés sur le site américain de discussion Quora, tout ne serait pas si rose dans l'une des sociétés les plus célèbres du monde. Privilégiés et souvent conscients de l'être, ces salariés ont peut-être des "problèmes de riches" mais leurs critiques sont révélatrices de failles d'organisation, dans lesquelles nombre d'entreprises (et d'employés) pourront se reconnaitre. Voici les cinq griefs principaux recensés sur le site, repris par le site Business Insider récemment. . Une somme de ressentis plus qu'une véritable attaque sur le front managérial.

Conditions de travail chez Lidl : les syndicats toujours inquiets - Le Parisien Cadences infernales, harcèlement moral, salariés déshumanisés… L'an dernier, un reportage signé « Cash Investigation » sur France 2 levait le voile sur d'incroyables méthodes de management chez Lidl, évoquant notamment le suicide en 2015 d'un de ses salariés sur son lieu de travail, l'entrepôt du Rousset (Bouches-du-Rhône). Après trois années de procédures, la responsabilité de l'entreprise a été reconnue en juillet dernier. Condamnée pour « faute inexcusable », Lidl France a-t-elle fait évoluer ses pratiques? Pour Friedrich Fuchs, le président du groupe, les travaux menés « depuis deux ans avec nos partenaires sociaux ont permis d'améliorer les conditions de travail, comparables à celles des autres distributeurs, avec un turn-over moyen de 23 % », explique-t-il.

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