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Google une entreprise attentive au bien-être de ses salariés !

Google une entreprise attentive au bien-être de ses salariés !
Certaines entreprises l’ont compris depuis longtemps : prendre soin de ses employés, c’est payant. Google une entreprise attentive au bonheur de ses salariés et à leur créativité ! Rien de mieux pour augmenter la productivité d’une entreprise, réduire l’absentéisme et les accidents de travail. Un travailleur est motivé et productif… lorsqu’il est heureux. Beaucoup de salariés font le même constat : « Nous ne sommes pas souvent félicités lorsque nous faisons du bon travail, mais nous sommes immédiatement réprimandés lorsque nous faisons des erreurs ». Le travail doit être stimulant, et l’environnement de travail doit favoriser cette stimulation. Un travailleur heureux, mission impossible ? Rien n’est impossible et parfois il suffit de peu pour avoir des personnes heureuses à leur travail. Prendre soin de ses employés, c’est aussi leur fournir de bonnes conditions de travail. Le bonheur peut se nicher dans de petits détails Boissons en libre service chez Google Yann-Maël Larher

Révolution du Management: Le Modèle Google, 12 méthodes de manag Acheter en ligne: Révolution du Management: le modèle Google 12 méthodes de management hors normes applicables à toute entreprise Bernard Girard, auteur de livres sur le management, consultant en management, expert des hautes technologies nous livre dans cet ouvrage ces observations du modèle Google. Le modèle Google selon Bernard Girard Bernard Girard invite le lecteur à s’inspirer et à explorer les méthodes imaginées, développées et testées par Google en vue de développer un nouveau modèle de management. Google, un modèle de management révolutionnaire? Google invente un modèle de management révolutionnaire adapté à un environnement économique, social et culturel où l’on retrouve les caractéristiques habituelles des grandes révolutions industrielles, à savoir «la découverte d’un marché de masse, l’invention de produits, de techniques de commercialisation et de gestion des hommes». Un livre pour les utilisateurs de Google, des technologies et du management

Motivation au travail: google champion du bien être des salariés Google, une entreprise qui fait rêver : atypique, fun et décontractée, elle attire de plus en plus d’étudiants et de futur salariés par l’image décalée qu’elle se construit et qu’elle aime à maintenir. Précurseur dans l’idée que travail et loisir ne sont pas antinomiques, Google chouchoute ses employés cette année encore. Classé en tête du palmarès des entreprises où il fait bon travailler en 2011, pas étonnant que le géant d’internet connaisse un tel succès. Noël généreux pour Google qui gâte ses salariés. Les salariés de Google sont chouchoutés, ça ça n’est pas nouveau : couverts de cadeaux et overbookés par des soirées et des événements plus grandioses les uns que les autres, nous le savons bien, les salariés n’ont pas le temps de s’ennuyer. Une entreprise qui promeut la créativité des employés. La firme accorde à ses employer de consacrer 20% de leur temps de travail à ce qui bon leur semble.

Une visite guidée des nouveaux bureaux de Google à Paris Publié le 13-DEC-11 par ANACT | Imprimer Le nouveau siège français de Google est situé dans le 9ème arrondissement de Paris. Une ambiance soignée et décalée a été choisie par les «googlers», qui ont été associés à la conception de leur futur cadre de travail. Google a inauguré mardi 6 décembre ses nouveaux locaux parisiens, localisés rue de Londres, au cœur de la capitale. Les 10.000 m2 disponibles accueillent déjà une équipe de 350 salariés, dont beaucoup d’ingénieurs (500 sont attendus d’ici 2013). Pour les concepteurs, l'objectif est de permettre à la créativité des salariés de s'exprimer, mais également d'attirer les talents et de renforcer la fierté d'appartenance à l'entreprise. En plus d'un lieu dévolu à la recherche et au développement, le «Googleplex» français abrite un institut culturel de «mission mondiale», dédié à la numérisation et à la diffusion de la culture, avec de l’archivage photo, vidéo et son. A la découverte des locaux avec Cécilia Gabizon, journaliste au Figaro.fr

Une révolution du management : le modèle Google - Les bonnes feuilles Les psychologues qui s'intéressent au comportement des salariés distinguent les motivations externes ou extrinsèques (on fait des efforts pour obtenir une meilleure rémunération, une récompense…) et les motivations internes ou intrinsèques (c'est la satisfaction d'avoir accompli correctement sa tâche, d'avoir réussi un exploit particulier qui amène à faire des efforts…). Google ne néglige pas plus que d'autres les motivations externes, il n'hésite pas à verser des salaires élevés comme en témoignent les voitures de luxe qui encombrent son parking, mais il fait une large confiance à la motivation intrinsèque. Ce faisant, il suit des exemples célèbres, dont celui de Bill Gates qui disait au début de sa carrière : "Aucun grand programmeur ne peut s'asseoir à sa table et se dire : "Je vais me faire du fric" ou "Je vais en vendre des centaines de milliers". Tel qu'il fonctionne aujourd'hui ce mécanisme présente plusieurs avantages.

"Un salarié plus heureux est plus facile à manager" Une société heureuse au travail, n'est-ce pas un titre provocateur en ces temps de crises? Le titre peut sembler provocateur actuellement mais je crois fermement que nos sociétés occidentales peuvent être heureuses au travail. Aujourd'hui le levier de productivité à atteindre pour y parvenir est celui de la motivation. Les entreprises sont de plus en plus exigeantes car elles doivent être de plus en plus compétitives et les salariés sont de moins en moins motivés! Or, quand un salarié est motivé, il est a priori plus heureux, moins souvent malade, plus facile à manager, et évidemment plus performant. Comment remotiver les salariés et les rendre heureux au travail? Cela passe d'abord par un changement de la relation entre employeurs et employés! Etendre le droit à la formation, consulter les salariés qui cotisent à ce propos, c'est donner la possibilité aux concernés d'entreprendre des démarches pour le futur et d'être préparés à la mobilité. Enfin, la politique RH est déterminante.

Pour motiver ses salariés, Google mise sur l'interaction et l'autonomisation Chez la firme de Mountain View, motiver ses collaborateurs passe par deux choses : la possibilité de prendre du temps pour travailler sur un projet personnel, et la gratification des personnes qui aident leurs pairs. Pour favoriser l'engagement de ses salariés, Google a décidé de leur laisser plus de temps libre, tout en les incitant à communiquer entre eux. Les managers de la firme de Mountain View sont partis du principe suivant: au cours de la réalisation de leur travail, ingénieurs comme développeurs acquièrent de nombreuses compétences, qu'ils peuvent souhaiter mettre en œuvre dans un cadre plus personnel. Utiliser les interactions entre employés comme assurance d'un travail effectif Ce dernier pouvant être pris afin de mettre au point de nouveaux concepts, qui peuvent au final être récupérés par l'entreprise, sur le principe du don réciproque. Récompenser chaque acte d'entraide publiquement afin de pousser à celle-ci

Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. • «Arrogance et sexisme» «Beaucoup de gens qui travaillent chez Google ont le sentiment d'avoir tous les droits parce qu'ils sont issus de l'élite», témoigne une ancienne directrice des ressources humaines. • Une sélection drastique… mais des tâches mesquines «Ce qu'il y a de pire dans cette boîte, c'est le décalage entre l'exigence du recrutement et la simplicité d'un grand nombre de missions», écrit Vlad Patryshev, resté trois ans et demi à Mountain View. • Impossible de changer seul la donne «J'ai travaillé trois ans pour Google. • Des cadres intermédiaires «pas à la hauteur» Au vu des commentaires, aucun doute ne subsiste quant aux aptitudes techniques des cadres. • La vie en «G» • Un campus pas si sympa

Economie : la vie chez Google Vendredi, 18 heures : dans la cour d’un superbe hôtel particulier, au cœur du 9e arrondissement parisien, une centaine de salariés de Google trinquent sous le soleil, une bière ou une coupe de champagne à la main. Au siège français, les « Googlers », comme ils s’appellent entre eux, fêtent l’arrivée du week-end lors d’un apéritif hebdomadaire. L’occasion de se mélanger, du stagiaire au patron, et de discuter de projets parfois confidentiels. Tandis que certains jouent au ping-pong, des ingénieurs américains de passage en France se livrent, devant quelques curieux, à une démonstration en avant-première des Google Glass, des lunettes futuristes capables de recevoir des textos, équipées d’un GPS et d’une caméra. « C’est pour ce genre de projets fous que je travaille ici », glisse un salarié. Bienvenue chez Google ! « C’est une fiction, pas un film sur l’histoire de Google », tempère une porte-parole du groupe. Mini-cuisines et salle de fitness Des stagiaires en grande forme Un coup de barre ?

Le Management à la Google Désolé pour ces trois mois de silence, mais l’emploi du temps a été plutôt chargé dernièrement : combiner examen, boulot et vie sociale n’est pas une mince affaire. Je profite de l’accalmie de l’été pour vider le frigo, et publier les quelques articles en réserve. Après un premier billet sur l‘immersion chez Google et (déjà) quatre mois passé chez Google, je pense intéressant de partager avec vous un élément important et caractéristique de la vie en entreprise : le management. Il faut avant tout comprendre le contexte dans lequel Google évolue : en 12 ans, Google est passé d’une petite entreprise de la Silicon Valley, à un géant de l’internet de 23 milliards de dollars de chiffre d’affaire en 2009. Autant dire qu’il faut du monde pour gérer tout ces petits chiffres, surtout que l’entreprise souhaite garder un esprit de start-up. Déléguer pour garder le savoir en bas de la pyramide Le rôle d’un manager chez Google Un environnement de travail idéal pour plus de productivité

Google: les secrets de son département des ressources humaines Comment l'entreprise américaine est devenue un endroit où il fait si bon travailler. Voici quelques années, le département des ressources humaines de Google a fait une étrange découverte: les femmes quittaient l’entreprise en grand nombre. Comme c’est le cas pour la majorité des entreprises informatiques de la Silicon Valley, Google emploie essentiellement des hommes, et la féminisation de la force de travail est depuis un certain temps une des priorités de l’encadrement. Le fait que les femmes désertent l’entreprise n’était pas uniquement un problème de parité, mais surtout un souci pour le bénéfice net de l’entreprise. Puis, venait le problème de la qualité de la vie. P'pa s'est occupé des congés mat Chez Google, le département Ressources humaines est appelé People Operations, que la plupart des employés abrègent par POPS (NDT: «p’pa»). En 2007, Bock décide donc de changer le système. Accorder plus de congés lui a fait gagner de l'argent Le royaume des stats Farhad Manjoo Farhad Manjoo

Pourquoi Google pose les mêmes questions à tous ses candidats? Google fait partie des entreprises les plus attractives de la planète. Au quotidien, le monde entier utilise son moteur de recherche et les différents services qui gravitent autour. Alors forcément, quand on est recruteur au sein d’une entreprise asi attrayante aux yeux des candidats, on doit mettre en place des techniques de recrutement très pointues afin de sélectionner les meilleurs talents. Précédemment, on a pu voir la typologie du CV idéal selon Lazlo Block, le responsable RH de Google. Continuons dans cette direction avec les questions posées aux candidats lors des entretiens d’embauche. Google arrête de poser des devinettes à ses candidats Il y a encore peu, Google posait des questions très surprenantes à ses candidats. Combien factureriez-vous pour laver toutes les vitres à Seattle ? Si vous voulez découvrir d’autres perles de ce genre, je vous invite à consulter l’article de Presse Citron: 17 questions stupides que Google ne pose plus en entretien de recrutement.

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