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Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet

Ma réponse aux «élites» qui détestent l'Internet
Les Français n’aiment pas Internet (1). Est-ce le résultat d’une nouvelle enquête menée auprès de 85 internautes? Nan. En fait, précisons: les élites françaises n’aiment pas Internet. Enfin… les élites… Disons les gens dont on parle dans les médias. Florilège des propos anti-web classés par «métiers» publicité Les politiques Michèle Alliot-Marie, Le Figaro, le 5 septembre 2011 «A travers les blogs et les tweets, il y a une mise en cause des principes de l’information. Patrick Ollier, à Public Sénat le 23 février 2011 «Les .fr vont chercher des infos dans le caniveau.» Nadine Morano, le 15 août 2008 «Internet, c’est comme une magnifique voiture de course. La même à Rue89, le 8 mai 2008 «Ah, Internet, je déteste, c’est le temple des rumeurs et de la caricature.» Jacques Myard, à l’Assemblée nationale en décembre 2009 «J’espère que l’on va prendre conscience de la nécessité de nationaliser ce réseau.» Rassurez-vous, à gauche aussi Ségolène Royal, le 21 septembre 2009: Les gens de la télévision Oui. 1.

http://www.slate.fr/story/61313/internet-ennemis-reponse

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40% des 25-30 n'accepteraient pas l'interdiction d'accès aux RS en entreprise Les 25-30 ans, génération connectée. Selon une étude Opinion Way publiée lundi 25 février, 98% d'entre eux ont une messagerie personnelle. 46% estiment que les réseaux sociaux constituent un outil professionnel. Facebook reste le réseau social le plus utilisé (81%) par cette catégorie de population, qui se connecte essentiellement avec un ordinateur portable (70%) ou un smartphone (55%). La moitié se connecte à Facebook au travail

Evolution et incidences de la Technologie sur les pratiques de communication en France des annees 1960 à nos jours - Quinchy RIYA Mémoire de Recherche pour l'obtention du Master AIGEME Culture et Métiers du Web réalisé sous la direction de Dominique CARDON Année universitaire 2010-2011 Université Paris Est Marne-la-Vallée 5 Boulevard Descartes77420 Champs-sur-Marne Internet, facile bouc émissaire Il est frappant de constater combien les transformations liées au numérique sont souvent le facile bouc émissaire de tous les maux de notre société contemporaine. Le numérique est accusé de tout : de l'individuation de la société, de l'infobésité contemporaine, d'être le caniveau de l'information, de tuer le livre, le cinéma, la musique, de favoriser les échanges (non-marchands au détriment des échanges marchands), d'avoir déstructuré le travail, de la désindustrialisation, de tuer le lien social, de favoriser la violence, le terrorisme, la solitude, de détruire notre cerveau... La liste des reproches anxyogènes qu'on lui adresse semble sans fin - à l'image des espoirs qu'il cristalise en miroir. Pourtant dès qu'on y regarde de plus près, bien souvent, le numérique n'est pas à l'origine des problèmes qu'on observe. Ceux-ci lui sont souvent antérieurs.

les Sénateurs veulent réguler l'e-commerce en FRANCE Pour inverser la tendance actuelle et protéger les boutiques physiques, des sénateurs UMP ont déposé une proposition loi afin de compléter le code de commerce et ainsi mieux encadrer les tarifs des sites Internet, jugés trop concurrentiels. Réduire les écarts de prix entre Internet et le monde physique Virgin Megastore, Game, Surcouf ou encore Pixmania ont tous fermé leurs boutiques physiques ces derniers mois, ou vont le faire sous peu. Un constat dramatique qui ne devrait pas s'arrêter en si bon chemin, alors que même les opérateurs mobiles réfléchissent à des écrémages.

Place Publique - Média citoyen, relais d’engagements associatifs et outil de démocratie participative par Yan de Kerorguen, le 2/08/2011 Force est de constater qu’avec le développement discret mais fertile des initiatives de débat public, la toile est de mieux en mieux tissée. Dans les forums hybrides qu’on trouve sur internet se construisent des savoirs et des identités à même de pallier aux insuffisances de la démocratie délégative ou participative .

La fin de la librairie (2e partie) : Pourquoi nous sommes-nous détournés des librairies On a esquissé dans la première partie, l'influence des pratiques commerciales sur la décomposition du tissu des librairies pour rappeler que la crise actuelle de la librairie n'était pas due à l'internet, mais plutôt aux conditions commerciales imposées par la distribution, qui impose aux petits magasins de proximités que forment le coeur de la librairie, des conditions commerciales de plus en plus semblables à celles qu'elle accorde aux grandes surfaces (GS) et aux grandes surfaces spécialisées (GSS). La librairie est le commerce de détail qui a la marge la plus faible : on comprend que ce soit pour beaucoup d'entre eux, intenables. Image : Une vieille enseigne de librairie à Paris photographiée par par Sean Ganann. Il y a une seconde raison à observer pour comprendre le malaise de la librairie. Cette raison repose dans les transformations de nos pratiques culturelles.

Le juge ne connaissait pas Google <blockquote class= »twitter-tweet » lang= »fr »><p>C&#39;est énorme je suis officiellement un cybercriminel</p>&mdash; Olivier Laurelli (@bluetouff) <a href= » Février 2014</a></blockquote> Mise à jour : l’avocat d’Olivier Laurelli a annoncé, jeudi, « le pourvoi devant la cour de cassation » pour contester ce qu’il nomme « cet arrêt inique ». Pour le blogueur, hacker et journaliste Olivier Laurelli, alias Bluetouff, le verdict est tombé, mercredi 5 février, et nul ne sait s’il faut plutôt en rire ou en pleurer. Internet, c’est un truc de hippies Conçu en pleine période Flower Power par des barbus libertaires, Internet n'a jamais perdu – malgré les tentatives de récupération politiques et commerciales – son esprit profondément lié au partage. Cette prise de conscience doit perdurer et produire un acte de résistance face à la tentative forcenée de nivellement du monde par les inconscients qui nous gouvernent. Je suis souvent présenté comme un dinosaure d’Internet, mais c’est faux : même si je suis trop vieux pour faire partie de la génération “digital-native”, j’étais trop jeune quand Internet est né, trop jeune pour pouvoir vivre une époque à laquelle toutes les utopies étaient encore imaginables. Ça n’a jamais empêché personne de me considérer comme un utopiste libertaire (par exemple, dans ce billet qui aligne un nombre d’idées fausses assez stupéfiant), vous êtes prévenus.

La fin de la librairie (1ère partie) : Ce n’est pas l’internet qui a tué la librairie « C’est la question du bouc-émissaire, qui est le piège ! » – François Bon – « À cause de mecs comme toi » Une économie trop fragile L’apprentissage numérique : d’une génération à l’autre Si le numérique est souvent associé à une révolution, c’est aussi parce que bien souvent, la culture et les compétences liées au web ne suivent pas toujours le schéma classique de transmission. Certains parlent même de fossé des générations ou de fracture numérique pour désigner les différences de compétence entre les « migrants » du numérique et les « natifs » numériques (les moins de 35 ans). Alors que le processus éducatif s’appuie traditionnellement sur la transmission d’un savoir-faire basé sur l’expérience, l’apprentissage du numérique est beaucoup moins évident. Les parents qui n’ont pas grandi avec une souris ou un écran tactile dans la main se trouvent dans une position délicate, et l’on a tendance à penser que se sont leurs adolescents qui leur apprennent les nouveaux usages numériques.

Connaissance et praxis des réseaux comme projet politique Le monde contemporain a enregistré des évolutions d’une telle force qu’elles tendent souvent à produire un sentiment d’impuissance lorsqu’il s’agit d’essayer d’en maîtriser les effets problématiques. Il n’est pas honteux d’avouer avoir du mal à comprendre ce monde, de reconnaître l’impression d’avoir en face de soi de telles puissances qu’on tend à perdre l’espoir de les faire bouger. Que faire alors si on ne veut pas être condamné à la démission et à l’observation passive ? Chercher à construire de nouvelles capacités bien sûr, des capacités plus adaptées.

Les internautes, ce « douloureux probleme » "Si vous ne voulez pas avoir de problème de vie privée, n'allez pas sur le Net !"Pascal Rogard, directeur général de la SACD et défenseur émérite de l'Hadopi, lors du colloque Droits et libertés dans la société numérique, organisé par Nathalie Kosciusko-Morizet (voir aussi le compte-rendu de Jean-Michel Planche). La proposition de Mr Rogard a le mérite de la franchise. Et il n'est -hélas- pas le seul à le penser. On l'entend souvent, en effet (ou "anéfé ;-), émanant, qui de policiers ou de leurs affidés, qui de personnes d'autant plus méfiantes de l'internet qu'elles n'y vont généralement jamais, ou presque (on les reconnaît facilement : elles ne s'en servent que comme d'un "minitel 2.0, pour y faire leurs courses ou réserver une place dans le TGV -et encore : il s'en trouve même qui ont peur d'...acheter sur l'internet).

L' « ubérisation » de l'économie et le grand vertige des élites Qu'y a-t-il donc de commun entre Uber, la jeune start-up d'à peine cinq ans, et Air Liquide, la centenaire installée dans tous les complexes industriels de la planète ? Leurs valorisations sont comparables, à peu près une quarantaine de milliards de dollars chacune, mais il ne s'agit pas de cela. Il est plus étrange que l'une inquiète l'autre. Non, Benoît Potier, le patron du groupe français, ne veut pas se lancer dans le business du taxi, mais la brutalité de l'apparition d'Uber lui démontre que tout peut arriver et qu'on ne sait pas d'où le changement, la fameuse « disruption », peut survenir : « Il se passe, dit-il, des choses actuellement qui bouleversent l'environnement à une vitesse inégalée. »

Nouvelles technos : la tentation totalitaire Liberté ©bu7amd via Flick'r {*style:<b>L’opposition entre les deux réseaux ne correspond pas à tous les usages. Nombreux sont ceux qui utilisent les deux outils, de manière différente et pour des publics distincts. Toutefois, parmi les gros utilisateurs de Twitter, la préférence a des motifs évidents et d’autres plus cachés.

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