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Sciences cognitives

Sciences cognitives
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. Miller[1]. Les traits pleins symbolisent les disciplines entre lesquelles existaient déjà des liens scientifiques à la naissance des sciences cognitives ; en pointillés, les disciplines entre lesquelles des interfaces se sont développées depuis lors. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. à une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique. Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sciences_cognitives

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La revanche de l’anthropomorphisme Pendant deux siècles, la pensée rationnelle l’a snobé : l’anthropomorphisme appartenait décidément à un passé obscur de l’humanité. La révolution numérique conduit pourtant certains chercheurs à porter sur lui un regard neuf : et si personnifier les animaux ou les objets nous aidait à mieux définir nos relations avec eux ? Le point sur cette question alors que débute au musée du quai Branly l’exposition «Persona», dont «CNRS Le journal» est partenaire. Naruto ne touchera pas de droits d’auteur sur ses selfies. Ainsi en a décidé, début janvier, le juge américain William Orrick de la cour fédérale de San Francisco. Tout simplement parce que Naruto n’est pas un être humain.

Sciences de l'éducation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sciences de l’éducation concernent l’étude de différents aspects de l’éducation dans ses approches méthodologiques, didactiques et pédagogiques, et fait appel à diverses disciplines : histoire de l’éducation, sociologie de l’éducation, didactique des disciplines, psychologie des apprentissages, éducation comparée, administration scolaire, organisation et fonctionnement des systèmes éducatifs, politique de l'éducation, formation professionnelle et continue, formation du personnel de l'enseignement, enseignement spécialisé, etc. On utilisera les termes pédagogie ou enseignement pour désigner une technique d'enseignement, une relation pédagogique ou un acte éducatif.

Déficit neurocognitif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un déficit neurocognitif est une atteinte d'une fonction cognitive, telle que le langage, la mémoire à court terme ou la mémoire à long terme, un trouble de l'attribution des actions ou de la planifications des actions, trouble qui correspond à un corrélat cérébral et donc non psychologique. Les troubles de l'attention doivent être soulignés car très importants et présents dans de nombreuses pathologies.

La méthode OKR : Objectives and Key Results Née dans les années 50 aux Etats-Unis, la méthode OKR a depuis longtemps fait ses preuves dans de nombreuses entreprises de la Silicon Valley. Mais en quoi consiste-t-elle ? Comment l’utiliser et pourquoi ? Épistémologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épistémologie (du grec ancien ἐπιστήμη / epistếmê « connaissance, science » et λόγος / lógos « discours ») désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières, soit la théorie de la connaissance en général. Définition[modifier | modifier le code] L'épistémologie serait selon la « tradition philosophique francophone », une branche de la philosophie des sciences qui « étudie de manière critique la méthode scientifique, les formes logiques et modes d'inférence utilisés en science, de même que les principes, concepts fondamentaux, théories et résultats des diverses sciences, afin de déterminer leur origine logique, leur valeur et leur portée objective »[1]. Dans la tradition philosophique anglo-saxonne, l'épistémologie se confondrait avec la théorie de la connaissance, et ne porterait donc pas spécifiquement sur la connaissance scientifique. Qu’est ce que la connaissance (la question gnoséologique) ?

Cognitivisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le cognitivisme est le courant de recherche scientifique endossant l'hypothèse que la pensée est un processus de traitement de l'information, cadre théorique qui s'oppose, dans les années 1950, au béhaviorisme. On l'inscrit généralement dans l'approche computo-représentationnelle de l'esprit, bien que depuis la fin des années 1980, le modèle connexioniste rivalise avec le computationnalisme. Ce courant s'inscrit à l'opposé du béhaviorisme, mouvement qui remettait en question la scientificité de l'étude de la cognition, celle-ci n'étant pas directement observable. Notons que, dans la francophonie, cognitivisme est parfois employé comme synonyme de sciences cognitives, ce qui n'est pas tout à fait exact.

Quel avenir pour les managers ? Depuis quelques temps, on lit que l’épanouissement des salariés au travail passerait en partie par des innovations managériales et l’une des solutions avancées par cette théorie serait de faire des salariés leur propre manager. Cette idée a déjà été développée par des universitaires reconnus qui ont annoncé, en leur temps, la fin des managers en entreprise à moyen terme. Selon eux, l’évolution des organisations et des modes de production aboutira tôt ou tard à redistribuer équitablement les tâches de management entre tous les employés. Ce qui devrait avoir pour effet d’augmenter la productivité de tous par l’augmentation du sentiment de bienêtre au travail de chacun. La date de l’avènement supposé de l’arrêt des émissions de CO2 verra-t-elle aussi le début de l’extinction de ce métier ?

Langage et évolution : nouvelles hypothèses En croisant de nombreuses données issues de différentes disciplines, il est désormais possible d'élaborer des scénarios sur l'émergence du langage, les raisons de son apparition, et même d'imaginer quelle langue ont parlée les premiers hommes. La question de l'origine du langage, fort prisée des philosophes des Lumières, devint centrale pour nombre de savants du xixe siècle : les théories se mirent à pulluler et chacun y allait de son hypothèse plus ou moins fantaisiste... Le philologue Friedrich Max Müller s'était d'ailleurs plu à classer toutes ces théories en leur donnant des noms péjoratifs (1) : ainsi la théorie « bow-bow », selon laquelle les onomatopées étaient à l'origine du langage ; ou encore la théorie « pooh-pooh », qui supposait que le langage dérivait des cris d'alerte chez les animaux. Il a fallu attendre la fin du xxe siècle pour que ce sujet sorte du ghetto dans lequel elle avait été plongée pendant un siècle.

Neurosciences et sciences cognitives sur Twitter Quels comptes francophones suivre pour rester à la page? Twitter est un outil formidable pour suivre les avancées et les débats scientifiques les plus actuels. Des collaborations s’y nouent, des polémiques y éclatent et ce sont de véritables courants de pensée qui prenne naissance à grands renforts de retweets et de likes. Il y a quelques mois, une revue académique a même publié un guide pour aider les scientifiques à tirer le meilleur de la plateforme (voir Ten simple rules for getting started on Twitter as a scientist). Comme expliqué dans cet éditorial de Nature, ce phénomène reflète en partie le besoin croissant de soigner une “image de marque” qui comprend sa part de risques et de dérives (voir ici). Pour autant, son effervescence constant et son ouverture sur le monde en font un réseau social bien plus utile que d’autres pour le partage de la dissémination des informations scientifiques et leur mise en perspective auprès du grand public.

Le « future of work » expliqué à vos grands-parents - Maddyness - Le Magazine des Startups Françaises Je ne pense pas que le Future Of Work soit la volonté de deviner de quoi sera fait le travail dans 5 ans, 10 ans, 50 ans. Ce serait très peu précis et relèverait de l’imaginaire de chacun, or il existe une dimension bien concrète au Future Of Work. Au contraire, pour le définir je dirais que nous utilisons l’expression Future of Work pour qualifier les bonnes pratiques, les méthodes, le quotidien et les tendances d’une minorité d’individus qui sont “en avance sur leur temps” et que nous considérons comme “dans le futur”. Le Future Of Work est déjà une réalité pour certaines personnes et nous parlerons de leur travail au futur jusqu’à ce que celui-ci soit généralisé à une majorité d’individu.

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