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Sciences cognitives

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Les sciences cognitives rassemblent l'ensemble des domaines scientifiques consacrés à l'étude de la cognition, notamment les neurosciences, la psychologie, la linguistique, l'intelligence artificielle, les mathématiques appliquées à la modélisation des fonctions mentales, l'anthropologie, et la philosophie de l'esprit.



Les processus cognitifs se distinguent des processus mentaux qui se rapportent à la fonction affective, qui est traditionnellement la spécialité des différentes formes de psychologie dynamique dont les méthodes et applications sont principalement cliniques, telles que la psychanalyse ou la psychologie clinique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. Miller[1]. Les traits pleins symbolisent les disciplines entre lesquelles existaient déjà des liens scientifiques à la naissance des sciences cognitives ; en pointillés, les disciplines entre lesquelles des interfaces se sont développées depuis lors. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. À une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique.

Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code] Cognitivisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cognitivisme

Le cognitivisme est le courant de recherche scientifique endossant l'hypothèse que la pensée est un processus de traitement de l'information, cadre théorique qui s'oppose, dans les années 1950, au béhaviorisme. On l'inscrit généralement dans l'approche computo-représentationnelle de l'esprit, bien que depuis la fin des années 1980, le modèle connexioniste rivalise avec le computationnalisme. Ce courant s'inscrit à l'opposé du béhaviorisme, mouvement qui remettait en question la scientificité de l'étude de la cognition, celle-ci n'étant pas directement observable.

Notons que, dans la francophonie, cognitivisme est parfois employé comme synonyme de sciences cognitives, ce qui n'est pas tout à fait exact. Déficit neurocognitif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Déficit neurocognitif

Un déficit neurocognitif est une atteinte d'une fonction cognitive, telle que le langage, la mémoire à court terme ou la mémoire à long terme, un trouble de l'attribution des actions ou de la planifications des actions, trouble qui correspond à un corrélat cérébral et donc non psychologique. Les troubles de l'attention doivent être soulignés car très importants et présents dans de nombreuses pathologies. Les déficits neurocognitifs peuvent être présents seuls, par exemple dans un retard mental, ou dans une maladie psychiatrique. La revanche de l’anthropomorphisme. Pendant deux siècles, la pensée rationnelle l’a snobé : l’anthropomorphisme appartenait décidément à un passé obscur de l’humanité.

La revanche de l’anthropomorphisme

La révolution numérique conduit pourtant certains chercheurs à porter sur lui un regard neuf : et si personnifier les animaux ou les objets nous aidait à mieux définir nos relations avec eux ? Le point sur cette question alors que débute au musée du quai Branly l’exposition «Persona», dont «CNRS Le journal» est partenaire. Naruto ne touchera pas de droits d’auteur sur ses selfies. Ainsi en a décidé, début janvier, le juge américain William Orrick de la cour fédérale de San Francisco. Tout simplement parce que Naruto n’est pas un être humain.

Un beau cas d’école juridique, qui risque de ne pas être le dernier, tant il est vrai que les limites entre l’être humain et son environnement sont bien plus floues qu’on voulait bien le penser il y a encore une vingtaine d’années. Domaine public/WIKIMEDIA COMMONS. Les troubles de l'audition sont-ils le signe du déclin cognitif ? Intelligence cognitive.

Neurocognition

Linguistique. Anthropologie. Théorie de l'esprit. Intelligence artificielle. Cybernétique. Cognitive Science. PNL. Lionel Naccache. Stanislas Dehaene. Steven Pinker. Économie de l'attention. Livres. Podcasts. Sciences cognitives. Neurosciences et sciences cognitives sur Twitter. Quels comptes francophones suivre pour rester à la page?

Neurosciences et sciences cognitives sur Twitter

Twitter est un outil formidable pour suivre les avancées et les débats scientifiques les plus actuels. Des collaborations s’y nouent, des polémiques y éclatent et ce sont de véritables courants de pensée qui prenne naissance à grands renforts de retweets et de likes. Il y a quelques mois, une revue académique a même publié un guide pour aider les scientifiques à tirer le meilleur de la plateforme (voir Ten simple rules for getting started on Twitter as a scientist). Comme expliqué dans cet éditorial de Nature, ce phénomène reflète en partie le besoin croissant de soigner une “image de marque” qui comprend sa part de risques et de dérives (voir ici). Pour autant, son effervescence constant et son ouverture sur le monde en font un réseau social bien plus utile que d’autres pour le partage de la dissémination des informations scientifiques et leur mise en perspective auprès du grand public.

Mise à jour: 20/05/20 Chercheurs et doctorants.