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Euthanasie

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Quand un philosophe libéral défend le suicide assisté. FIGAROVOX/CHRONIQUE - Chaque semaine, Gaspard Koenig remonte aux sources philosophiques de la pensée libérale pour éclairer l'actualité.

Quand un philosophe libéral défend le suicide assisté

Evoquant l'affaire Vincent Lambert, il rappelle que, dès le XVIIIe siècle, David Hume défendait le droit au suicide. Ancien élève de l'Ecole Normale Supérieure, agrégé de philosophie, Gaspard Koenig est Président du think-tank GenerationLibre. Plaignons les juges qui se voient sommés de trancher, sur des bases légales assez floues, des affaires éminemment délicates de «fin de vie».

Quand les nazis euthanasiaient des milliers d'enfants malades. C'est sur un aspect plutôt méconnu de la barbarie nazie que se penche aujourd'hui le quotidien Die Welt: le programme d'euthanasie mis en place par Hitler dans les hôpitaux du Troisième Reich pour supprimer malades et handicapés jugés trop encombrants.

Quand les nazis euthanasiaient des milliers d'enfants malades

Plus de 200.000 personnes auraient été euthanasiées à cette époque, parmi lesquelles au moins 5.000 enfants. Le personnel médical faisait croire aux familles que leurs enfants étaient morts des suites d'une maladie. Ich klage an. Ich klage an (Eng: I Accuse ) is a 1941 German pro- euthanasia propaganda film directed by Wolfgang Liebeneiner . [ 1 ] It was banned by Allied powers after the war. [ 2 ] Plot [ edit ] A woman suffering from multiple sclerosis pleads with doctors to kill her. [ 3 ] Her husband gives her a fatal overdose, and is put on trial, where arguments are put forth that prolonging life is sometimes contrary to nature, and that death is a right as well as a duty. [ 4 ] It culminates in the husband's declaration that he is accusing them of cruelty for trying to prevent such deaths. [ 5 ]

Ich klage an

Bien naître – bien être – bien mourir, par Danielle Moyse. Suffit-il de se dire " contre " l'eugénisme ou l'euthanasie pour se libérer vraiment de ce qui les rend possibles ?

Bien naître – bien être – bien mourir, par Danielle Moyse

Avons-nous dépassé l'eugénisme ou la sélection actuelle des naissances en constitue-t-elle le plein accomplissement ? Quelle est notre liberté face à elle quand on rappelle à l'occasion le " coût d'un mongolien " ? Comment assurer, au terme de l'existence, que, dans pareil contexte, l'euthanasie réalise le " droit de choisir l'heure de sa propre mort " ? Micro-économie de l'euthanasie. AP-HP : comment concilier soins hospitaliers et contraintes financières ?

Euthanasie en Europe (UE et CoE)

Documentaires et fictions sur l'euthanasie. La mort cérébrale n’est pas la mort véritable. Euthanasie : le poids d'un mot. Peut-on distinguer euthanasie active et euthanasie passive ? Ô toi qui prolongeas mes jours, Reprends un bien que je déteste !

Peut-on distinguer euthanasie active et euthanasie passive ?

Ô Diane, je t’implore, Arrêtes-en le cours ! (Iphigénie, dans C.W. Gluck, Iphigénie en Tauride) Selon l’enquête européenne EURELD effectuée en 2001-2002 dans six pays européens [1], entre 36 % et 51 % de tous les décès (sauf 22 % pour l’Italie) sont le résultat d’une décision médicale de fin de vie. Cette décision concerne, dans presque la moitié des cas, des pratiques qui incluent l’arrêt, la limitation, l’abstention thérapeutique, que ces gestes soient volontaires ou non volontaires, et pour l’autre moitié l’administration d’analgésiques à hautes doses, un traitement qui est susceptible d’écourter la vie. L’aspiration à « mourir vivant » Le débat autour de la légitimité éthique de l’euthanasie, en France et ailleurs, n’en est probablement qu’à ses débuts, malgré la publication récente du rapport Leonetti sur l’évaluation de la loi homonyme de 2005 sur la fin de vie [3].

Faire mourir et laisser mourir. L'euthanasie n'est pas compatible avec les valeurs de la gauche. (capture d'écran Youtube - vodeotv - cc) Du même auteur Impliqués professionnellement dans l’accompagnement de patients en fin de vie, nous sommes aussi des citoyens engagés, qui nous reconnaissons dans un grand nombre des valeurs incarnées sur la scène politique par la gauche.

L'euthanasie n'est pas compatible avec les valeurs de la gauche

Aujourd’hui, nous voulons dire notre indignation vis-à-vis de la proposition de loi visant à légaliser les injections létales et le suicide assisté, signée par de nombreux sénateurs « de gauche ». Nous l’avions été tout autant il y a un an par la proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale par le groupe socialiste. Nous sommes également choqués de retrouver ces propositions dans le texte de la convention « égalité réelle », validée par le Parti socialiste comme base programmatique pour la future élection présidentielle.

Un nouveau métier : bourreau - Société. Que d’eau aura coulée depuis qu’ Emmanuel Kant soulignait que la dignité de l’homme est irréductible et que la vie était sacrée !

Un nouveau métier : bourreau - Société

Combien d’arguments paradoxaux aurons-nous encore à avaler pour qu’on nous fasse croire que la mort vaut mieux que la vie ! Que de pseudo arguments rationnels et bien entendu décrits comme signe de liberté et de modernisme serons-nous obligés d’entendre pour promouvoir une mort provoquée comme la bonne voie vers le meilleur des mondes possibles! Certains sénateurs ont osé proposer une loi pour « l’assistance médicalisée pour mourir ». Euthanasie.

L'euthanasie en 2011

L'euthanasie en 2012. L'euthanasie en 2013. L'euthanasie en 2014. Détail d'un texte. Détail d'un texte. Euthanasie ! Faut pas pousser ...: Accueil. Silence, on tue ! Faut pas pousser : une pétition contre l’euthanasie. Pour une société humaine. Véronique Normand Kinésithérapeute Je suis kinésithérapeute et accompagne des personnes atteintes de handicaps lourds, enfants et adultes et des personnes atteintes de maladies incurables.

Pour une société humaine

Ma formation en neurologie pédiatrique et mon activité à domicile m’ont confortée dans une approche plus relationnelle et sociale, participant à une dynamique des soins de proximité, en lien avec l’hôpital et les centres de rééducation fonctionnelle. Prendre soin est œuvre de patience, d’écoute, de création, de relation. Plus la personne est vulnérable, plus il est délicat et impérieux de lui parler, de la contenir, de la soutenir, de la rejoindre, plus les efforts pour la suivre sont épuisants, interrogeant, incertains, mais plus cette recherche devient nécessaire, et s’affine dans une incertitude du faire du dire qui forge des certitudes de choses à ne pas faire ou à ne pas dire, mais plus à être.