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Steampunks, Robots & Monstres

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Les estampes numérisées de la Bibliothèques municipales de Lyon. La base Estampes de la Bibliothèque municipale de Lyon a pour but de reproduire et décrire les estampes conservées dans la collection de la bibliothèque municipale de Lyon, qui contient plusieurs dizaines de milliers de pièces.

Les estampes numérisées de la Bibliothèques municipales de Lyon

Dans ce fonds exceptionnellement riche et varié sont représentés les plus grands noms des diverses écoles de gravure nationales et régionales, du XVIe au XIXe siècles : gravures sur bois de Hans Holbein, eaux-fortes de Jacques Callot et Rembrandt, gravures au burin de Claude Mellan et Robert Nanteuil... sans oublier l’école italienne avec Raimondi, les Carrache, Canaletto, etc. La base est mise à jour régulièrement : le catalogage a commencé par les estampes du XVIe siècle et se poursuit chronologiquement. Association des Amis du site historique du Vieil Hesdin. Les automates Les automates du château et du parc d'Hesdin datent de la fin du XIII° siècle, lorsque Robert II d'Artois rénova et agrandit le domaine.

Association des Amis du site historique du Vieil Hesdin

Il s'agit plus, d'après les comptes du XIV° siècle, de statues en bois animées comme des marionnettes que de véritables objets articulés qui se meuvent tout seuls. Ces divertissements avaient une grande importance aux yeux des princes puisque, malgré les réparations continuelles et coûteuses dont ces engins ont fait l'objet, jamais ils ne disparaissent des comptes et ce jusqu'en 1475 environ. Toute la période des Comtes d'Artois se caractérise par une attitude qui poussa ces derniers à faire exécuter l'entretien et les réparations des automates, mais aucune création n'intervint. Quand les Ducs de Bourgogne prirent possession du château d'Hesdin, commença au contraire une longue période de développement pour les engins. Il existait déjà des automates à Hesdin avant 1292, date du retour de Robert II à Hesdin. Le Démon de la perversité, par Edgar Allan Poe.

Le Démon de la perversité, par Edgar Allan Poe, 1850, traduction Charles Baudelaire.

Le Démon de la perversité, par Edgar Allan Poe

Les illustrations sont de Siegfried Zademack. (Publié d'abord dans le numéro de Juillet 1845 du Graham's Lady's And Gentleman's Magazine, ce texte a ensuite été publié de nouveau, dans une version légèrement révisée, dans divers recueils de poèmes les années suivantes. Poe commence à être connu en France peu avant sa mort. Le jeune Baudelaire le découvre en 1847, et entreprend immédiatement la traduction de son oeuvre. Les premières Histoires Extraordinaires sont publiées à Paris dix ans plus tard.)

Dans l’examen des facultés et des penchants, — des mobiles primordiaux de l’âme humaine, — les phrénologistes ont oublié de faire une part à une tendance qui, bien qu’existant visiblement comme sentiment primitif, radical, irréductible, a été également omise par tous les moralistes qui les ont précédés. Nous avons devant nous une tâche qu’il nous faut accomplir rapidement. Mais pourquoi en dirais-je plus ? Le Démon de la perversité, par Edgar Allan Poe. Chère Imagination avec André Breton et Kazuhiko Nakamura. Les illustrations sont de Kazuhilo Nakamura alias Almacan Kazuhiko Nakamura est né à Hyogo, au Japon, en 1961.

Chère Imagination avec André Breton et Kazuhiko Nakamura

Jeune, il a été fortement influencé par le surréalisme et les styles cyberpunk. «L'art de Kazuhiko Nakamura est un hybride surréaliste de l'homme et la machine, un mariage difficile de métal et de chair. " Chère imagination, ce que j’aime surtout en toi, c’est que tu ne pardonnes pas. Le seul mot de liberté est tout ce qui m’exalte encore. Réduire l’imagination à l’esclavage, quand bien même il y irait de ce qu’on appelle grossièrement le bonheur, c’est se dérober à tout ce qu’on trouve, au fond de soi, de justice suprême. Reste la folie, « la folie qu’on enferme » a-t-on si bien dit.

Ce n’est pas la crainte de la folie qui nous forcera à laisser en berne le drapeau de l’imagination. Par contre, l’attitude réaliste, inspirée du positivisme, de saint Thomas à Anatole France, m’a bien l’air hostile à tout essor intellectuel et moral.