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Flint - Une newsletter personnalisée confectionnée avec amour par des robots venus du futur. Un Français pour diriger le nouveau laboratoire d’intelligence artificielle de Facebook | FrenchWeb.fr. Facebook crée un laboratoire de recherches orienté sur l’analyse de ses données, sur le « machine learning » et l’intelligence artificielle. Sur son post Facebook, Yann LeCun, professeur à l’université de New York, annonce avoir accepté la direction d’un nouveau laboratoire de recherche: « I am thrilled to announce that I have accepted the position of director of this new lab. I will remain a professor at New York University on a part-time basis, and will maintain research and teaching activities at NYU« . Yann LeCun, un Français installé depuis de nombreuses années aux USA, est reconnu comme un « penseur les plus respectés dans son secteur, a mené des recherches révolutionnaires en deep learning », comme l’indique Mike Schroepfer, directeur technologique de Facebook hier dans un communiqué.

Il avait contribué à créer un système de lecture des chèques pour AT&T dans les années 90. Le Lab Facebook à Paris: les bonnes questions à se poser sur l’Intelligence artificielle. L’intelligence artificielle correspond au fait d’intégrer l’intelligence humaine dans une machine. Plus concrètement, il s’agit du traitement des connaissances et du raisonnement, dans le but de permettre à une machine d’exécuter des fonctions normalement associées à l’intelligence humaine : compréhension, raisonnement, dialogue, adaptation, apprentissage, etc. Actuellement, l’intelligence artificielle voit son avenir prospérer avec l’arrivée des robots intelligents et autonomes capables de toute sorte d’action. Les secteurs concernés : L’armée : Assurément, les technologies d’armement vont évoluer; drônes de combat (les drônes privés existant déjà), les « smarts bombs » guidées par ordinateur, ou encore le décryptage de données ennemies.

La science : L’intelligence artificielle pourrait permettre d’effectuer des gestes extrêmement précis lors d’interventions chirurgicales délicates. Un robot Google capable de refléter la personnalité de chacun. On pourrait se croire dans le dernier film d’Hollywood avec i-Robot, Wall-E, ou Chappie. Mais Google a bien fait un pas de plus vers l’intelligence artificielle après le dépôt d’un brevet donnant aux robots domestiques une personnalité.

Baptisé « méthodes et systèmes pour le développement de la personnalité du robot », le projet s’appuierait sur le cloud. En outre, il permettrait de télécharger un trait de personnalité comme une nouvelle application. Les robots pourront ainsi être programmés pour interagir avec des personnalités et des profils différents. Encore plus incroyable, le robot pourrait imiter la personnalité du propriétaire du robot, d’un proche disparu ou d’une célébrité. Autre fonctionnalité, la possibilité de partager cette personnalité avec d’autres robots, si le propriétaire devait partir en voyage dans une autre ville. « La personnalité du robot devient ainsi transportable ou transférable», précise plusieurs médias américains. Google creates an ominous robotic dog, and repeatedly kicks it. The snow was packed loosely and ready to rumble.

Gardiner Harris checked his watch and set off a controlled explosion. And now the avalanche. Ever since his dispatch—Holding Your Breath in India—appeared in The New York Times, the Indian media has gone into a tizzy, with The Times of India leading the vanguard. These Quentins would have you believe that Delhi, a megapolis of 25 million inhabitants, is a dungeon full of gimps. The water is undrinkable, the land is unusable; and the air—well, the air is unbreathable.

Using each one of his 1,771 rusted and pointed words as though they were a sloshed acupuncturist’s needles, Harris set about pricking the average Dilliwallah at all the wrong places. There is little doubt, though—and for Dilliwallahs less than little—that Harris’ Huns-are-here piece, when scrunched into a ball acceptable to the nearest wastepaper bin, dribbles enough juicy truth. Delhi is polluted. Personal anecdotes do not make a story watertight. 1 on Delhi’s monkey menace. Big Data Boss : un robot au CoDir. La société qui vient d’annoncer cette étonnante nomination est Deep Knowledge Ventures (DKV). Spécialisée dans la gestion de fonds à hauts-risques rattachés aux sociétés investissant dans les biotechnologies et les traitements liés au vieillissement et à la médecine régénérative, celle-ci vient en effet de doter son conseil d’administration de l’entité VITAL (Validating Investment Tool for Advancing Life Sciences). Cette intelligence artificielle lui servira de conseiller en vue de mieux appréhender les entreprises de ce secteur santé spécialisé : elle analysera leurs données et déterminera les investissements les plus rentables.

VITAL a été initialement développé par le CBRM (Center for Biogerontology and Regenerative Medicine) qui fût acquis en mars 2014 par la société britannique Aging Analytics. Reste à savoir quel accueil les collègues de VITAL lui réserveront puisqu’il n’y aura plus la place à l’erreur, ou si peu… (Photo de Une via La Metropole) Robot humanoide.