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Accro à votre portable ? Vous êtes nomophobe. La nomophobie, ou la peur d'être sans son téléphone portable - 06/04/2012. La nomophobie c'est quoi ?

La nomophobie, ou la peur d'être sans son téléphone portable - 06/04/2012

C'est l'angoisse d'être privé de son téléphone portable. Ce phénomène, venant de la contraction de « no mobile phobia », touche les accrocs aux réseaux sociaux qui ne supportent pas l'idée d'être déconnectés. Digital addiction may damage your brain: Study. We throw around words like "crackberry" to describe how dependent we are on high-tech devices.

Digital addiction may damage your brain: Study

But now, a study finds that Internet addiction may actually damage the brain -- the same as too much alcohol or drugs. For the study, published in the Jan. 11 issue of PLoS One, researchers studied 17 men and women who were diagnosed with Internet addiction disorder (IAD) and compared scans of their brains to scans of 16 healthy people who weren't addicted to the web. Study participants were between the ages of 14 and 21 and lived in China. The researchers found more patterns of "abnormal white matter" on brain scans of Internet addicts, compared with scans of non-addicts. White matter areas in the brain contain nerve fibers that transmit signals to other parts of the brain. These changes showed evidence of disrupting pathways related to emotions, decision-making, and self control.

Internet addiction changes brain similar to cocaine: StudyOvercoming Internet addiction. Un député interpelle le gouvernement sur la dépendance numérique. Le député François Loncle s’inquiète de l’utilisation obsessionnelle d’Internet par certains utilisateurs du réseau.

Un député interpelle le gouvernement sur la dépendance numérique

Jeux vidéos, paris en ligne, réseaux sociaux... Toutes les éventuelles addictions à ces nouveaux services mériteraient de faire l’objet d’une attention particulière du gouvernement selon l’élu. François Loncle est le député socialiste de l’Eure. L’élu a adressé aujourd’hui une question écrite (repérée notamment par @AlexArchambault) à la ministre de la santé, Marisol Touraine, pour lui parler de dépendance numérique. « La cyberaddiction est un trouble psychologique qui contraint un individu à utiliser un ordinateur et à se connecter à internet de manière obsessionnelle, au point que cela affecte sa vie personnelle.

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent.

Comment devient-on accro au numérique ?

Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent... Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Quand hyperconnectivité mène à la réclusion sociale.

C’est en perdant nonchalamment mon temps sur Facebook que je suis tombé sur ce statut de 4Chan qui rapportait qu’un père donnera 200 $ à sa fille de 14 ans si elle quitte Facebook pendant 5 mois.

Quand hyperconnectivité mène à la réclusion sociale

Le contrat, quoique loufoque, témoigne d’une grande détresse parentale face à ce nouveau comportement de gens hyperconnectés. Un moment paradoxal, mais ô combien intéressant. Schumpeter: Slaves to the smartphone. Les remèdes pour les addicts du numérique se développent. Les thérapies contre l'addiction aux nouvelles technologies se développent, du papier peint anti-Wifi aux vacances 100% offline, en passant par les cures de désintoxication. « Les gens se connectent sans arrêt, partout, dans toutes les positions - au lit, au restaurant, dans les salles d'attente », constate Remy Oudghiri, directeur de l'institut de sondage français Ipsos et auteur d'un livre sur la « e-dépendance ».

Les remèdes pour les addicts du numérique se développent

Les écrans ont colonisé les années 2010. Aux États-Unis, près de la moitié des adultes disposent d'un smartphone, et plus d'un tiers arborent une tablette numérique. « Ce surgissement soudain des possibilités infinies de connexion, après une période initiale d'enthousiasme, conduit chaque utilisateur à réfléchir sur la façon de savourer l'existence tout en profitant de leur connexion. Un hôpital pour les ''drogués'' du numérique ouvre ses portes. S'il est de notoriété publique qu'être connecté en quasi-permanence n'est pas sain, les risques encourus sont aujourd'hui précisément identifiés : risques de cancers dus à la surexposition aux ondes, troubles du sommeil, lésions cérébrales, nervosité latente...

Un hôpital pour les ''drogués'' du numérique ouvre ses portes

A tel point que l'Etat de Pennsylvanie ouvre son le premier programme de désintoxication numérique médicalement assisté.