L'Art du mensonge politique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'Art du mensonge politique est un pamphlet et traité de politique (satirique) écrit en 1733 par John Arbuthnot, attribué à Jonathan Swift. À sa publication, il ne s'agit pas vraiment d'un livre à part entière mais de l'ouverture d'une souscription pour plusieurs volumes à paraître. Résumé de l'œuvre[modifier | modifier le code] Le premier volume de l'œuvre comprend onze chapitres. Kant et le Mensonge. Le mensonge en philosophie : 3 approches Emmanuel Kant traite du mensonge dans son court essai intitulé D’un prétendu droit de mentir par humanité, en réaction au texte de Benjamin Constant (Des réactions politiques), lequel défend un droit de mentir par humanité.
Avant de discuter les arguments kantiens, reprenons la thèse de Constant : La controverse entre Kant et Constant. Faut-il toujours dire la vérité ?
La réponse de Kant. Soit, par exemple, la question suivante : ne puis-je pas, si je suis dans 1'embarras, faire une promesse avec l'intention de ne pas la tenir ? Je distingue ici aisément entre les sens que peut avoir la question : demande-t-on s'il est prudent ou s'il est conforme au devoir de faire une fausse promesse ? Kant ; Fondements de la métaphysique des mœurs, 1785. Si je ne dis pas la vérité, je devrai d'ailleurs répondre de toutes les conséquences de mon mensonge. « Si je dis quelque chose de faux dans des affaires d’importance où le mien et le tien sont en jeu, dois-je répondre de toutes les conséquences qui peuvent suivre de mon mensonge ?
Kant ; Doctrine de la vertu Ch. 1, Art. 1 Du mensonge. » 1797. La critique de Benjamin Constant : je ne dois la vérité qu'à ceux qui ont droit à la vérité. Pour découvrir ce dernier principe, il faut définir le premier. Voilà, ce me semble, le principe devenu applicable. Partager l'article ! Observatoire du mensonge. Je m’interroge souvent sur ce point : quand donc les Français comprendront-ils que la gauche n’apporte que la désolation ?
Que faut-il donc que cette gauche fasse à la France pour que les Français se réveillent ? La gauche a montré son vrai visage intolérant et totalement abscons mais le pire c’est qu’elle est en plus totalement incompétente pour gérer un pays. Déjà deux expériences à gauche furent clairement des échecs : Mitterrand pendant 14 ans et Jospin pendant 5 ans sous Chirac. Avec Hollande, les records sont battus : Un gouvernement qui en un an nous envoie dans deux guerres qui ne sont pas les nôtres ! Et encore on a évité une troisième avec la Syrie… Un gouvernement qui a taxé tous les Français pour les asphyxier financièrement. Evolution de notre société : La droite est souvent qualifiée de la droite la plus bête du monde. . « La vérité de demain se nourrit de l’erreur d’hier » (Saint-Exupéry). Une société sans repères et sans valeurs est une société foutue. Like this: Les citations sur la vérité/le mensonge. Réflexions sur le mensonge, A. Koyré.
Le mensonge universel. Mentir, est-ce grave? Mentir, est-ce si grave ?
Sans doute… Mais, pourquoi ? Et est-ce si simple ? Tout d’abord il y a la question de la définition du mensonge. Ensuite, il y a le contexte du mensonge - on peut mentir dans certaines circonstances pour éviter un mal plus grand. La définition du mensonge tout d’abord. . « Mentir sans profit, ni préjudice de soi, ni d’autrui, n’est pas mentir : ce n’est pas mensonge, c’est fiction » Jean-Jacques Rousseau On s’en tiendra à cette dernière définition puisque elle seule comporte des enjeux d’ordre moral. La position de Benjamin Constant (ou de Vladimir Jankélévitch) est moins ambiguë : on peut mentir « par humanité » pour sauver la vie d’un ami, ou pour tromper un officier nazi (Jankélévitch).
Une fois ce point éclairci (une tromperie bien intentionnée reste une tromperie, mais elle peut parfois être un moindre mal), tous les mensonges sont-ils également blâmables ? Pour commencer, la thèse de Kant. Pour autant, tous les mensonges sont-ils également blâmables ? Mensonge - définition. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le mensonge (couramment menterie au Québec[1],[2],[3],[4]) est l'énoncé délibéré d'un fait contraire à la vérité, ou encore la dissimulation de la vérité (dans ce dernier cas on parle plus particulièrement de mensonge par omission). Il ne faut pas le confondre avec la contrevérité, qui désigne simplement une affirmation inexacte, sans préjuger du fait que son auteur le sache ou non.