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Débats

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The sharing economy isn’t sharing its wealth with you. TaskRabbit announced a new service in late May branded TaskRabbit for Business through which it will broker temporary labor for businesses.

The sharing economy isn’t sharing its wealth with you

Having built a bullpen of what the company claims are over 10,000 vetted individuals available for “temporary jobs that take multiple days, weeks, or even months to complete,” according to the company’s website, TaskRabbit has pivoted from being a matching service that pairs someone with a few spare hours to a person who has an errand, into a full-blown temp agency. Like other darlings of the “sharing economy,” “the gig economy,” or whatever neologism you favor, TaskRabbit has benefited from a labor market in which a lot of idle resources aren’t being allocated efficiently. TaskRabbit has collected a critical mass of mostly idle labor, added a layer of administration, and is now marketing this as a business resource.

Until recently, regulators have given these companies a little rope. These numbers don’t exactly indicate a highly “sticky” service. Lift14: La face sombre de l'économie du partage - High-Tech. Lift14 Covoiturage, location de vélos ou échange d’appartements: l’économie du partage est en plein boom.

Lift14: La face sombre de l'économie du partage - High-Tech

Mais ce nouvel eldorado a aussi ses détracteurs, comme Scott Smith, spécialiste et critique des tendances émergentes. Scott Smith était l'invité jeudi de la conférence Lift, où il a ébranlé quelques certitudes sur l'essor de l'économie collaborative. Image: S.K. Articles en relation Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter. L'économie collaborative est-elle solidaire ? Covoiturage (Blablacar, Carpooling…) autopartage (Buzzcar, Deways, Oui-Car), location d'appartements (Airbnb…), mutualisation de machines à laver (La Machine du Voisin) achat groupé de productions agricoles locales (La Ruche qui dit oui), financement participatif de concerts ou autres projets artistiques au Nord (MyMajor-Company, Ulule, KissKissBankBank), microcrédits accordés à de petits projets au Sud (Babyloan, Bluebees)… Sous ses multiples facettes, l'économie collaborative est en plein boum.

L'économie collaborative est-elle solidaire ?

D'après le cabinet Accenture, elle pèserait 350 milliards de dollars (266,4 milliards d'euros) en 2013. Coopérative par définition, cette « économie de l'accès » permet en outre à chacun de profiter de services qu'il n'aurait pas nécessairement les moyens de s'offrir individuellement et de créer du lien social au sein des communautés qui la composent… Cela en fait-il pour autant une composante de l'économie sociale et solidaire ? Le crowdfunding, arnaque ou révolution ? Splendeur et misère des partisans de l'économie collaborative. C’est un billet qui aurait du sortir il y a bien longtemps.

Splendeur et misère des partisans de l'économie collaborative

Hélas, le voici qui sort au moment même où nous allons recourir nous même au crowdfunding. En français, le financement participatif. Pour ceux qui auraient passé ces dernières années en Corée du Nord, rappelons le principe : 1) Vous avez un projet qui nécessite un peu d’argent, 2) Vous expliquez votre projet sur un site internet appelé plateforme de crowdfunding en indiquant le montant désiré et des « contreparties » souvent symboliques (un nom au générique, un pin’s…) 3) Vous dites à la terre entière de passer par la plateforme pour faire le paiement en ligne 4) si le montant est atteint, la plateforme vous reverse la somme, sinon tous les donateurs sont remboursés ! La galaxie de l’économie collaborative Le crowdfunding est une composante d’un phénomène plus large que l’on peut conceptualiser sous le nom d’économie collaborative.

Autre exemple célèbre : le co-voiturage. La Querelle des Anciens et des Modernes continue Argh ! L'économie du don <i>high tech</i> Notes Cet article [traduit par Jean-Marc Mandosio] est un extrait remixé du livre Holy fools : a critique of the avant-garde in the age of the Net, Verso, Londres, 1999.

L'économie du don <i>high tech</i>

James Wallace, Overdrive : Bill Gates and the race to control cyberspace, J. Wiley, New York, 1997, p. 266. Deux mondes qui s’ignorent. Mais je n’ai pas lu Dominique Boullier.

Deux mondes qui s’ignorent

Je devine la raison de ce rendez-vous manqué à la lecture de sa relation de L’Âge de la multitude : nous appartenons à deux dimensions parallèles, deux mondes qui s’ignorent. L’âge de la prédation. Dominique Boullier, professeur de sociologie à Sciences Po et coordinateur scientifique du MediaLab nous propose une lecture du livre de Nicolas Colin et Henri Verdier, L’âge de la multitude, Entreprendre et gouverner après la révolution numérique, paru au printemps 2012 chez Armand Colin.

L’âge de la prédation

Il en livre une critique sans concession, mais qui permet d’analyser et de prendre du recul sur la façon dont l’innovation est trop souvent célébrée. Prenez cette note de lecture foisonnante comme une occasion de débattre sur ce qu’est l’économie numérique aujourd’hui… et ce qu’elle n’est pas. L’âge de la multitude est un livre étrange qui brouille les attentes générées par ce titre spinozien, qu’on retrouve chez Toni Negri et chez Yann Moulier-Boutang. Cette fascination pour Apple illustre seulement une confusion conceptuelle que nous allons documenter dans cinq domaines : 1. Les auteurs ont cependant raison d’observer l’état d’innovation continue et jamais achevé qui domine actuellement. 2. 3. 4.