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Lutter contre les fake news/infox

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Vérification de l'info. INFO/INTOX #5 : Comment repérer les manipulations graphiques. How One Journalism Teacher Guides Students Through Fake News Era · Giving Compass. Les médias et l'école contre les fausses informations. Tandis que la confiance dans les médias en France est au plus bas selon un récent sondage et que la consommation de l'information se fait de plus en plus sur les réseaux sociaux, les fausses informations se multiplient à l'approche de l'élection présidentielle en France.

Les médias et l'école contre les fausses informations

Hillary Clinton était gravement malade pendant la campagne présidentielle américaine.La France a réservé près de 80.000 logements sociaux aux migrants.L'épisode de pollution qui a touché la France en fin d'année 2016 avait pour origine des usines à charbon allemandes. Ces trois informations sont fausses. Pourtant, plus de 30% des Français les ont jugées "vraies" selon le baromètre annuel de Kantar-Sofres pour La Croix. Désormais, l'internaute s'y perd entre les contenus provenant de sites parodiques d'information, des sites d’extrême-droite ou encore de sites complotistes. Au départ, il s'agissait de vérifier les propos tenus par les politiques.

Six conseils simples pour démasquer les fausses infos sur internet. A l'heure des réseaux sociaux, mieux vaut se méfier des fausses infos. - © JUSTIN SULLIVAN - AFP Tout le monde, y compris de grands médias et des reporters aguerris, s'est déjà fait avoir un jour par une fausse information. L'objectif est bien sûr que cela n'arrive jamais. Fausses infos : comment les reconnaître. Il n'est pas toujours facile de faire la différence entre les vraies et les fausses informations.

Fausses infos : comment les reconnaître

Les p'tits journalistes de franceinfo junior se sont demandé comment ne pas se tromper, entre rumeurs et faits réels. Les Décodeurs - Pour vérifier un article, il convient... South Korean war on 'fake news' raises concern of censorship. SEOUL – While governments around the world ponder how to deal with the explosion of “fake news,” South Korea has come out swinging, vowing to use its criminal laws to curb what officials have declared a threat to democracy.

South Korean war on 'fake news' raises concern of censorship

The plans have drawn an outcry from civil liberty advocates, who see it as an attack on free expression. They question whether liberal President Moon Jae-in, who was elected last year following a popular uprising that helped bring down a corrupt government, is pivoting toward a path taken by his disgraced conservative predecessors who used their powers, and criminal defamation charges, to suppress critics. « Fake news » : « Ce projet de loi pose de bonnes questions auxquelles il donne de mauvaises réponses » Pour Christian Gerin, président du Syndicat des agences de presse audiovisuelles, la loi contre les « fake news » est déséquilibrée.

« Fake news » : « Ce projet de loi pose de bonnes questions auxquelles il donne de mauvaises réponses »

De nouvelles attributions sont confiées au CSA, mais sans répondre à la question des moyens, ajoute-t-il, dans une tribune au « Monde ». LE MONDE | 06.06.2018 à 11h48 • Mis à jour le 06.06.2018 à 12h13 | Par Christian Gerin (Président du Syndicat des agences de presse audiovisuelles-Satev) « Fausses informations » : l’Assemblée vote les propositions de loi. Les deux propositions visent à faire cesser la diffusion de fausses informations durant les trois mois précédant un scrutin national.

« Fausses informations » : l’Assemblée vote les propositions de loi

L’Assemblée nationale a voté, dans la nuit de mardi 3 à mercredi 4 juillet, deux propositions de loi controversées contre « la manipulation de l’information » en période électorale, dont l’examen avait été suspendu au début de juin, après des heures d’un débat plusieurs fois tendu autour des « fausses nouvelles ». Ces deux propositions de loi – l’une ordinaire, l’autre organique pour légiférer sur l’élection présidentielle – visent à permettre à un candidat ou un parti de saisir le juge des référés pour faire cesser la diffusion de « fausses informations » durant les trois mois précédant un scrutin national.

Facebook lance officiellement son projet de recherche sur la désinformation. Contrairement à la pratique habituelle de l’entreprise, les chercheurs qui vont travailler sur le sujet sont indépendants. Après avoir été vivement critiqué, depuis l’élection de Donald Trump, pour son rôle dans la diffusion d’informations trompeuses, Facebook avait annoncé une série de mesures pour limiter la propagation de ces messages. Outre la mise en place de nouveaux outils de modération et des changements dans la mise en avant des posts par son algorithme, l’entreprise avait prévu de collaborer avec des chercheurs indépendants pour étudier la diffusion de fausses informations en ligne. Ce projet a été officiellement lancé ce 11 juillet, sous le nom de Social Science One. Les chercheurs partenaires – en grande majorité américains – auront accès à un corpus de données gigantesque d’un million de gigaoctets.

Pas de rémunération directe des cherches. Les méthodes anti-fake news de Facebook semblent porter leurs fruits. Temps de lecture: 7 min Depuis la dernière élection présidentielle aux États-Unis, Facebook s’emploie à limiter la présence de fausses informations dans les fils d’actualité, s’exposant ainsi à un feu nourri de critiques, et notamment d’accusations de biais politique, à gauche comme à droite.

Les méthodes anti-fake news de Facebook semblent porter leurs fruits

How to Fix Fake News. Here’s a system that might help, and it is based on something that Facebook already does to prevent the spread of fake news.

How to Fix Fake News

Currently, Facebook asks independent fact-checking organizations from across the political spectrum to identify false and misleading information. Whenever users try to post something that has been identified as fake news, they are confronted by a pop-up that explains the problems with the news and asks them to confirm if they’d like to continue. None of these users are prevented from posting stories whose facts are in dispute, but they are required to know that what they are sharing may be false or misleading.

Facebook has been openly using this system since December 2016.