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Addiction aux jeux vidéos ?

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Jouer en réseau sans ordinateur, c'est possible. Les jeux vidéo peuvent nous rendre meilleurs et ainsi contribuer à changer le monde.

Jouer en réseau sans ordinateur, c'est possible

Ce postulat, Jane McGonigal en a fait son credo et arpente les salles de conférences du monde entier pour en convaincre les autres. Invitée de la première Rencontre RSLN de l’année, elle a fait sensation vendredi, au Campus Microsoft France, lorsqu’elle a convié une salle bondée à se lever pour jouer… à une bataille de pouces géante. Prenez une salle pleine de journalistes, universitaires, fans de jeux vidéo ou novices suffisamment curieux pour en découvrir plus sur le concept de gamification. Comment les jeux vidéo améliorent notre intelligence et notre santé. Pourquoi la tribune du «Point» sur les jeux violents et les tueurs tape à côté. Jeu vidéo : la flippante prédiction d’une partie vieille de dix ans. A quoi ressemblera le monde en 3991 ?

Jeu vidéo : la flippante prédiction d’une partie vieille de dix ans

Un féru de jeu vidéo peut nous éclairer : il joue à la même partie de « Civilization II » depuis... dix ans. Ce jeu de simulation – deuxième opus d’une série qui en compte cinq – place le joueur à la tête d’une civilisation, à charge pour lui de choisir le régime politique le plus adapté et les savoirs à acquérir en priorité, de faire la guerre aux peuples voisins ou de développer les infrastructures.

Par défaut, la partie commence aux alentours de 2000 avant Jésus-Christ. Environ 4000 ans plus tard, le verdict tombe. Si vous avez réussi à dépasser toutes les autres civilisations du jeu (par votre force militaire ou la supériorité de vos scientifiques), vous gagnez. Mais il est possible de choisir de continuer la partie au-delà de cette fin théorique. Des captures d’écran du jeu de Lycerius. Les jeux vidéo ne sont pas une drogue et ne rendent pas nécessairement violent.

Les jeux vidéo rendent-ils accro ?