background preloader

Arguments cons

Facebook Twitter

9 Reasons Your Canine Teeth Don't Make You a Meat-Eater. Photo: Jordan Chez/iStockphoto One of the most common justifications for meat-eating that vegans encounter is, “If I wasn’t meant to eat meat, then I wouldn’t have these canine teeth!”

9 Reasons Your Canine Teeth Don't Make You a Meat-Eater

It’s a knee-jerk defense that’s often made after a meat-eater has been confronted with information about animal farming cruelty, or with the fact that humans have no biological need for meat, milk or eggs. But there are several serious problems with the “canine teeth” argument, the most glaring one being the premise that “the presence of canine teeth = meant to eat meat.” In truth, with the exception of rodents, rabbits, and pikas, nearly all mammals have canine teeth. In fact, several herbivores have ferocious canine teeth, and, as you’ll see in the gallery below, the largest canine teeth of any land animal belong to a true herbivore.

Scroll down for more good reasons why our canine teeth don’t make us meat-eaters, and check out our gallery of surprising images of some stunningly fang-tastic herbivores. The Palaeolithic Diet And The Unprovable Links To Our Past. We still hear and read a lot about how a diet based on what our Stone Age ancestors ate may be a cure-all for modern ills.

The Palaeolithic Diet And The Unprovable Links To Our Past

But can we really run the clock backwards and find the optimal way to eat? Comment se supplémenter en B12 ? Chaîne alimentaire : l'homme, un anchois comme les autres. L’homme est traditionnellement considéré comme le dernier maillon de la chaîne alimentaire : «c’est faux», assure une équipe française de chercheurs, pour qui l’homme se situe en fait au même niveau que l’anchois, bien loin d’un prédateur supérieur comme l’ours polaire.

Chaîne alimentaire : l'homme, un anchois comme les autres

Pour arriver à cette conclusion quelque peu déroutante, l’équipe Ifremer-Institut de recherche pour le développement-Agrocampus-Ouest a calculé pour la première fois le «niveau trophique» de l’homme. C’est cet indice qui détermine la position d’une espèce dans la chaîne alimentaire. C’est dégueulasse de dire aux omnivores qu’ils tuent pour manger. Il y a des choses qu’il ne faut pas dire à un omnivore si on ne veut pas passer pour un extrémiste sectaire.

C’est dégueulasse de dire aux omnivores qu’ils tuent pour manger.

Par exemple le fait qu’il mange des animaux qui ont été tués pour lui. C’est pourtant tout ce qu’il y a de plus vrai. Mais les omnivores n’aiment pas se l’entendre dire. L'argument de la Nature. Alimentation humaine : Que dit le corps ? Source en anglais : The Comparative Anatomy of Eating - Traduction et mise en forme pour libertero@gmail.com (Reprise partielle ou complète autorisée sous réserve d'inclure cette mention d'entête lisiblement et sans modification) Les êtres humains sont le plus souvent décrits comme «omnivores».

Alimentation humaine : Que dit le corps ?

Cette "observation" repose sur le fait que les humains se nourrissent, en général, d'une grande diversitéd'alimentsvégétaux et animaux.Cependant,les cultures et les coutumes sontplutôt des facteurs de confusionet"l'observation" des pratiques alimentaires n'est pas la meilleuretechnique à utiliserquand on essayed'identifierle régime alimentairele plus«naturel».Alors quela plupart des humainssont clairementdes omnivorespar leur comportements,la question demeurede savoir siles humains sontanatomiquementadaptés àun tel régime incluant animauxetvégétaux.

Tableau de synthèse Analyse détaillée La cavité buccale (la bouche) Les carnivores. The Comparative Anatomy of Eating. Humans are most often described as "omnivores.

The Comparative Anatomy of Eating

" This classification is based on the "observation" that humans generally eat a wide variety of plant and animal foods. However, culture, custom and training are confounding variables when looking at human dietary practices. Thus, "observation" is not the best technique to use when trying to identify the most "natural" diet for humans. While most humans are clearly "behavioral" omnivores, the question still remains as to whether humans are anatomically suited for a diet that includes animal as well as plant foods.

A better and more objective technique is to look at human anatomy and physiology. L'Homme: omnivore ou végétarien de nature? Le Naturalisme et la B12, ou pourquoi les gens veulent absolument me faire boire du lait de vache. L'argument de la B12. Un grief fréquent contre les alimentations végétariennes est la nécessité qu'elles impliquent de prendre un complément de vitamine B12.

L'argument de la B12

Ce nutriment, abondant dans la viande, est en effet pratiquement absent des plantes, et une personne végétalienne doit s'assurer un apport régulier par la prise de suppléments ou d'aliments supplémentés (certains jus de fruits, corn flakes...). Cela concerne même les végétariens qui consomment des laitages et des œufs, car la B12 n'est présente dans ces produits qu'en quantité limitée. Une carence en B12 peut apparaître après plusieurs années et avoir des conséquences nerveuses irréversibles ; même légère elle peut aussi, à la longue, abîmer les artères.

Ces faits gênent les végétariens eux-mêmes, qui souvent n'aiment pas l'idée des suppléments. Ils ouvrent la voie aux critiques comme celle du médecin Franck Senninger : « On peut certes suppléer mais est-il raisonnable de faire la promotion d'une alimentation qui ne se suffit pas1. » Eh bien non.

Ton argument a des dommages collatéraux. L’antispécisme, c’est facile.

Ton argument a des dommages collatéraux

Cela revient à considérer que les individus ne sont pas supérieurs les uns aux autres en raison de leur appartenance à telle ou telle espèce, et que les intérêts doivent être considérés pour ce qu’ils sont, indépendamment de leur appartenance à une espèce. L’auto-flagellation. Dans la culture occidentale, on a une très forte tendance à l’auto-flagellation. L’argument bidon du « tout ou rien » montre d’ailleurs comment, en se flagellant, on rend le véganisme absurde, et même le végétarisme, d’ailleurs.

Ben oui, parce que, puisqu’on est des méchants, puisqu’on tue des acariens, puisqu’on avale de pauvres araignées pendant notre sommeil , puisqu’on pille la planète en affamant le tiers monde, pourquoi essayer d’être de meilleurs personnes et de faire moins de mal autour de nous? Bad dobby! Bad dobby! C’est quand même d’une tristesse, de raisonner ainsi… Autrement dit, nous sommes des êtres maléfiques, promis à l’enfer et à la damnation éternelle. Evidemment, je pense que, dans une certaine mesure, ce raisonnement ne sert qu’à se justifier à ses propres yeux pour agir mal (mal de son propre point de vue).

Je me fiche de savoir pourquoi vous mangez de la viande. Très chers lecteurs que j’aime, Certains d’entre vous commencent à sérieusement me les briser menues.

Je me fiche de savoir pourquoi vous mangez de la viande.

Vous voulez manger de la viande? Mangez-en. Vous avez le droit. Contradictions. Que fera-t-on des vaches quand on ne les mangera plus?

Contradictions

Pourquoi le végétarisme est un choix de santé alors que sans viande on meurt? Sommes-nous des lions, d’autres animaux ou des créatures mi-anges créées à l’image de Dieu? Epicure mangeait-il au Macdo? Les questions composent… Débuts de réponse ici. Une petite liste non exaustive des contradictions viandesques. La secte majoritaire. Dans mon dernier article, j’ai illustré la façon dont le concept de modération intervient dans la vie des gens, et est utilisé par eux, de façon parfois totalement aveugle, de sorte que, en appelant à des principes tout faits, des phrases toutes faites et autres platitudes modernes, ils s’épargnent l’effort de la réflexion.

Ce que j’appelle l’extrêmisme de la modération est une sorte de religion du non-penser. Il agit comme un repoussoir à idées nouvelles. Récemment, j’ai lu le témoignage d’une personne qui était devenue récemment végétarienne, et qui avait parlé à son entourage proche de l’antispécisme.