01.pdf. Internet : un amplificateur pour les addictions comportementales. Au Centre médical Marmottan nous avons développé depuis le début des années 2000 un accueil spécifique pour des personnes en butte à certaines addictions sans drogue.
Dans le cadre de cette consultation nous recevons principalement des usagers de jeux vidéo, des joueurs d’argent et de hasard et des usagers de sites pornographiques. Nous adhérons au consensus selon lequel la majorité des personnes s’adonnant à ces pratiques ne sont pas des usagers problématiques. Certains d’entre eux cependant, minoritaires, en éprouvent une souffrance et demandent une aide. Ces trois groupes de sujets peuvent avoir plusieurs supports d’usage. Par exemple : ordinateurs et jeux de rôle dans la réalité pour le premier ; casinos, points de vente Pmu et Française des Jeux pour le second ; revues et messageries téléphoniques pour le troisième. Dans le cadre de ces dernières, nous aborderons la prise en compte de l’entourage et la dynamique institutionnelle.
Center for Internet Addiction - Education and Treatment. Is Internet addiction real? If you believe what you read, "Internet addiction" is about to make us a nation of derelicts.
Men drooling over online pornography, women abandoning their husbands for chat-room lovers and people losing their life savings on gambling Web sites are just a few of the stories peddled in today's press. But despite the topic's prominence, published studies on Internet addiction are scarce. Most are surveys, marred by self-selecting samples and no control groups.
The rest are theoretical papers that speculate on the philosophical aspects of Internet addiction but provide no data. Meanwhile, many psychologists even doubt that addiction is the right term to describe what happens to people when they spend too much time online. But more psychologists are plunging into Internet addiction research, fascinated by its emotional, psychological and social implications. In addition, researchers speculate that certain unique aspects of the Internet may lure people into trouble they might otherwise avoid. Facebook addiction – comment je m’en suis sortie - Juliette, génération 7.0. Je vous ai déjà raconté comment je suis malencontreusement tombée dans le réseau social quand j’étais petite (enfin, depuis que je suis à la retraite).
Comme je l’expliquais précédemment, j’étais donc devenue plus qu’accro à Facebook, à tel point que je préférais parfois répondre à un quizz débile en ligne que de passer du quality time avec mon cher mari Antoine. C’est vrai, j’avoue, je me faisais un plaisir de savoir tout ce qui se passait dans la vie de mes amis. J’adorais lire leurs coups de gueule lambda, débattre de la dernière réforme de l’Education Nationale, m’étaler en commentaires rigolos sur une vieille photo scannée de ma copine Martina et moi quand on avait 35 ans. Où était le mal ? Mais voilà : lentement, insidieusement, le réseau social s’est mis à m’empoisonner la vie.
J’ai commencé à cliquer sur les pubs à droite de l’écran. Mon cynisme prenait une dimension malsaine. Alors comme tout addict, j’ai commencé par m’obliger à respecter des limites. Forum Cyberdépendance. Digital detox, le jeûne des hyperconnectés. Pour répondre au malaise généré par une connexion permanente, centres de thalasso et hôtels spa ont ajouté le sevrage numérique à leur menu.
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Catherine Rollot Avant de plonger dans l’inconnu, son réflexe a été de lire un dernier mail. Un geste dérisoire puisqu’il ne pourrait pas y répondre. Puis, il a déposé ses armes numériques dans un délicat pochon orné d’un ruban bleu. A l’accueil du très chic Vichy Spa Hôtel Les Célestins, dans l’Allier, le personnel a consigné le précieux paquet dans le coffre-fort de l’établissement. A côté des bijoux, montres de luxe et liquidités entreposés par la clientèle fortunée, le trésor d’Eric Chesnel – un ordinateur portable et un smartphone somme toute banal –, 48 ans, n’avait rien d’extravagant. Prendre du recul par rapport à une « addiction » aux mails qui brouille les frontières entre sa vie professionnelle et sa vie privée, c’est l’objectif d’Eric Chesnel. Se ménager des mises à distance. Stromae administre au Web une bonne leçon de "buzz"
En Europe, Stromae, tout le monde connaît.
De l'autre côté de l'Atlantique, c'est moins sûr. En tous cas pour l'instant. Car c'est avec un plan de communication d'un genre carré que le jeune trentenaire belge s'apprête à entamer, dans quelques jours, sa seconde tournée en Amérique du Nord. Au passage, il administre au Web une bonne leçon de "buzz", en trois temps: Etape 1, créer une caricature de compte à sa propre effigie. Etape 2, nouer un partenariat exclusif avec un média émergent en Europe, mais bien installé auprès du jeune public nord américain: BuzzFeed. Etape 3, mettre en ligne de cette manière la vidéo de son dernier clip.