background preloader

Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique

Facebook Twitter

Mes Flux RSS. Comportement additifs lié à l’usage du numérique. Travail collaboratif. Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique: Comment s'informer et agir? Evaluer votre dépendance à internet : test IAT. Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo” On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog.

Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo”

Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. A son exemple, des psychanalystes, et non des moindres, comme Serge Tisseron, sont de plus en plus nombreux à dénoncer l’utilisation de la notion d’addiction appliquée aux jeux vidéos. Cette position, forcément iconoclaste, nous intéresse. Et va nous permettre de mettre enfin les points sur les I. InternetActu.net : « Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéos ! Une vision à contre courant. Les addictions et ses « objets », Conférence à la Gamers Assembly 2009. L’Addiction Etymologie Le terme « addiction » vient du latin « ad-dicere », signifiant «dit à».

Les addictions et ses « objets », Conférence à la Gamers Assembly 2009

A l’origine le mot « addiction » était employé pour désigner les esclaves qui étaient « dits à » leur maîtres… Par la suite, le vieux français utilisait le mot « addictus » qui voulait dire « contrainte par corps ». Nous retrouvons cette idée d’esclavagisme, et surtout cette notion d’appartenance du corps. Sens en Psychanalyse En psychanalyse, le mot « addiction » a été employé dans le but d’expliquer des fonctionnements particuliers de sujets dépendants à une substance ou à un objet se situant en dehors du corps, que l’on nomme « objet externe ».

Le terme de dépendance ou d’habitude ne suffisait pas à décrire le besoin de répétition de ces comportements et la satisfaction provoquée par cette répétition n’était pas prise en compte dans la seule notion de dépendance. Or l’ « addiction » est un symptôme qui montre, au devant de la scène, la problématique inconsciente, cachée et refoulée du sujet. L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique.

L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes

Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène. L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Next INpact. De la fracture numérique à la rupture sociale.

La boutique "Connexions solidaires", une branche de l'association Emmaüs à Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris, fournit téléphones, modems, forfaits internet et ordinateurs à prix cassés aux populations les plus fragiles.

De la fracture numérique à la rupture sociale

Par Bastien DELAUBERT et Maxime BAYCE Le téléphone permet à cette jeune mère de joindre les services publics et les médecins qui s’occupent de son enfant Assise sur l'un des sièges de la salle d'attente une jeune mère berce la poussette où dort son enfant. Lorsque Stéphanie Briatte, la responsable de la boutique « Connexions solidaires », la salue, elle répond d'un sourire poli et se dirige vers elle, téléphone en main. Pointant l’écran de son smartphone, acheté une vingtaine d’euros quelques jours auparavant, elle veut montrer une photo de son bébé à « Madame Stéphanie ». « Je l’ai envoyée à mes parents au Mali, c’est la première fois qu’ils ont pu voir à quoi ressemble leur petit-fils. »

Aspects psychologiques — Enseigner avec le numérique. Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo.

Aspects psychologiques — Enseigner avec le numérique

Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...] «Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Ce sont plutôt les conséquences qu'il faut regarder: «Lorsque l'enfant décroche de la vie familiale ou scolaire, qu'il ne veut plus se lever le matin, qu'il abandonne ses activités sportives… Ce sont autant de signes d'alerte», explique le médecin. » Figaro.fr, 22/01/

Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique.

Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ?

En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification. Le documentaire Digital Detox s'est inspiré de cette dépendance.