background preloader

Promotion de la femme

Facebook Twitter

Histoire des femmes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire des femmes

Dans la perspective féministe, jusqu'au milieu du XXe siècle, les sociétés occidentales accordent un traitement favorisant les hommes et assujettissant[5] les femmes, tant au point de vue du droit que des usages et coutumes. En effet, les traditions accordent une importance particulière au rôle social de femme au foyer, qui doit se consacrer aux tâches ménagères, à la reproduction et à l'éducation des enfants. Notons cependant que la dévalorisation implicite de ce rôle de "femme traditionnelle" n'est que récente, liée au poids grandissant pris par la sphère économique dans le monde [réf. nécessaire].

Par ailleurs, ce rôle de femme au foyer n'exclut pas l'exercice d'une profession, notamment depuis la révolution industrielle. L'idée de l'égalité des sexes ne s'impose ainsi que récemment, mais les femmes ont su bien avant tirer parti de conditions historiques pour s'affranchir des contraintes et différences qui leur sont imposées. L'ONU, alliée des femmes ? Le Conseil de population, crée en 1950 par le milliardaire Rockefeller, est un des premiers à présenter le concept de « surpopulation » comme une menace pour le développement, concept repris dès 1962 par l’ONU qui le déclare « problème mondial numéro un ».

L'ONU, alliée des femmes ?

En 1969, c’est le président de la Banque mondiale, Mac Namara, qui suggère de centraliser les politiques de population de l’ONU : apparaît alors le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP). En 1972, la conférence de Stockholm laisse entendre que l’augmentation de la population mondiale produit un impact négatif sur l’environnement. En 1973, George Bush, alors représentant des États-Unis auprès des Nations unies, déclare : « aujourd’hui, on ne peut plus dire que le problème de la croissance de la population soit une question privée. Il requiert l’attention des dirigeants nationaux et internationaux ».

Or d’où viennent ces politiques ? « Les femmes ne sont pas une catégorie » les stratégies de légitimation de la parité en France. Notes Nous utiliserons l’expression discrimination positive pour qualifier l’ensemble des mesures préférentielles et/ou ciblées sur une catégorie, visant à corriger les effets de la discrimination passée et/ou présente dont sont présumés victimes les membres de ladite catégorie.

« Les femmes ne sont pas une catégorie » les stratégies de légitimation de la parité en France

Pour les élections municipales dans les communes de plus de 3 500 habitants, par exemple, la règle est contraignante puisqu’elle impose que les listes soient « paritaires » et exige un ordre de candidatures (les listes électorales ne peuvent être enregistrées s’il n’y a pas un nombre égal de personnes de chaque sexe par tranche de six candidats). Pour les élections législatives, la loi ne prévoit qu’un dispositif incitatif, puisque le quota de candidatures est seulement un objectif à atteindre, assorti de pénalités financières en cas de non-respect. Françoise Gaspard, Claude Servan-Schreiber, Anne Le Gall, Au pouvoir, citoyennes ! Nations Unies: Développement - Promotion de la femme. Les dates importantes dans l'histoire des femmes en France. LDH Toulon | Page précédente L'idée que les femmes ont les mêmes droits que les hommes est toute récente.

Les dates importantes dans l'histoire des femmes en France

Auparavant, comme pour toute discrimination, on s'appuyait sur leurs différences, de nature, de fonction, pour justifier le fait qu'elles étaient privées d'un certain nombre de droits. De plus, on les a le plus souvent considérées comme inférieures, incapables de réflexion, de logique, de maturité. Éternelles mineures, elles devaient se cantonner aux charges du foyer. Sauf lorsqu'elles étaient pauvres : on les exploitait alors autant et même plus que les hommes... Les fils seuls ont le droit à l'héritage. Vers le début Les filles ont le même droit à l'héritage que les fils. Vers le début le mariage est soumis au consentement du père : pour le fils, jusqu'à 25 ans ; pour la fille, toujours. La femme n'est plus obligée de vivre au domicile de son mari. Retour Sources L'essentiel de cette page a été réalisé par la section LDH d'Aix en Provence.