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Covid-19 et vie privée

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Menaces de fuites à l'étranger des données de santé des Français 2 juillet 2020. Conditions d'attribution à Microsoft et à sa plateforme "azure" du contrat d'hébergeur de la plateforme Health Data hub. Mme Marie-Noëlle Lienemann interroge M. le ministre des solidarités et de la santé sur les conditions d’attribution à Microsoft et à sa plateforme « azure » du contrat d’hébergeur de la plateforme Health Data Hub.

Conditions d'attribution à Microsoft et à sa plateforme "azure" du contrat d'hébergeur de la plateforme Health Data hub

Le Health Data Hub a été créé en novembre 2019 dans le cadre du projet de loi « Organisation et Transformation du système de santé » pour mettre en œuvre la stratégie Intelligence Artificielle française (IA) annoncée par le président de la République. Application StopCovid : Anticor saisit le parquet national financier. - Anticor. L’application StopCovid a été développée dans le cadre de la crise sanitaire, avec pour objectif de lutter plus efficacement contre la propagation de l’épidémie, via un système de traçage numérique.

Application StopCovid : Anticor saisit le parquet national financier. - Anticor

Elle est disponible gratuitement, depuis le 2 juin, sur les plateformes App Store et Google Play, pour tous les utilisateurs Iphone et Androïd. Or, d’après les révélations de l’Obs, la maintenance et l’hébergement de l’application est assurée par la société Outscale, filiale de Dassault Systèmes, pour un coût d’exploitation estimé à un montant de 200.000€ à 300.000€, par mois. Anticor rappelle que le gouvernement est tenu de procéder à un appel d’offres à partir de 139 000 euros HT pour les marchés de fourniture et de services, selon les règles de la commande publique. L’absence d’appel d’offres dans les cas où il est obligatoire, est susceptible de constituer l’infraction pénale de favoritisme. Les données de santé de la population française, collectées massivement, seront-elles vraiment protégées ? 11 juin 2020. Ce 11 mai, premier jour du début du déconfinement, dans les hôpitaux parisiens de l’AP-HP, le personnel soignant sort de deux mois très tendus.

Les données de santé de la population française, collectées massivement, seront-elles vraiment protégées ? 11 juin 2020

Au plus fort de la crise, début avril, plus de 2600 patients ont dû être placés en réanimation, dépassant largement les capacités hospitalières initiales. Une tâche supplémentaire est cependant assignée aux soignants : dans un courrier, des responsables de l’AP-HP enjoignent les soignants et chefs de service de bien s’assurer d’envoyer « de manière hebdomadaire » les données sur les patients Covid. « Afin d’alimenter la plateforme des données de santé, le ministère de la Santé a décidé par un arrêté du 21 avril 2020 de mettre en place une remontée accélérée et simplifiée des données du programme de médicalisation des systèmes d’informations », précise ce même courrier. L’État a donc publié un arrêté en pleine pandémie pour accélérer la mise en place d’un projet lancé en 2018 : le Health Data Hub, ou plateforme des données de santé.

Les débuts décevants de l’application StopCovid 10 juin 2020. Où en est StopCovid, l’application française de suivi des cas contacts, une semaine après son arrivée sur les magasins de Google et d’Apple ?

Les débuts décevants de l’application StopCovid 10 juin 2020

COVID-19 en France : NON au traçage numérique ! Une démocratie ancrée que vous tentez de bafouer Cher Monsieur Philippe, Premier Ministre, Nous aimerions vous rappeler que la France est un État de droit et une démocratie.

COVID-19 en France : NON au traçage numérique !

Même en pleine crise sanitaire, vous ne pouvez pas revenir sur ces principes pour lesquels nos ancêtres se sont battus. Nous, Français, avons dû tuer une famille royale il y a maintenant plus de 300 ans pour arriver à être libres aujourd’hui. Nous nous sommes battus, hommes comme femmes pour obtenir le droit de circuler. Vous comprendrez donc que les Français sont énormément attachés à leurs libertés inscrites dans la Constitution de 1958. Avec la crise du coronavirus, nous avons de plus en plus l’impression que le gouvernement cherche à s’octroyer les pleins pouvoirs et à nous enlever les droits que nous avons acquis pendant des siècles.

Depuis le 17 mars, nous avons désormais l’interdiction de sortir et circuler librement à cause du confinement. StopCovid : en marche vers le totalitarisme en costard 28 mai 2020. L’Assemblée nationale et le Sénat ont donné le feu vert au déploiement de l’application StopCovid.

StopCovid : en marche vers le totalitarisme en costard 28 mai 2020

De nombreux parlementaires, sur tous les bancs, ont dénoncé dans cet outil une entreprise liberticide. C’est un débat historique qui s’est tenu hier à l’Assemblée nationale, sur l’application StopCovid. StopCovid : inefficace, dangereux, totalitaire. Leur monde d'après, l'enfer qui vient. STOPCOVID. ANDRÉ CHASSAIGNE, "LE GOUVERNEMENT VEUT RENDRE ACCEPTABLE DES ATTEINTES AUX LIBERTÉS" Épidémie et technologies : « Sous les dorures de la start-up nation, un pouvoir coercitif. Basta !

Épidémie et technologies : « Sous les dorures de la start-up nation, un pouvoir coercitif

: À la Quadrature du net, une association dédiée à la défense des libertés à l’ère numérique, vous êtes radicalement opposés au projet d’application numérique de suivi du coronavirus. Pourquoi ? Nos données de santé fournies à une start-up financée par la CIA ? COVID-19 et surveillance numérique : et nos droits humains. Plusieurs gouvernements développent ou envisagent de développer la surveillance numérique pour endiguer l’épidémie de Covid-19.

COVID-19 et surveillance numérique : et nos droits humains

Ces pratiques doivent répondre à des critères stricts : la pandémie de COVID-19 ne saurait servir d’excuse pour vider de sa substance le droit à la vie privée. Avec la pandémie de COVID-19, le monde est actuellement confronté à une crise sanitaire planétaire sans précédent. Au nom de la lutte contre cette maladie, certains gouvernements s'empressent de développer leur utilisation des technologies de surveillance afin de suivre des personnes, voire des populations entières. Si elles ne sont ni suivies, ni contrôlées, ces mesures risquent de changer profondément l'avenir du droit à la vie privée et d'autres droits humains.