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Nicholas Felton

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Graphisme relationnel — Sylvain Aubry Ce projet de graphisme relationnel propose au public de vivre une expérience collective autour de la création graphique. Chaque participant agit au sein d’un dispositif qui lui permet de s’intégrer au processus créatif d’une affiche générative manuelle et collaborative. Le public est incité à manier des outils graphiques (pochoirs typographiques, pochoirs de formes, grilles de compositions) conçues pour être facile à prendre en main tout en permettant de comprendre certaines problématiques de la composition graphique. La carte d’un monde d’espions OWNI en partenariat avec Wikileaks vous propose cette carte interactive permettant d'identifier toutes les sociétés à travers le monde qui développent et vendent des systèmes d'interception massives. Depuis le mois de septembre dernier, OWNI, en partenariat avec WikiLeaks et cinq autres médias, a mis à jour les activités et les technologies des sociétés – souvent proches des services de renseignement et des institutions militaires – à l’origine de ce nouveau marché de l’interception massive. Pour une part très significative, ces industriels discrets sont implantés dans des démocraties occidentales. Ils fournissent en matériels d’écoutes et d’interception de masse leur propre gouvernement mais aussi de nombreuses dictatures.

Esthétique relationnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L‘esthétique relationnelle ou art relationnel est un mouvement ou une théorie de l'art contemporain, originellement défini par le critique français Nicolas Bourriaud en 1995. Ce dernier a défini cette approche comme « théorie esthétique consistant à juger les œuvres d'art en fonction des relations interhumaines qu'elles figurent, produisent ou suscitent[1]. » Définition[modifier | modifier le code]

Quantified Self (3/3) : Les tabous de la mesure Par Hubert Guillaud le 15/12/11 | 6 commentaires | 2,785 lectures | Impression L’une des limites du Quantified Self demeure trop souvent, de rester focaliser sur la santé et le sport, notamment parce que les deux secteurs permettent d’enregistrer des données “objectives” : vitesse de course, pulsation cardiaque, localisation, prise médicamenteuse… sont autant d’actions concrètes facilement révélables par les chiffres. En ce sens, le QS demeure une mesure de la performance et de l’amélioration, même si pour cela elle observe également la maladie, la faiblesse et la dégradation. Pour s’étendre, le mouvement doit certainement chercher à dépasser ses limites originelles pour introduire la mesure dans d’autres domaines que le seul domaine du soin de soi. Mais en même temps, quand il lui arrive de glisser sur d’autres thématiques, il révèle vite ses limites et ses tabous. Peut-on tout mesurer de soi ?

Graphisme d’utilité publique à Manchester — M-Four La cité de Manchester [parfois connu sous le nom de Madchester] est connu pour être le grand rival de Liverpool [sans oublier Londres] pour des nouvelles tendances en musique. Comme, par exemple, Joy Division/New Order, Happy Mondays, Stone Roses… C’est aussi le lieu où le designer Peter Saville a fait ses premières armes de graphisme. M-Four est une agence/studio de graphisme, mais au sein de la municipalité de la Cité de Manchester. Quantified Self (1/3) : Mettre l’informatique au service du corps Assister à une conférence du Quantifed Self (QS), comme c’était le cas de cette première édition européenne, qui se tenait à Amsterdam, c’est faire l’expérience étrange d’être parmi des gens obnubilés par la mesure de soi et qui interrogent sans cesse ce qu’ils mesurent d’eux-mêmes. C’est être confronté à une multitude de personnes – les « quantifiés » – qui part leurs pratiques mêmes, semblent se distinguer du commun des mortels : « Nous ne sommes pas comme les autres personnes » reconnaissait Gary Wolf en introduction de ces deux jours. Bardés d’outils, d’applications, de techniques de soi et de méthodes, que bien souvent ils inventent en faisant, ces cobayes d’eux-mêmes vous font entrer dans le monde étrange d’une pratique réflexive sur soi-même, visant à faire sens d’une accumulation de données et de chiffres. Comme le faisait remarquer Gary Wolf, le QS vise à « utiliser l’informatique utilement ». C’est un processus actif de réflexivité qui mêle informatique et données.

Władysław Pluta L'exposition L’Évidence Du Signe: Affiches, Livres & Identités, présentée du 2 décembre 2014 au 31 janvier 2015 à la Petite Galerie du Bel Ordinaire à Pau, retrace le parcours d’un designer d’exception au travail minimaliste, véritable quête simultanée de réduction des moyens visuels d’expression et d’efficacité du sens. Władysław Pluta (1949), designer graphique et enseignant du Département Design Industriel de l’Académie des Beaux-Arts de Cracovie, a su développer une écriture qui lui est propre basée sur un usage exclusif de la typographie, à la fois clairement ancrée dans le modernisme et capable de se renouveler à travers chaque contexte de projet, et ce, aux antipodes de l’image communément admise de «l’École Polonaise». Le signe typographique, trop souvent utilisé comme une image gratuite dans une fascination formelle stérile, devient dans la méthodologie de travail de Władysław Pluta une solution faisant sens et appel à l’intelligence de chacun.

Quantified Self (2/3) : Des outils au service de soi Par Hubert Guillaud le 08/12/11 | 7 commentaires | 4,199 lectures | Impression La communauté des quantifiés n’est pas composée que de personnes sensibles à leurs propres mesures. Elle est aussi composée de geeks, de bidouilleurs, de développeurs, d’artisans, de makers, de start-upers et d’industriels qui bricolent ou codent des outils et des services pour faciliter la mesure. Des gens qui, partant le plus souvent de leurs propres besoins, développent des applications ou des prototypes, qu’ils ne cessent de perfectionner, espérant trouver le produit ou le service qui sera adopté par le plus grand nombre, qui fera passer le mouvement de la mesure de la niche des passionnés au plus grand public.

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