background preloader

Les émotions favorisent l’apprentissage

Les émotions favorisent l’apprentissage
Texte adapté de Même les émotions négatives aident à l’apprentissage publié sur le site de l’Université de Montréal le 17 janvier 2011Le chercheur Claude Frasson de l’Université de Montréal s’intéresse aux effets des émotions sur la mémoire. Par ses travaux, il cherche à concevoir des systèmes tutoriels intelligents qui intègrent la dimension émotionnelle de l’apprentissage. « Pour le chercheur, si les émotions sont la clé qui donne accès à la mémoire, c’est aussi dire qu’elles sont essentielles à l’apprentissage. On ne peut apprendre sans émotions, qu’elles soient positives ou négatives, affirme-t-il. Ce sont elles qui impriment les évènements dans notre mémoire. » Dans le cadre de sa recherche de maitrise, Ramla Ghali sous la direction de Frasson, a voulu connaitre les émotions les plus susceptibles de favoriser l’apprentissage. Selon que les enfants sont délicats ou agressifs, les stratégies d’apprentissage ne doivent pas être les mêmes. [Lire l’article de l’Université de Montréal]

http://rire.ctreq.qc.ca/2011/01/les-emotions-favorisent-lapprentissage/

Related:  Apprendre à apprendre - Métacogniton, méthodologieémotionApprendre à apprendre NeurosciencesNeurosciencesEcole Bienveillante

apprendre à apprendre : le projet EQUAL Toutes les démarches d’individualisation des enseignements (fortement poussées par la formation tout au long de la vie), posent à un moment donné la question de l’autonomie dans les apprentissages. Or l’autonomie ne signifie pas être livré à soi-même. On devrait d’ailleurs dire rendre autonome un apprenant. Pour cela il s’agit de lui apporter un ensemble de méthodes et de lui permettre de réfléchir sur sa manière d’apprendre. C’est ce qu’on appelle apprendre à apprendre (en anglais tout simplement, learning to learn). Les Ateliers de Pédagogie Personnalisés et d’autres organismes de formation se sont réunis dans les années 2005- 2007 afin de réaliser un ensemble de fiches d’activités sur la thématique de l’apprendre à apprendre.

Les émotions: causes internes des maladies Parmi les causes de la maladie nous avons vu qu’il y avait les causes externes: Les six énergies perverses. Nous allons voir maintenant les causes internes: les émotions. Bien qu’une énergie perverse externe ayant pénétré profondément dans le corps peut devenir interne, la médecine chinoise considère les émotions comme les principales causes internes (nèi yīn; 内因). L’activité émotionnelle est normale et est une réponse psychologique et physique à un stimulus venant d’un environnement extérieur. Tant qu’une émotion reste modérée/normale, elle n’affaiblit pas le corps et ne provoque aucune maladie. Mais, comme toujours dans la médecine chinoise, lorsqu’un équilibre est rompu cela laisse la porte ouverte à la maladie. Neurosciences, la classe un laboratoire ? Introduction au dossier Les neurosciences, et en particulier les sciences cognitives, ont le vent en poupe auprès des décideurs politiques qui semblent en attendre beaucoup (trop ?). Les enseignants, eux, restent circonspects, car nos classes ne sont pas des laboratoires et nos élèves ne sont pas des cobayes ! Les neurosciences n’ont pas le pouvoir de nous dicter comment faire “scientifiquement” la classe. Certes, le cerveau est fortement utile et sollicité dans le cadre scolaire, mais beaucoup d’autres éléments sont à prendre en compte.

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention 3 mythes sur le cerveau qui influencent possiblement votre façon d’enseigner Le fait de mieux comprendre le cerveau aide-t-il à mieux éduquer? C’est la question à laquelle tentent de répondre certains chercheurs, dont Steve Masson, professeur en neuroéducation à l’Université du Québec à Montréal. La neuroéducation est une nouvelle science qui se veut une approche complémentaire aux recherches déjà existantes en éducation.

Apprendre à retenir, à mieux mémoriser Repères pour aider les élèves à retenir A. Pour bien retenir une leçon, s’assurer de ce qu’on comprend. 1. Même les émotions négatives aident à l'apprentissage Lundi, 17 Janvier 2011 00:00 Journal FORUM Lévitation? Pas vraiment. C’est par la concentration que Claude Frasson parvient à soulever cette balle, mais grâce à l’intermédiaire d’un amplificateur et d’un récepteur d’ondes bêtas émises au cours de l’activité neuronale.

Nos interactions sociales vues par les neurosciences Parce que nous sommes des êtres intrinsèquement sociaux, le cerveau social est devenu un objet d’études pour les neurosciences. Qu’est-ce qui fait le propre de nos interactions humaines ? Comment expliquer ces synchronisations cérébrales ? Depuis une quinzaine d’années, les neurosciences sociales se consacrent à l’étude des mécanismes physiologiques qui sous-tendent les comportements sociaux, explorant les fondements neurologiques des comportements sociaux comme l’attachement, l’empathie ou la coopération. En enregistrant l’activité cérébrale de plusieurs personnes simultanément, ces travaux analysent notamment ce qu'il se passe dans le cerveau des sujets quand ils interagissent entre eux. Grâce à des découvertes récentes dans le domaine, il a été montré que le fait de se tenir la main provoquerait la synchronisation des cerveaux et permettrait d'apaiser la douleur éventuelle chez l'un des partenaires.

Neurosciences et apprentissages Les neurosciences constituent l'une des branches de la recherche médicale qui intéresse le plus le grand public. Nous fondons d'énormes espoirs dans la recherche sur le fonctionnement du cerveau, qui bénéficie de financements importants. Mais il n'est pas plus raisonnable de fonder l'espoir d'une société idéale ayant vaincu la maladie et, pourquoi pas, la mort, sur les neurosciences que sur les technologies numériques. Mais peut-on vivre et avancer sans cet espoir ?

Métacognition et réussite des élèves Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés.Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation.Que faire devant cette réalité ?

Related:  1.1.3 Apprendre à apprendre Toolsapprendre à appendreMouvements pédagogiques, pédagoguescerveauémotions et apprentissagesfrankpoisson