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Urbanisme > Smartcities

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L’objectif étant de déplacer les populations des zones rurales vers des « Smart Cities »/Villes Communicantes.

Shrinking Cities

Villes et développement durable. PLANNED-OPOLIS (ForumForTheFutur) Densification et étalement urbains. Smart Cities. The United Nations Urbanization Agenda. The United Nations United Nations is helping built cities world wide.

The United Nations Urbanization Agenda

UN is a big player in the Urbanization Agenda. UN Habitat III summit is planned to be held next year in 2016, succeeding Habitat I and Habitat II held in 1978 and 1996 respectively. UN is a big player in the elite agendas and was built by them and it serves them on many fronts. It is a principle force in the implementation of the new world order. UN is giving its urbanization agenda lot of attractive labels like city for all, housing and slum upgrading, sustainable cities but the real motive to do so is to move people out of rural areas. 1. That’s the real truth behind this push for urbanization by the UN. Technopolice – Villes et vies sous surveillance. La technologie n’aide pas toujours à devenir une ville intelligente (Ottignies-Louvain-la-Neuve)

Toyota va construire une ville intelligente au pied du mont Fuji. Au CES de Las Vegas, Toyota a dévoilé son incroyable projet de ville intelligente.

Toyota va construire une ville intelligente au pied du mont Fuji

Située près de l’iconique mont Fuji, elle servira de prototype géant à la firme nippone qui y testera les technologies du futur. Un prototype géant. De quoi aura l’air la ville du futur? Smart City ? The spectrum of control: A social theory of the smart city. There is a certain allure to the idea that cities allow a person to both feel at home and like a stranger in the same place.

The spectrum of control: A social theory of the smart city

That one can know the streets and shops, avenues and alleys, while also going days without being recognized. But as elites fill cities with “smart” technologies — turning them into platforms for the “Internet of Things” (IoT): sensors and computation embedded within physical objects that then connect, communicate, and/or transmit information with or between each other through the Internet — there is little escape from a seamless web of surveillance and power. This paper will outline a social theory of the “smart city” by developing our Deleuzian concept of the “spectrum of control.” We present two illustrative examples: biometric surveillance as a form of monitoring, and automated policing as a particularly brutal and exacting form of manipulation.

A Great Cities Initiative of the University of Illinois at Chicago University Library. Les bénéfices de la numérisation des réseaux électriques se chiffreraient en milliards d’euros par an – Le Monde de l'Energie. L’‘Agence internationale de l’énergie vient de consacrer un rapport à la numérisation du système énergétique mondial et à ses implications pour les acteurs de l’énergie.

Les bénéfices de la numérisation des réseaux électriques se chiffreraient en milliards d’euros par an – Le Monde de l'Energie

Au total, ce seraient près de 100 milliards d’euros par an que les Smart Grids pourraient permettre aux producteurs et aux distributeurs d’électricité d’économiser. Le rapport dresse, dans un premier chapitre, un tableau très complet des impacts de la numérisation sur la demande d’énergie les secteurs des transports, du bâtiment et l’industrie. Il se penche, ensuite, sur les impacts potentiels de la numérisation sur les secteurs du pétrole du gaz et du charbon avant d’aborder la transformation numérique du système électrique.

On retiendra du rapport de l’AIE, au-delà des analyses générales, toute une série d’indications chiffrées et de projections à l’horizon 2040 : investissements dans la transformation numérique, impacts potentiels sur les opérations, sur l’économie du secteur et sur les prix. « L'immeuble-ville », une bonne réponse à la surpopulation urbaine ? Si l'on en croit les dernières projections des Nations Unies, la population mondiale va passer de 6,8 milliards en 2017 à 9,1 milliards en 2050.

« L'immeuble-ville », une bonne réponse à la surpopulation urbaine ?

Pour répondre à ce défi démographique, bâtir des villes nouvelles et connectées est une option qui séduit de nombreux acteurs, de Bill Gates à l'Arabie saoudite. Mais à terme, il s'agit aussi d'éviter la saturation des grands centres urbains. C'est pour éviter cet écueil que Javier Lopez-Menchero Ortiz de Salazar a conçu, dans le cadre du concours d'architecture Skyscraper 2017, le projet Espiral 3500 : un « immeuble-ville » qui intègre, au sein d'un même édifice, des espaces privés (notamment des appartements) et des espaces publics (parcs, commerces, rues, etc.).

Smart city : la CNIL dresse un tableau sombre pour les libertés individuelles. Tentation du contrôle des individus, aide à la surveillance, concurrence des services numériques...

Smart city : la CNIL dresse un tableau sombre pour les libertés individuelles

La smart city pose de nombreux défis aux autorités et habitants. Parmi les propositions pour s'en prémunir, une « portabilité citoyenne » des données de plateformes privées. Alors que les villes se rêvent en territoires connectés, abreuvés de données des citoyens, la prise en compte des utilisateurs est encore balbutiante.

C'est l'un des constats du cinquième cahier IP de la CNIL, consacré à la smart city. Il est publié quelques mois avant la mise en place du Règlement général de protection des données (RGPD), qui renforcera grandement les contraintes de collecte et de traitement à partir de mai. Ville et écologie (Yves PACCALET) « L’Etat a un rôle à jouer dans le développement de villes intelligentes » Le député PS du Maine-et-Loire Luc Belot prépare un rapport sur les smart cities dont la publication est prévue à la mi-avril.

« L’Etat a un rôle à jouer dans le développement de villes intelligentes »

Il dévoile au « Monde » son approche de cette mutation urbaine. LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Laetitia Van Eeckhout Porteur d’une mission sur la smart city, la ville intelligente, que le gouvernement lui a confiée en novembre 2016, Luc Belot, député socialiste (PS) du Maine-et-Loire, doit remettre d’ici à la mi-avril son rapport au premier ministre, Bernard Cazeneuve. Durant cinq mois, le parlementaire a écouté les collectivités et les acteurs économiques locaux, notamment les entreprises innovantes et les start-up. Comment Chartres devient une smart city grâce à son réseau électrique.

Développer de nouvelles technologies autour d'installations déjà existantes permet à la ville d'Eure-et-Loir de s'équiper à moindres frais.

Comment Chartres devient une smart city grâce à son réseau électrique

La solution était là, juste au-dessus de leur tête mais encore fallait-il y penser. Chartres, le spécialiste des solutions intelligentes d'éclairage Citeos et la start-up locale SysPlug ont eu l'idée simple de s'appuyer sur les lignes qui transportent le courant pour déployer capteurs et autres solutions connectées destinés à optimiser les usages de la ville. "On peut placer des capteurs sur les poteaux d'éclairage public, placés tous les 25 à 30 mètres. C'est un réseau que l'on ignore et pourtant c'est malin", confirme Paulino Lopes, dirigeant de SysPlug. La ville intelligente n’aime pas les pauvres ! En préparation du prochain OuiShare Fest sur le thème des villes qui aura lieu du 5 au 7 juillet 2017 à Paris, l’équipe de Ouishare, la communauté « dédiée à l’émergence de la société collaborative », organisait une première table ronde sur un sujet d’autant plus provocateur que posé en forme d’affirmation : « la Smart City n’aime pas les pauvres !

La ville intelligente n’aime pas les pauvres !

» Vérifions ! Les critiques du concept mouvant de ville intelligente sont de plus en plus nourries. « La smart city n'aime pas les pauvres ! » En guise d’échauffement avant le OuiShare Fest 2017, le think tank OuiShare organisait une table ronde à Paris, le 15 février, sur le thème « La smart city n’aime pas les pauvres !

« La smart city n'aime pas les pauvres ! »

». Les points de vue d’architectes, chercheurs, associations et entreprises se sont confrontés autour de cette affirmation péremptoire. Plus de questions que de réponses à l’issu de ces échanges, mais une certitude tout de même : tout reste à inventer dans la ville de demain. Des objets connectés au service de l’urbanisme, une optimisation des flux grâce aux big data, une capacité d’adaptation rapide de l’espace public selon les besoins des habitants, une cogestion en démocratie directe des citoyens grâce aux technologies… La notion de « ville intelligente » recouvre une réalité plutôt vaste et carrément floue. Dépendance et perte de résilience. C’est ennuyeux mais... la ville écolo est sexiste.

Yves Raibaud est spécialiste de la géographie du genre, chargé de mission Egalité femmes-hommes. Il est chercheur au laboratoire Aménagement, développement, environnement, santé et sociétés (Adess), à Pessac, en Gironde. Yves Raibaud. CU 30 INTERIEUR. TP 2. L'Atelier : Accelerating Innovation. Si on écarte l'aspect technique de la Smart City, quelle est sa phénoménologie et, surtout, quelle devrait être sa finalité ? Ultime volet de ce sujet et certainement le plus important : le concept de Smart City avec tout le cortège de promesses qui l'accompagne à présent, n'est-il finalement qu'un nouvel avatar de la Cité idéale dont l'Histoire nous montre qu'il ressurgit de façon récurrente aux moments charnières des transitions de nos sociétés ?

Les utopies citadines abondent dans la littérature depuis l'antiquité : l'Atlantide de Platon, l'Eldorado de Voltaire, Utopia de Thomas More... Belfius Smart Cities. Nations Unies Smart Cities. Délogés après quatre ans planqués dans une yourte - Vaud. Situation illégale à plus d'un égard Les habitants de cette yourte sont en triple irrégularité. Primo, la loi interdit «toute construction en forêt et dans un périmètre de 10 m de la lisière», rappelle Jean-François Métraux. La «smart city» n’est pas si «smart» que ça. Au vu de ce méga test de QI urbain, l’Europe ne compterait en tout et pour tout que six surdouées présentant la caractéristique d’être dotées d'une «politique ou d'une stratégie de ville intelligente»: Amsterdam, Barcelone, Copenhague, Helsinki, Manchester et Vienne.

Sur un échantillon constitué des 468 plus grandes villes européennes analysées, pas de quoi pavoiser. Ni pour l’Europe, ni a fortiori pour la France. Heureusement, Lyon, classée dixième, sauve l’honneur. En finir avec la Smart City. Barcelone, envoyé spécial. The truth about smart cities: ‘In the end, they will destroy democracy'