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Conflits pour l'eau

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Pakistan’s new big threat isn’t terrorism — it’s water. In a report released last week by the Asian Development Bank [PDF], Pakistan was pinpointed as “one of the most water-stressed countries in the world, not far from being classified, ‘water-scarce.’”

Pakistan’s new big threat isn’t terrorism — it’s water

As water demand exceeds supply in the South Asian country, more and more water is being withdrawn from the nation’s reservoirs, leaving them in a critically precarious position. According to the ADB, Pakistan’s storage capacity, the amount of water it has on reserve in case of an emergency, is limited to a 30-day supply — far below the recommended 1,000 days for countries with similar climates. Without meaningful action, a water crisis could push the country into further chaos. Consider what a water shortage means for Pakistan. The last several years have seen the country plagued by chronic energy scarcities. Early signs of the potential imbroglio that could transpire are already beginning to take shape. There are other ways, outside of India, for Pakistan to alleviate the problem. #xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20120121-[titres]#xtor=EPR-32280229-[NL_Titresdujour]-20120121-[titres]

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Flora Genoux Le rapport a été remis en décembre par le député français, mais c'est plus d'un mois après sa publication, avec la traduction de certains passages dans la presse israélienne, qu'il provoque un tollé en Israël.

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Ce rapport d'information pour la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée nationale remis par le député socialiste Jean Glavany décrit la question de l'eau comme "révélatrice d'un nouvel apartheid au Moyen-Orient". "Nous sommes étonnés et indignés par ce rapport de M. Glavany qui a introduit une terminologie extrême dans le document, au dernier moment, sans en informer ses collègues", s'insurge le porte-parole du ministère israélien des affaires étrangères Ygal Palmor, qui dénonce dans Haaretz un rapport "rempli d'un verbe emprunt de propagande vicieuse, bien éloignée de l'esprit critique professionnel". Pour les Palestiniens, la problématique du partage de l'eau se traduit de façon différente en Cisjordanie et à Gaza. En Cisjordanie, même l'eau est une arme.

Chine, Inde et Pakistan se disputent l'eau de l'Himalaya. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Frédéric Bobin "La guerre de l'eau" : le scénario alarmiste figure désormais en bonne place dans les analyses prospectives sur la sécurité en Asie du Sud.

Chine, Inde et Pakistan se disputent l'eau de l'Himalaya

En février 2011, le Sénat américain avait publié un rapport intitulé "Eviter les guerres de l'eau", centré sur les risques pesant sur le Pakistan et l'Afghanistan. L'étude s'inscrit dans une littérature déjà abondante sur la montée des conflits géopolitiques attisés par la raréfaction de la ressource hydrique dans une région où le triangle Pakistan-Inde-Chine est déjà éminemment instable. En butte à des besoins croissants en énergie, les Etats agrégés autour de l'Himalaya - surtout la Chine et l'Inde aux économies émergentes - sont embarqués dans d'ambitieux projets de barrages hydroélectriques, attisant d'inévitables tensions avec les pays voisins situés en aval. Avec la Chine, la controverse n'a cessé de s'aiguiser ces dernières années.

En Inde, le coca donne soif aux paysans.