background preloader

Comportements addictifs liés à l'usage numérique

Facebook Twitter

Les comportements addictifs liés à l'usage du numérique. Site web pour le thème : comportements addictifs liés à l'usage. Prévention des conduites addictives - Fiches pédagogiques pour la prévention des conduites addictives. Lutte contre les conduites addictives : s'appuyer sur les programmes Le programme de l'enseignement scolaire public du premier et du second degré contribue à la politique de lutte contre les conduites addictives.

Cette prévention s'appuie sur les objectifs et les contenus des enseignements, par l'apport des disciplines et par le socle commun de connaissances qui prévoit la mise en place d'un véritable parcours civique de l'élève, constitué de valeurs, de savoirs, de pratiques, et de comportements dont le but est de favoriser une participation efficace et constructive à la vie sociale et professionnelle. Les disciplines enseignées permettent donc la transmission de connaissances et l'acquisition de compétences et d'attitudes qui contribuent à la prévention des conduites addictives. Loi pour la refondation de l'École Fiches pédagogiques pour lutter contre les conduites addictives par niveau et discipline Au CM2 Fiche addictions sans substance : les jeux vidéo Au collège Au lycée. Place et rôle des usages des jeux vidéo et d'internet dans la souffrance psychologique.

Sur la notion d’addiction La notion de toxicomanie, désignée en anglais par l’expression addiction to drug fut progressivement remplacée dans le discours médico-psychiatrique par la notion d’addiction. Le terme, qui désigna tout d’abord les conduites de dépendances à des substances psychoactives (alcool, drogue…), fut étendu à partir des années 1990 aux conduites de dépendances à un comportement, telle que la boulimie, la cleptomanie ou plus récemment l’addiction à internet. Cependant la notion d’addiction ne fait pas l’unanimité auprès des professionnels de la santé mentale, car sa définition reste encore aujourd’hui floue. Selon M. Valleur et J. -C. L’adjectif « addictif » fait écho à deux situations : à la difficulté de mettre fin à une sensation particulière,à la tendance de persister dans une conduite. Peu à peu, la notion d’addiction tend à se diversifier. Le psychologue phénoménologiste E. Addiction à internet Suler axe son étude sur cet aspect plus qualitatif du phénomène.

Stress numérique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress par un environnement numérique omniprésent : en France le nombre de cartes mobiles (ou cartes SIM) actives (80 millions) [1] dépasse le nombre de français (66 millions) et au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99% de la population. Cette dénomination, intègre le nouveau paradigme numérique (Cf. section 1), auquel est associé le caractère addictif du numérique[1]. Du stress au burnout ou syndrome d'épuisement professionnel (état d’une personne soumise à des facteurs de stress organisationnels permanents et répétitifs qui altèrent son bien-être et épuisent ses ressources)[2] et d'usages libres aux dépendances numériques (voire à l'association des deux), les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]

Deux questions au MOOC @ddict. J’ai été contacté a la fin de l’année dernière pour participer au MOOC @ddict. L’initiative m’a été présentée comme un espace de reflexion commun sur les pratiques numériques. Une synthèse serait alors faite sur l’état des connaissances du moment Il m’a été proposé de présenter les pratiques numériques des jeunes sur le réseau. Du fait du nom, j’ai proposé de montrer qu’il n’y avait pas d’addiction au numérique. Il me semblait que c’était là une belle occasion de discuter avec les addictologues qui avancent la thèse opposée. A ma grande surprise, cette proposition n’a pas été retenue.

Le MOOC s’est déroulé et les organisateurs ont toujours pas publié leur synthèse sur la question. De mon point de vue, il s’agit d’une stratégie de communication bien réglée. Le double langage des addictologues Le double langage des addictologues apparait clairement dans le programme de formation du MOOC @ddict et dans le poster d’information de l’INPES Semaine 1 : qu’est ce que l’addiction ? Références : Les addictions et ses « objets », Conférence à la Gamers Assembly 2009. L’Addiction Etymologie Le terme « addiction » vient du latin « ad-dicere », signifiant «dit à». A l’origine le mot « addiction » était employé pour désigner les esclaves qui étaient « dits à » leur maîtres… Par la suite, le vieux français utilisait le mot « addictus » qui voulait dire « contrainte par corps ».

Sens en Psychanalyse En psychanalyse, le mot « addiction » a été employé dans le but d’expliquer des fonctionnements particuliers de sujets dépendants à une substance ou à un objet se situant en dehors du corps, que l’on nomme « objet externe ». Le terme de dépendance ou d’habitude ne suffisait pas à décrire le besoin de répétition de ces comportements et la satisfaction provoquée par cette répétition n’était pas prise en compte dans la seule notion de dépendance. Mais vouloir ne pas passer à côté de ce fonctionnement particulier et vouloir absolument désigner tout comportement excessif comme une « addiction », sont deux choses bien différentes. Les Conduites addictives. Journée sans téléphone mobile : et si on décrochait ? Pour l’expert en comportement Thierry Le Fur, il est indispensable de trouver « les conditions d’un usage adapté ».

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Marlène Duretz Une journée sans téléphone mobile ? Depuis 2001, Phil Marso, instigateur de la journée mondiale sans téléphone mobile, encourage à réfléchir sur le « mobilou » chaque 6 février, le jour de la saint Gaston – et sans déplaire à Nino Ferrer et à son « téléphon qui son’/Et y a jamais person’ qui y répond ». Autant demander l’impensable et tenir à l’impossible une majorité de détenteurs de ce doudou connecté, que 60 % des Français consultent dans la première heure suivant leur réveil et que 30 % dégainent entre dix à vingt-cinq fois par jour, et 13 % cinquante fois et plus. En considérant que les enfants sont, dès l’âge de 2 ans, derrière les écrans, « nous serons en moyenne connectés plus de cent mille heures, à l’échelle d’une vie, comptabilise Thierry Le Fur. A quoi reconnaît-on une addiction numérique ? Journée Mondiale sans Facebook : profitons-en pour repenser notre usage des réseaux.

Capables de passer une journée sans Facebook ? (Homolka Jan/AP/SIPA) Certes la durée de la coupure compte : elle permet de mesurer notre dépendance. Mais surtout offrons-nous un moment pour un questionnement bénéfique. Suis-je dans le vert, l’orange ou le rouge dans ma relation à mon réseau : la balance avantage/inconvénient est-elle juste ? Jusqu’où ma vie sociale est plus riche grâce à Facebook, à partir de quand je vois moins mes vrais amis ? Est-ce surtout du positif (bonne nouvelle ou information, échange agréable) ou du négatif (trop de temps passé, sentiment d’intrusion ou d’agression, overdoses de selfies) ? Mes solutions : dois-je être acteur ou cela va-t’il se réguler tout seul ? On peut vivre heureux avec son réseau, mais doit-on compter encore sur l’autorégulation ?

La supercherie de l’autorégulation a vécu En numérique, l’autorégulation est une belle fausse-croyance. Nous-même ou nos enfants, le savons-nous bien ? En numérique, rester maître du jeu devient un challenge.