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Native advertising. Un nouveau concept, le native advertising censée révolutionner les modèles de publicitaires des media online. Un article pour décoder ce concept et évaluer son intérêt pour votre société. Le contexte La part de marché de la publicité traditionnelle en ligne perd des parts de marché et ne profite qu'à la marge de la croissance des investissements en marketing online pour deux raisons: 1. Des outils plus efficaces que les bannières ont vu le jour sur le web et relevé un défi que la publicité à base de bannière n'est jamais parvenu à relever réellement: démonter sans le moindre doute, leur capacité à produire du retour sur investissement (le fameux ROI). 2.

Les campagnes à base de bannières classiques sont donc de plus en plus difficile à vendre aux annonceurs, qui ont fini par s'apercevoir que les internautes ordinaires réagissaient comme eux aux bannières: ils les ignoraient la plupart du temps. Le native advertising promet de résoudre ces problèmes. Qu'est-ce que le native advertising ? Tendances du numérique en 2014. Déjà entamé, le transfert de pouvoir des devices vers les services va encore se renforcer pour, selon Gartner, marquer le début de l'ère du cloud personnel.

Tendances du numérique en 2014

A l'avenir, les spécificités des terminaux deviendront de moins en moins importantes. Les utilisateurs auront recours à une multiplicité de devices mais aucun d'entre eux ne jouera le rôle de hub principal. Au contraire, ce rôle sera progressivement dévolu au cloud personnel de l'utilisateur. Et plutôt que de se concentrer uniquement sur le terminal, on gèrera de façon sécurisée l'accès au cloud depuis les devices et le contenu qui y sera stocké ou partagé.

Plus largement, IDC prévoit pour 2014 que les dépenses dans les services cloud et les technologies qui les soutiennent progresseront de 25% pour dépasser 100 milliards de dollars. Publicité et télévision : plus que des contacts, des expériences. Catalysée par la multiplication des écrans dans les foyers, la consommation conjointe du web et de la télévision est une immense révolution pour le secteur, et surtout pour ceux qui en financent une large partie : les annonceurs.

Publicité et télévision : plus que des contacts, des expériences

L’enjeu ? Exploiter un comportement grandissant, le multitasking, pour créer de nouvelles expériences publicitaires. Pour les marques, c’est le moment de replacer la publicité au centre des usages et de marier – enfin – la puissance du média TV avec les capacités de ciblage, d’interactivité et de personnalisation du web. A chaque rentrée, c’est toujours le même refrain. La télévision serait à l’agonie. D’après Médiamétrie, 13,3 millions de personnes regardent la télévision sur un autre écran, soit deux fois plus qu’il y a 4 ans. 71% des internautes de 15 ans et plus utilisent les services de replay, tandis que plus de 24 millions de français regardent des vidéos sur Youtube.

Le rendez-vous est pris. Diversifier ses bannières display offrirait de meilleurs résultats. Alors que la quasi-totalité des bannières sont limitées à trois formats - la bannière large, le pavé et le skyscraper -, une étude conseille aux annonceurs de tenter d'autres tailles, moins concurrencées.

Diversifier ses bannières display offrirait de meilleurs résultats

Les technologies d'achat publicitaire en temps réel (RTB) et de reciblage ont amélioré les performances des bannières display. Dans cet écosystème très réactif, celles-ci sont générées et adaptées aux personnes qu'elles ciblent. Une standardisation et une rapidité d'exécution qui auraient lissé le processus créatif en amont et limité les formats à trois standards. D'après une étude menée par le spécialiste du RTB américain CPXi, se basant sur des données d'Appnexus, représentant environ 140 milliards d'impressions, les annonceurs se limitent dans 96% des cas à trois formats seulement : la bannière large (728x90), le pavé (300x250) et le skyscraper (160x600). Le RTB, la clé du succès de la publicité en ligne. Panorama e-pub. Pas vraiment de surprise, bonne ou mauvaise, dans ce dernier Observatoire de l'e-pub SRI réalisé par le cabinet PWC en partenariat avec l'Udecam.

Panorama e-pub

Conformément aux prévisions, 2013 aura été tout aussi morose que l'année précédente, avec un total de 2,791 milliards d'euros de chiffre d'affaires, pour une croissance de 3% dont les esprits chagrins ne manqueront pas de noter qu'elle est inférieure à celle de 2012 (+5%). La part du digital passe ainsi de 19% en 2012 à 22% en 2013. L'inflexion des investissements publicitaires sur le digital depuis 2011, alors que la croissance du marché était de 7%, ne se dément donc pas.

Dans la ligne de mire des acteurs du marché : la télévision. "La croissance du digital a été mécaniquement réduite par la déflation du marché offline et plus particulièrement de la télévision qui a perdu moins de parts de marché qu'attendu", commente Bertrand Baudichon, président de l'Udecam, faisant référence à la lutte sanglante que se sont livrés TF1 et M6.