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Pub et manipulation

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Pourquoi est-elle adulée ou detestée ? Publiphile ou Publiphobe ?

Pourquoi est-elle adulée ou detestée ?

Lors de mes recherches, je suis tombé sur plusieurs plaintes envers ce phénomène. Je me suis demandé comment la publicité est généralement perçue ? Y a-t-il une majorité de « Publiphile » ou de « publiphobe » ? La réponse est donnée par plusieurs études réalisées en Grande Bretagne, aux Etats-Unis et en France. Elles permettent de se faire une idée plus exacte de la représentation de la publicité par le consommateur. Comment est-elle perçue ? La publicité, d’une façon générale, est reconnue comme aidant à faire connaître les produits nouveaux, permettant à la production de se développer, étant un facteur clé de l’activité économique. J'ai demandé à 100 personnes de me dire à quel mot ils pensaient si je leur disais "Publicité". Quelques contre-arguments sur la publicité - Sounds Mag' - La publicité est-elle moins nocive quand on l’ignore ?

Quelques contre-arguments sur la publicité - Sounds Mag'

Face à une publicité (visuelle, sonore ou audiovisuelle), deux possibilités s’offrent à nous : soit on la prend en compte, on l’analyse et on la juge, soit on l’ignore en rentrant dans une sorte de bulle intérieure, pensant qu’ainsi, elle n’agira pas sur nous, d’autant plus quand le produit vanté ne nous intéresse pas. Le niveau d’attention qu’on lui porte détermine donc la perception finale de la publicité. On pourrait penser que moins on est attentif, moins la publicité nous touche.

Mais, en fait, et ce n’est pas moi qui le dit, mais des "psychologues" publicitaires, ce serait plutôt le contraire. En effet, quand on analyse une publicité, qu’on est attentif à son message, c’est la partie consciente de notre cerveau qui prend le dessus. Mais, ne prenons pas ce qui vient d’être dit au pied de la lettre. Sur ce sujet voir : Pub ambiante. Des arguments publicitaires sous haute surveillance.

Analyses de publicité. Dans sa campagne TV, radio et presse, le "Blocalians" - regroupement d'industriels du Bloc béton - met en avant les avantages de son produit (le fameux "parpaing"), et les compare à ses concurrents tels que la brique Monomur ou les Ossature-bois, à travers un écobilan consultable sur Internet ( D'une part, cette campagne contrevient à l'article 2-9 de la recommandation écologiques du BVP : « L'allégation ne doit pas induire une fausse supériorité et/ou permettre à un produit de se distinguer abusivement d'autres produits similaires ou possédant des caractéristiques analogues en ce qui concerne leur contribution à la protection de l'environnement », pour les raisons suivantes : Les données de l'écobilan de la terre cuite mur doublé et de l'ossature bois + isolation n'apparaissent par sur le site, sous prétexte que les fiches de données environnementales sont "non publiées par les intéressés".

Analyses de publicité

Le groupement évoque "Les 7 raisons capitales de préférer le Bloc Béton". Retourner au menu. Manipulation: les méthodes de la publicité. Comment la publicité manipule vos esprits : 5 techniques auxquelles vous n’auriez jamais pensé. Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi la publicité fonctionnait si bien ?

Comment la publicité manipule vos esprits : 5 techniques auxquelles vous n’auriez jamais pensé

Moi, je me suis longtemps demandé pourquoi on continuait à nous matraquer de publicités débiles, alors que tout le monde affirme qu’elles sont débiles. La réponse est simple : nos professionnels du marketing usent et abusent de différentes techniques de manipulation pour vous faire accepter et apprécier leurs produits. « Pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible.

Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible. C’est à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages de pub. A partir de cette citation de Patrick Le Lay, PDG de TF1 en 2004, tout est dit, ou presque. Le big-bang publicitaire, les années 1940 Les publicités ont vu le jour dès les premiers temps de la télévision. Les publicitaires de l’époque feront alors appel aux motifs inconscients et viscéraux de la population. Casseurs de pub. Devant le célèbre tableau de Magritte qui représente une pipe tout en précisant « Ceci n’est pas une pipe », le spectateur normal s’esclaffe : – Si ce n’est pas une pipe, ben alors, qu’est-ce que c’est ?

Casseurs de pub

Réponse : – C’est la représentation d’une pipe... – Ah ? Eh oui ! Il y a certes quelque ressemblance formelle avec l’objet en question, ce qui permet de s’y référer. Mais, si l’image renvoie à la réalité de la pipe, elle n’est pas une pipe. La preuve ? Qu’il s’agisse d’une pipe, d’un soleil couchant ou de mon beau visage, l’image n’est jamais le « réel ». Or, en dépit de ces simples constats, l’image bénéficie d’un préjugé constant : sa transparence à la réalité. Visualiser est l’objectif affirmé des « communicateurs », qui invoquent la légitime nécessité de rendre concrets leurs messages.

Mais voici l’armée des iconolâtres qui lèvent ses boucliers. On a beaucoup parlé, fin 2002, de la violence à la télévision.