background preloader

Musée

Facebook Twitter

La Grande Paix de Montréal. L’exposition 1701 - La Grande Paix de Montréal propose une incursion dans un vaste territoire, le Nord-Est de l’Amérique, au moment où un événement unique se produit : la signature d’un traité de paix entre la France et plus d’une trentaine de nations amérindiennes distinctes.

La Grande Paix de Montréal

Un véritable exploit diplomatique! En ce mois d’août 1701, la petite ville de Montréal accueille en effet des délégations amérindiennes pour la ratification d’un traité intensément négocié, particulièrement au cours de la dernière année. Les embûches ont été nombreuses, et alors même que tous les ambassadeurs de paix sont rassemblés à Montréal, les coups de théâtre ne manqueront pas. Pointe-à-Callière, musée d’archéologie et d’histoire de Montréal, souhaite avec cette exposition virtuelle raconter cette histoire fascinante, méconnue, dont l’action s’est déroulée à quelques pas des lieux où se situe le Musée, et qui met en scène Louis-Hector de Callière, gouverneur de Montréal puis de la Nouvelle-France.

Musée virtuel Pointe-à-Callière: la Grande Paix de Montréal. Signée entre la France et 39 nations amérindiennes, la Grande Paix de Montréal fut une étape importante dans l'établissement de relations saines entre colons français et autochtones.

Musée virtuel Pointe-à-Callière: la Grande Paix de Montréal

Le site grandepaix.pacmusee.qc.ca raconte comment, après un an de négociations ardues, le gouverneur de la Nouvelle-France, Louis-Hector de Callière, parvint à faire apposer la signature des chefs amérindiens, notamment celle de Kondiaronk, le chef des Hurons-Wyandots, au bas d'un traité qui fut déterminant pour ramener la paix. «La Grande Paix de Montréal a constitué un véritable tour de force, celui de rallier à Montréal des nations culturellement très diversifiées, avec des motivations différentes, dans un contexte sociopolitique qui reposait sur des décennies de conflits», explique Francine Lelièvre, directrice générale de Pointe-à-Callière.

Le site expose la chronologie des faits, les rituels diplomatiques et les personnages qui ont joué un rôle important dans la signature du traité. Le premier musée dédié aux robots a ouvert à Madrid. Des robots humanoïdes qui dansent, des chiens robots très dociles, des dinosaures qui demandent des caresses : voici les nouvelles créatures du Robot Museum qui vient d’ouvrir ses portes à Madrid.

Le premier musée dédié aux robots a ouvert à Madrid

Il s’agit du premier musée européen du genre et le deuxième dans le monde. La collection de robots est tout simplement impressionnante. A notre connaissance, nous avons la plus grande collection de robots en Europe, et en particulier de chiens robots Aibo (robot compagnon vendu par Sony entre 1999 et 2006), explique le directeur du musée, Daniel Bayon. Il s’agit des robots chiens les plus avancés qu’il n’ait jamais existé sur terre. Ils sont très importants pour le musée. La collection comptabilise pas moins de cent quarante robots datant des année 1980 jusqu’à aujourd’hui. Parmi les robots qui font partie de cette formidable collection privée de Pablo Medrano, il y a NAO d’Aldebaran, Q.bo, Manoi, les Lego NXT, R2-D2, et même l’humanoïde ASIMO.

Ces sujets vous intéresseront aussi : Des insectes se régalent d’animaux empaillés au musée Royal de la Saskatchewan. Anthrène des tapis Photo : Gouvernement du Canada Le musée Royal de la Saskatchewan est aux prises avec un problème de peste bien particulier.

Des insectes se régalent d’animaux empaillés au musée Royal de la Saskatchewan

Des anthrènes des tapis se sont installés dans les animaux empaillés. Leurs larves détériorent les fourrures et les plumes des bêtes de la collection d'histoire naturelle du musée de Regina. « Elles adorent s'installer sur les animaux morts et les détruire », explique le conservateur en chef du musée Royal, Ray Poulin. « Nous avons trouvé un bon nombre de ces insectes sur des animaux empaillés et nous avons dû les enlever. » Dépouille larvaire de l'anthrène du tapis. Les conservateurs de musée à travers le monde connaissent bien l'appétit de ces insectes pour les artéfacts et ont appris à déceler leur présence rapidement. Le Musée des beaux-arts de Winnipeg a 100 ans.

Bouillant de culture. Au musée - La culture est dans la rue. Connexion Assïa Kettani 16 février 2013 Société / ÉducationAu musée - La culture est dans la rue Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir Non seulement les musées enregistrent leur pic de fréquentation annuel en saison estivale, mais l’été leur fournit l’occasion d’élargir leur palette d’activités.

Au musée - La culture est dans la rue

Avec des animations extérieures, des formules ludiques ou des ateliers créatifs s’étalant sur une semaine entière, les musées adaptent leur offre aux goûts et aux habitudes des vacanciers, sans négliger, bien sûr, le plaisir de profiter du beau temps. L’été venu, les musées envahissent la rue. Accueil - mbam.qc.ca. Place aux enfants au Musée des beaux-arts. Profusion de couleurs, espaces doublés, oeuvres d’art ludiques : le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) a ouvert l’équivalent d’un petit paradis pour muséophiles en herbe dans ses tout nouveaux espaces éducatifs déployés sur deux étages.

Place aux enfants au Musée des beaux-arts

Les lieux permettront de multiplier par deux la superficie destinée aux écoliers et aux familles. Pas de mobilier gnangnan, d’art au rabais ici, ou d’enfants relégués dans les recoins inutilisés. Baptisés en hommage à l’éditeur mécène, les nouveaux studios d’art et d’éducation Michel de la Chenelière dévoilés mardi pour accueillir la clientèle famille et jeunesse du musée se déploient désormais sur 1500 mètres carrés, avec entrée de plain-pied sur Sherbrooke, Bishop et de la Montagne, lounge design et sept ateliers accessibles par une promenade requinquée. L’espace presque doublé permettra d’accueillir 100 000 écoliers par an, soit 50 000 de plus que par les années passées.

L’endroit s’avère en effet particulièrement inspirant. On a visité le musée virtuel de Google : l’avis de trois passionnés. Tomber sous le charme de la Joconde, s’extasier devant le piqué de la « Grande Jatte » ou reprendre son souffle dans une galerie du Museum of Modern Arts (MoMA) de New York ?

On a visité le musée virtuel de Google : l’avis de trois passionnés

Tout cela sans quitter son fauteuil ? C’est désormais possible grâce à la numérisation de nombreuses œuvres d’art par les équipes de Google. Le géant du Web veut mettre en ligne, sur le modèle de son Street View, les collections du monde entier. Vaste projet entamé l’année dernière et qui a connu un grand coup d’accélérateur début avril. Déjà 151 musées à portée de clic ! Le système de réalité virtuelle mis au point par Google Les caméras à l’œuvre à l’intérieur de la Maison Blanche Le Google Art Project permet à chacun de composer son propre musée en piochant une salle ici, un tableau-là. Alberto Sorbelli ou l’artiste pute. Musée de la Poste de Paris. Musée du quai Branly. Muséum national d'Histoire naturelle.