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Racisme

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Agressions racistes de 1973 en France: n’oublions jamais. Les ratonnades de 1973 sont une vague de violences racistes envers les Algériens perpétrées en France, principalement à Grasse et Marseille, pendant l'été et l'automne 1973.

Agressions racistes de 1973 en France: n’oublions jamais.

Selon l'ambassade d'Algérie en France, ces violences ont fait 50 morts algériens et 300 blessés[1]. Les organisations de travailleurs nord-africains font quant à elles état d'une douzaine de morts en sus des quatre victimes de l'attentat du 14 décembre contre le consulat d'Algérie à Marseille[2]. La sociologue Rachida Brahim a décompté 16 assassinats de Nord-africains en 1973 dans la cité phocéenne mais la plupart des assassins n'ont pas été identifiés[3].

Affaire Adama Traoré: n’oublions jamais. Cet article est lié à une affaire judiciaire en cours.

Affaire Adama Traoré: n’oublions jamais.

Le texte peut changer fréquemment, n’est peut-être pas à jour et peut manquer de recul. Le titre et la description de l'acte concerné reposent sur la qualification juridique retenue lors de la rédaction de l'article et peuvent évoluer en même temps que celle-ci. N’hésitez pas à participer de manière neutre et objective, en citant vos sources et en n'oubliant pas que, dans nombre de systèmes judiciaires, toute personne est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été légalement et définitivement établie.La dernière modification de cette page a été faite le 9 janvier 2021 à 23:15.

Dans les jours qui suivent l'annonce du décès, des manifestations se déroulent à Beaumont-sur-Oise et à Paris à l'initiative de la famille, pour demander de faire toute la lumière sur les circonstances de l'interpellation. Éléments biographiques. Mort de George Floyd: n’oublions jamais. Alors qu'il est stationné dans sa voiture, George Floyd est interpellé par deux policiers suite à un appel d'une épicerie signalant qu'il a utilisé un faux billet et qu'il refuse de le reprendre, ainsi qu'un état de forte alcoolisation et une intention affichée de reprendre le volant.

Mort de George Floyd: n’oublions jamais.

Il est menotté puis assis sur le trottoir, avant d'être amené à une voiture de police, dans laquelle il refuse de monter, luttant avec les policiers et déclarant plusieurs fois qu'il est claustrophobe et ne peux pas respirer (« I can't breathe »), demandant d'être allongé au sol. Placé dans le véhicule, il en ressort peu après dans des circonstances floues, et est plaqué au sol sur le ventre par trois policiers, dont Derek Chauvin qui l'immobilise en exerçant une pression du genou sur sa nuque. Les policiers appellent une ambulance et George Floyd se plaint de nombreuses fois qu'il ne peut pas respirer et gémit, appelant à l'aide avant de cesser de parler et de bouger, semblant avoir perdu connaissance. Le Comité Adama, héritier de 50 ans de combats invisibilisés, par Mediapart. « Pour combattre la rhétorique de l’extrême droite, il faut admettre que l’immigration des ex-colonisés est une réalité planétaire » Chronique.

« Pour combattre la rhétorique de l’extrême droite, il faut admettre que l’immigration des ex-colonisés est une réalité planétaire »

Troublant télescopage : alors que les séquelles du colonialisme sont de plus en plus couramment invoquées pour expliquer différents dysfonctionnements sociaux – racisme, discriminations, bavures policières –, la guerre d’Algérie, paroxysme de la violence coloniale française, n’apparaît plus comme le premier ferment de préjugés racistes. Un Français d’origine algérienne peinerait aujourd’hui à se référer aux exactions de l’armée française dans les djebels pour expliquer les préjugés qui le visent. Marine Le Pen peste contre l’idée de repentance à l’égard d’Alger, mais prétend tourner le dos aux racines « Algérie française » de son organisation et au passé de son père, accusé d’avoir pratiqué la torture (ce qu’il a toujours nié). Cet effacement progressif traduit le mécanisme de normalisation historique d’un événement qui a si longtemps instillé son poison dans la société française.

Cette année-là, Paris Match pouvait titrer « Les “bicots” sont-ils dangereux ? Le Monde - « Au moins 4 742 personnes, en majorité des... Lee Merritt - Today is the 8th Anniversary of the murder... France Culture - Le Blackface c'est une pratique raciste... Mediapart - □□ #ÉtatsUnis — Le 9 août 2014, un jeune homme... ARTE - « L’origine de toutes les difficultés humaines se... La justice saisie après des propos injurieux de Brigitte Bardot à l’encontre des Réunionnais. Non au racisme. Le ras-le-bol des métis, éternels laissés-pour-compte de l’Afrique du Sud. Victimes des inégalités sociales et des violences qui touchent le pays, les « coloured » se considèrent comme les grands oubliés des programmes de discrimination positive.

Le ras-le-bol des métis, éternels laissés-pour-compte de l’Afrique du Sud

Loi pénalisant le racisme en Tunisie : une première victoire pour la minorité noire. Article réservé aux abonnés Une nouvelle fois, la Tunisie affiche sa fierté d’être si singulière.

Loi pénalisant le racisme en Tunisie : une première victoire pour la minorité noire

Au lendemain de l’adoption, mardi 9 octobre, d’une loi pénalisant le racisme, une première dans le monde arabe, le ministère des affaires étrangères a tweeté que « cette nouvelle réalisation honore la Tunisie ». Mobilisation massive contre le racisme dans les rues de Berlin. Des dizaines de milliers de personnes ont envahi le centre de la ville pour protester contre les récents dérapages xénophobes dans l’est de l’Allemagne.

Mobilisation massive contre le racisme dans les rues de Berlin

Plusieurs dizaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues de Berlin, samedi 13 octobre, pour protester contre la haine et le racisme, à la suite des récents incidents xénophobes dans l’est de l’Allemagne, qui ont choqué le pays. Quelque 242 000 manifestants ont répondu présent, a fait savoir le collectif #unteilbar (indivisible), qui avait dit miser sur quelque 40 000 participants. La police berlinoise n’a pas donné de chiffres précis, parlant simplement de « quelques dizaines de milliers ». Environ 900 membres des forces de l’ordre ont encadré l’événement qui s’est déroulé sans incident. Lire aussi : En Allemagne, le séisme de l’extrême droite. Deux études mesurent l’ampleur de la discrimination à la location en France.

Les populations d’origines supposées maghrébine et africaine ont globalement 26 % de chances de moins que la moyenne de pouvoir visiter un logement.

Deux études mesurent l’ampleur de la discrimination à la location en France

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Isabelle Rey-Lefebvre Le laboratoire de recherches du CNRS Travail emploi et politiques publiques (TEPP) publie, vendredi 15 décembre, une étude d’une ampleur inédite sur la discrimination à la location d’appartements, à l’œuvre dans de nombreuses villes de France. Contrôles au facies. Kendall Jenner, Black Lives Matter et codes hippies : Pepsi retire sa pub ratée. Pharrell Williams : « C’était notre réalité, le ciel restait une limite pour l’homme noir » Etre noir aux Etats-Unis, c’est être louche.

Grand marcheur de rue, le Jamaïcain Garnette Cadogan raconte les stratégies qu’il doit sans cesse déployer pour se protéger des passants comme des policiers américains.

Etre noir aux Etats-Unis, c’est être louche

LE MONDE IDEES | • Mis à jour le | Par Garnette Cadogan Mon amour de la marche m’est venu dès l’enfance, par nécessité. Comme mon beau-père avait la main lourde, je ne manquais jamais une occasion de sortir. « Bamboula, ça reste convenable » : un syndicaliste de la police dérape, Le Roux le recadre. Le ministre de l’intérieur « condamne » les propos du syndicaliste Luc Poignant, « qui tendaient à relativiser une insulte à caractère raciste ».

« Bamboula, ça reste convenable » : un syndicaliste de la police dérape, Le Roux le recadre

Bruno Le Roux, ministre de l’intérieur, a condamné jeudi 9 février les propos sur France 5 d’un syndicaliste policier de l’Unité SGP-FO Luc Poignant, qui avait jugé l’insulte « bamboula » comme « à peu près convenable ». Le ministre « condamne les propos tenus, au cours d’une émission de télévision, par un responsable syndical policier, qui tendaient à relativiser une insulte à caractère raciste et discriminatoire ». « En toutes circonstances, l’exemplarité, l’éthique, le respect des personnes et celui des valeurs de la République, doivent guider l’action et le comportement des forces de l’ordre », a rappelé le ministre, dans un communiqué.

Appel à la « maîtrise » « Bamboula », genèse d’une insulte raciste. Un terme « convenable », voire « affectueux » : les propos d’un policier et d’un magistrat sur l’affaire Théo L. témoignent d’un racisme paternaliste et colonial. LE MONDE IDEES | • Mis à jour le | Par Catherine Vincent Il s’agit d’un mot tout simple, qui désigne à l’origine un tambour africain. Un mot rond et chantant dont les sonorités douces cachent un poison. Celui-ci est réapparu tout ­récemment, alors que la colère grondait dans les quartiers après l’agression du jeune Noir Théo L. par des policiers, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 2 février. « Bamboula » : il a suffi que ce terme soit commenté sur une chaîne publique de télévision par un syndicaliste policier pour que la polémique enfle, aussitôt relayée par les réseaux sociaux. « Bamboula », genèse d’une insulte raciste.