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"Le capitalisme touche à sa fin" Pour le sociologue Immanuel Wallerstein, la crise actuelle signe la fin du capitalisme.

"Le capitalisme touche à sa fin"

La Grande Bifurcation. En finir avec le néolibéralisme G.

La Grande Bifurcation

Duménil, D. Lévy Ce livre est un des deux premiers volumes de la collection, L’horizon des possibles, des éditions de La Découverte (15 €, ISBN : 9782707178152, janvier 2014). Les économies et les sociétés des États-Unis et de l’Europe sont aujourd’hui au seuil d’une grande bifurcation. « La Grande bifurcation. En finir avec le néolibéralisme » Le mardi 20 mai, à 20 heures, Ecole Normale Supérieure (amphi Rataud), 45, rue d’Ulm : conférence-débat avec Gérard Duménil, économiste, autour de son livre La Grande bifurcation.

« La Grande bifurcation. En finir avec le néolibéralisme »

En finir avec le néolibéralisme (Ed. La Découverte, 2014). « La grande bifurcation » (G. Duménil et D. Lévy) : des cadres barbares ou socialistes ? À propos de la Grande bifurcation, En finir avec le néolibéralisme. Voilà un livre re­mar­quable.

À propos de la Grande bifurcation, En finir avec le néolibéralisme

Ri­gou­reux et au­da­cieux. Gé­rard Du­ménil et Do­mi­nique Lévy abordent di­rec­te­ment la ques­tion stra­té­gique cen­trale, celle de la sortie du néo­li­bé­ra­lisme, en tant que phase ac­tuelle de la mon­dia­li­sa­tion ca­pi­ta­liste. Ils s’attaquent à la ques­tion la plus dif­fi­cile, celle d’une sortie po­si­tive dans les vieux centres, par­ti­cu­liè­re­ment en Europe. Il s’agit de ré­af­firmer un projet d’émancipation qui se situe dans la conti­nuité des deux siècles et demi de luttes, des ré­vo­lu­tions du 18ème siècle et de la montée en puis­sance de la classe ou­vrière qui a suivi le dé­ve­lop­pe­ment de la grande in­dus­trie.

Le livre am­bi­tionne d’explorer le pas­sage d’un projet pro­gres­siste à une éman­ci­pa­tion so­ciale radicale. Il faut prendre conscience du triomphe du néo­li­bé­ra­lisme, mais aussi de l’épuisement du néo­li­bé­ra­lisme. Les cadres forment une classe so­ciale or­ga­ni­sa­trice du ca­pi­ta­lisme. A propos de "La grande bifurcation". Entretien avec Gérard Duménil et Dominique Lévy. Gérard Duménil et Dominique Levy sont deux figures incontournables de l’économie marxiste contemporaine.

A propos de "La grande bifurcation". Entretien avec Gérard Duménil et Dominique Lévy

Dans leur dernier ouvrage, La grande bifurcation. En finir avec le néolibéralisme (La Découverte, 2014), ils reprennent les principaux résultats de leurs recherches pour dégager ce qu’ils considèrent être les enjeux centraux de notre époque. A l’occasion de cette parution, ils nous ont accordé un entretien. La grande bifurcation - Gérard DUMÉNIL, Dominique LÉVY. Les économies et les sociétés des États-Unis et de l'Europe sont aujourd'hui au seuil d'une grande bifurcation.

La grande bifurcation - Gérard DUMÉNIL, Dominique LÉVY

À droite, de nouvelles configurations sociales se dessinent sous nos yeux, prolongeant, en dépit de la crise, les voies néolibérales au bénéfice des plus favorisés. L'urgence est grande du basculement vers l'autre branche de l'alternative, à gauche cette fois. Tel est le constat de ce livre, nourri par une enquête sur la dynamique historique du capitalisme depuis un siècle. Derrière l'évolution aujourd'hui bien documentée des inégalités entre revenus du capital et revenus du travail, et entre hauts et bas salaires, se cache une structure de classes non pas bipolaire mais tripolaire - comprenant capitalistes, cadres et classes populaires -, qui fut tout au long du siècle dernier le terrain de différentes coalitions politiques.

“La bifurcation historique du capitalisme est en train de s’opérer”, Yann Moulier-Boutang. Revue Relations - Vers un post-capitalisme. L’auteur est professeur au Département de sociologie de l’UQAM Sortir du capitalisme passe nécessairement par la réduction de l’emprise de l’économie et de sa logique marchande sur l’ensemble de la vie sociale.

Revue Relations - Vers un post-capitalisme

Le point de départ du discours de légitimation du capitalisme, comme de nombreux critiques nous le rappellent (voir en particulier les travaux de Serge Latouche), a toujours été de naturaliser le rapport économique au monde établi par le capitalisme, comme si celui-ci était inhérent à l’existence même de la société. Tout le travail idéologique de l’économie politique et de la science économique actuelle est de démontrer que l’organisation de la production, de l’échange et de la consommation sur la base du libre-marché et de la propriété privée demeure la forme la plus rationnelle et efficiente de cette dimension de notre existence sociale. Déconstruire et circonscrire l’économique © Revue Relations/Centre justice et foi. Résumé de nos livres. Une alternative postcapitaliste, pourquoi et comment ?

Résumé de nos livres

Un bref résumé Le point de départ de la discussion est le postcapitalisme tel qu’il est proposé par les initiateurs de ce site. Comme nous l’avons expliqué, l’essentiel de cette proposition est une structure économique dans laquelle il n’y a plus d’argent en circulation dans le processus de production des biens et des services. Dans laquelle, de plus, les revenus acquis par le travail, l’investissement de capital ou la livraison de matières premières sont remplacés par un budget plus ou moins égal périodiquement alloué à tous.

L’unique prestation exigée de tous en retour, c’est l’évidence même, est le travail. L’avantage principal d’une telle alternative comparée au capitalisme néolibéral est que l’activité humaine sur notre planète n’est soumise à aucune limitation à part celle de la soutenabilité de l’environnement. Une alternative économique durable pour l’économie du marché libre. Le chemin du postcapitalisme, par Hervé Kempf. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Kempf (Service Planète) Est-ce que le capitalisme peut survivre à la crise ?

Le chemin du postcapitalisme, par Hervé Kempf

La responsabilité sociale de l'entreprise, nouvel esprit du capitalisme ? Atteintes à l’environnement, creusement des inégalités, démesure des marchés financiers… Face aux critiques que suscite le capitalisme contemporain, certaines entreprises cherchent à intégrer et à corriger les impacts sociaux et environnementaux de leurs activités.

La responsabilité sociale de l'entreprise, nouvel esprit du capitalisme ?

Peut-on concilier profit et bien commun ? Quand les managers veulent faire le bien Un fabricant de chaussures qui contraint ses sous-traitants à respecter des normes en matière de travail des enfants ou de salaires ; un fabricant de trains qui s’engage à réduire les émissions de CO2 de ses produits et de ses processus de production ; un groupe de distribution qui cesse l’achat de diamants dans un pays où ce commerce profite au régime despotique en place… Toutes ces actions relèvent de ce que l’on appelle désormais la responsabilité sociale (ou sociétale) de l’entreprise (RSE). Deux termes sont particulièrement importants : • Parties prenantes.

Michel CAPRON.pdf. Les approches critiques de la Responsabilit�Sociale.pdf. Axe_1_cazal.pdf. 02-2002.pdf. DCazalROR_031_0012.pdf. A_propos_des_outils_de_mesure_de_la_RSE_-_Geert_DEMUIYNCK_EDHEC.pdf. Quels_indicateurs_pour_piloter_ma_demarche_RSE__Farid_Baddache_BSR_FR.pdf. HORIZON_ECO_N114_bd.pdf. Les piliers » la troisieme revolution industrielle est en marche.

0000.pdf. Entreprises & la Société. Le Social Business. La "valeur partagée", concurrente de la RSE? En 2009, Coca-Cola lance au Brésil l’initiative "Coletivo" (collectif) pour former pendant deux mois des jeunes des quartiers populaires à la vente. L’entreprise fait le pari suivant: l’acquisition de nouvelles compétences les aidera à décrocher un premier emploi et ils contribueront dans le même temps à vendre davantage de sodas dans les petits commerces où ils effectuent leur stage. Une initiative concluante puisque, d'après la marque, les investissements ont été rentabilisés au bout de deux ans. Et sur les milliers de jeunes formés, 30 % ont trouvé leur premier emploi chez Coca-Cola et ses partenaires. Cette stratégie relève de la "valeur partagée". Développée par le professeur Michael Porter et par Mark Kramer, cette notion consiste pour les entreprises "à créer de la valeur économique d’une manière qui profite aussi à la société, en répondant à ses besoins et ses défis".

Engagement citoyen - Actualités - Les stratégies BoP et le marché. Les stratégies BoP et le marché Apparues pour la première fois dans les travaux de CK Prahalad, les stratégies BOP (Bottom of the pyramid) ont émergées à la fin des années 1990* et consistent en des modèles économiques innovants mis en place à l’intention des populations vivant avec moins de 2$ par jour. Partant du constat qu’il n’y avait pas d’offre de consommation adaptée aux capacités et besoins des plus pauvres (compte tenu des contraintes de prix, de stockage, etc.), le BOP business s’est développé sous la forme de nouveaux marchés et produits spécialisés sur ce segment particulier, jusque-là délaissé.

A titre d’exemple, Cola Life (le social business de Coca Cola) s’est associé avec Coca-Cola, son distributeur en Afrique, l’UNICEF et le ministère de la santé zambien pour mettre à profit le réseau de distribution de Coca-Cola en Zambie au service de la santé des populations les plus pauvres et isolées. Au-delà des considérations sociales, E. BoP: "la pauvreté au coeur de l'innovation"

Stratégies. Les stratégies BoP reposent au départ sur l’innovation. C.K. Prahalad avait intitulé son ouvrage « Innovations at the base of the pyramid » mais son éditeur avait préféré Fortune. Une différence de taille existe en effet avec les modèles de low-cost : les stratégies BoP nécessitent un profond changement de l’organisation – tant dans les produits et services qu’elles offrent que dans les process qu’elles mobilisent. Nos publications Orse - Observatoire sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises.

Nos publications Orse - Observatoire sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises. Edité pour sa première version en octobre 2001 et mis à jour à plusieurs reprises, le guide de l’ORSE des organismes d'analyse sociétale dresse un panorama de l'ensemble des organismes dont l'activité porte ou s'étend à l'analyse et à la notation extra financière des entreprises. L’objectif de ce guide, qui présente une trentaine d’organismes dans le monde, est d’aider les entreprises et investisseurs à mieux identifier et sélectionner ces agences en leur donnant l’ensemble des informations tant sur leurs méthodologies que sur leurs structures.

Définition de la RSE Orse - Observatoire sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises. Éthique : Cette approche consiste à appliquer ses convictions éthiques à son investissement, c'est historiquement le premier type d'ISR. Présentation de l'ORSE Orse - Observatoire sur la Responsabilité Sociétale des Entreprises. Convergences 2015, c'est pour bientôt ! Les 19, 20 et 21 septembre 2012, le Forum mondial Convergences 2015 réunira près de 3 000 professionnels des secteurs public-privé et solidaire engagés dans la lutte contre la pauvreté.

Entreprises et entrepreneurs sociaux : ensemble pour répondre aux besoins à la Base de la Pyramide. Bosch, un modèle unique au monde. S'il est une marque synonyme de la réussite allemande, c'est bien Bosch. Son emblème, cinq lettres rouge vif et le dessin d'une magnéto, meuble le paysage de l'Allemagne. Sur les hangars en bordure des autoroutes, aux devantures des magasins, dans les garages, les cuisines et les bureaux, Bosch est partout. Définition du Social Business. Alors un social business, c’est quoi exactement? «Le cas Danone, ou comment l’innovation sociale peut aider une multinationale... Open innovation: quand les entreprises innovent grâce aux idées de leurs clients. Pourquoi se limiter aux cerveaux de son entreprise pour innover, quand on peut en faire participer des milliers d’autres? C’est le principe de l’open innovation, conceptualisée en 2003 par Henry Chesbrough, chercheur à Berkeley: "L’innovation ouverte est un paradigme qui considère que les entreprises peuvent et doivent aussi bien utiliser des idées internes qu’externes.

" Depuis quelques années, des entreprises travaillent donc en collaboration avec des centres de recherche, des associations, des collectivités, de simples citoyens et même parfois leurs concurrents pour inventer autrement. Les nouvelles technologies facilitent grandement ce processus, en mettant à disposition des outils pour échanger efficacement. Prise de décision collaborative, un mouvement initié en entreprise! Un logiciel pour doper le moral des salariés. Définition du Social Business. A quoi sert l’innovation sociale ? « Mais à quoi sert l'innovation sociale ? La "valeur partagée", concurrente de la RSE? En 2009, Coca-Cola lance au Brésil l’initiative "Coletivo" (collectif) pour former pendant deux mois des jeunes des quartiers populaires à la vente.

L’entreprise fait le pari suivant: l’acquisition de nouvelles compétences les aidera à décrocher un premier emploi et ils contribueront dans le même temps à vendre davantage de sodas dans les petits commerces où ils effectuent leur stage. Une initiative concluante puisque, d'après la marque, les investissements ont été rentabilisés au bout de deux ans. Et sur les milliers de jeunes formés, 30 % ont trouvé leur premier emploi chez Coca-Cola et ses partenaires. Www.datar.gouv.fr/sites/default/files/090410_referentiel_innov_soc_terr_def.