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La liberté d'expression sur les réseaux sociaux

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Nicolas Bedos: sa nouvelle chronique cinglante sur les. Alors que sa dernière chronique sur Dieudonné dans «On n’est pas couché» sur France 2 lui avait valu des menaces de mort, Nicolas Bedos a fait une nouvelle chronique cinglante samedi soir sur le plateau de Laurent Ruquier.

Nicolas Bedos: sa nouvelle chronique cinglante sur les

Dieudonné, l’affaire Hollande-Gayet, les juifs, la manif pour tous, l’humoriste surfe sur les sujets sensibles qui secouent la France. Nicolas Bedos a commencé par revenir sur sa chronique qui a fait tant parler d’elle: «Quel bonheur pour moi de revenir en France. Car, oui j’ai été contraint de m’absenter quelque temps suite à une petite chronique légèrement taquine sur monsieur Mbala Mbala Mbala, etcetera. [...]

Une chronique qu’apparemment son élevage de molosses n’a pas bien digéré.» « Les juifs, lâchez-moi la grappe » Dans la suite de son sketch, il remercie, avec humour, l’´État israélien de bien avoir voulu le cacher pendant quelques semaines. Pourquoi il ne faut pas interdire Dieudonné. La liberté d’expression : un concept paradoxal (?) Dans presque tout le monde occidental on défend la liberté d’expression comme un des symboles des plus précieux de notre démocratie, quoique, de temps à autre, une bonne partie de la population se scandalise à juste titre parce que quelqu’un a fait des affirmations dans les médias qu’on juge avoir outrepassé la limite de l’acceptable.

La liberté d’expression : un concept paradoxal (?)

Rappelons-nous des moments les plus polémiques des Marine Le Pen, Zemmour, etc, pour comprendre que tout en faisant la promotion de la liberté d’expression, il demeure que pour la majorité de la population, dont je fais partie, il existe une limite implicite qui ne doit pas être franchie. Facebook : quand la censure frôle le ridicule. Soucieux de préserver la sensibilité de ses membres et de respecter la loi en matière d’iconographie, Facebook surveille de très près les publications de chacun.

Facebook : quand la censure frôle le ridicule

Parfois jusqu’à l’excès. L’an dernier, de nombreuses photos ont été retirées du site en raison de leur caractère sexuel caché ou parce que jugées déplacées. Voici le top 5 de ces clichés censurés sans véritable fondement : 1- Cachez ce coude que je ne saurais voir : 2- Kylie Minogue et son ours en peluche : 3- Double tétées :

Liberté d’expression en Tunisie : la justice, nouveau fer de lance de la censure ? Photo : www.thetechmind.com Une des spécificités du régime Ben Ali a indéniablement été le contrôle des médias et d’internet ainsi que le harcèlement, l’emprisonnement et souvent la torture de toute personne qui osait s’ériger contre le gouvernement.

Liberté d’expression en Tunisie : la justice, nouveau fer de lance de la censure ?

Les journalistes tunisiens ont particulièrement souffert du musèlement opéré par le régime comme ce fut le cas du journaliste Fahem Boukadous, condamné à quatre ans de prison ferme en 2008 pour avoir couvert les évènements du bassin minier de Gafsa. Sous couvert de la loi contre le terrorisme, plusieurs opposants politiques ont également subi des peines de prison très longues suite à des procès arbitraires et injustes. Pendant ces années, des ONG comme Reporters sans frontières, Amnesty international ou Human Rights Watch n’ont cessé de condamner et d’alerter l’opinion internationale contre les multiples violations aux droits de l’Homme commises par le régime tunisien.

Censured. Liberté d’expression sur l'Internet. Réactualisation de la liberté d'expression dans la société d'info. Au cours d’une séance multilingue, cinq intervenants ont abordé, documents à l’appui et sous diverses perspectives, le sujet « Réactualiser la liberté d’expression dans une société de l’information. » C’est justement par vidéoconférence que Julien Saada, représentant de l’Université du Québec, qui se trouvait alors en France, a présenté les relations complexes qui se sont nouées entre cyberactivistes et journalistes durant le Printemps arabe.

réactualisation de la liberté d'expression dans la société d'info

La liberté d'expression francaise américanisée. Depuis quelques semaines, on assiste à une série de dérives autour de propos discriminatoires sur les réseaux sociaux.

la liberté d'expression francaise américanisée

Si le phénomène n'est pas nouveau, il gagne en ampleur et en exposition. Les auteurs de ses propos s'abritent principalement derrière l'humour et la liberté d'expression. Capture d'écran du hashtag #Unbonmusulman sur Twitter. Crédit : Mehdaax #UnBonJuifx-( twitter.com/CosaNostraAmli… — J U L I ABOND JR(@CosaNostraAmlia) October 14, 2012 Seulement, en France, notre liberté d'expression est encadrée par des lois. Dans des pays comme les Etats-Unis, cette liberté est quasiment totale. Crédits : JAMIE SABAU / GETTY IMAGES Une charte ne fait pas office de loi Avec le rapprochement des peuples et des idées qu'a provoqué Internet, la définition de la liberté d'expression s'est globalisée, adoptant tacitement la version américaine. Même si ces chartes ne remplacent pas la législation, elles infléchissent le comportement des internautes. Des recours perçus comme répressifs. USA : le "like" de Facebook protégé par la liberté d'expression ?

Des avocats de Facebook essaient de faire passer le ‘like’ de Facebook sous la protection de la liberté d’expression la Convention Américaine. « Toute suggestion comme quoi ce genre de communication ne bénéficie pas de l’intégralité la protection constitutionnelle entrainerait la dévaluation des moyens de communication formidables qu’Internet a rendu possibles » a déclaré Aaron Panner, un avocat travaillant pour Facebook .

Les hommes du grand F essaient de contester le résultat d’un procès qui a déterminé que les « Like » du réseau social n’étaient pas protégés par la liberté d’expression. Ce même procès,qui n’est d’ailleurs plus tout récent, à l’issu duquel six personnes ont été renvoyées du département du shérif à Hampton en Virginie. L’une de celles-ci Danny Carter, un gardien de prison, a été licenciée pour des raisons un peu étranges. Et c’est justement ce ‘like’ qui a été sujet aux discussions et aux argumentations. Liberté d'expression et réseaux sociaux.

Peut-on tout dire ?

Liberté d'expression et réseaux sociaux

Internet permet-il d’exprimer tout point de vue ? Bien que le contrôle des paroles et des écrits soit plus difficile sur le net, plusieurs délits punissant des propos racistes y sont réprimés tout comme dans n’importe quelle sphère de notre société. Le 19 septembre 2013, plusieurs associations, dont la Maison des potes, ont demandé aux ministres de l’Intérieur et de la Justice d’intervenir pour que soient punis les auteurs de tweets incitant à la violence et à la haine envers deux jeunes militantes. Ainsi, dans un communiqué de presse du 21 septembre 2013, Madame Taubira, garde des Sceaux, a rappelé que les tweets racistes et antisémites devaient être réprimés et qu’Internet et les réseaux sociaux ne devaient pas constituer des lieux d’impunité.

Où s’arrête la liberté d’expression sur Facebook et Twitter ? La justice a tranché : Twitter doit aider les autorités à identifier les auteurs des tweets antisémites.

Où s’arrête la liberté d’expression sur Facebook et Twitter ?

L’occasion de rappeler que nul ne peut tout dire et tout montrer sur les réseaux sociaux sous couvert de la liberté d’expression. Focus sur les règles à suivre sur Facebook et Twitter. #unbonjuif, #unjuifmort. 21 petits caractères qui ont fait grand bruit en 2012 sur Twitter, deux hashtags à l’origine d’un flot de propos antisémites incontrôlable.

Le site de microblogging refuse, dans un premier temps, de donner aux associations plaignantes le nom des auteurs des tweets diffamatoires, arguant qu’il doit obtenir au préalable l’aval de la justice américaine. Le 24 janvier 2013, le verdict tombe : sur ordre du tribunal de grande instance de Paris, Twitter est contraint d’aider les autorités à identifier les internautes concernés. Caché derrière son écran, il est facile de se croire tout-puissant et de transgresser les règles sans scrupule.