Les corps connectés. Le marché français des objets connectés a pesé 150 millions d'euros en 2013 et devrait représenter 500 millions d'euros en 2016, selon les chiffres avancés par Xerfi et rapportés par le Journal du Net.
Ce phénomène désigné sous le terme d' « internet des objets » (ou IdO), expression attribuée à Kevin Ashton (1999) correspond à un vaste éventail d'applications qui affectent de nombreux secteurs : la M-santé (santé mobile), les véhicules intelligents, la domotique, l’habillement, la gestion de l'environnement ou encore les smart cities, pour ne citer que ces quelques exemples. Dans ce contexte d'engouement, le cabinet d’analyse économique IDC prévoit à cet égard 212 milliards d’objets connectés en 2020. Au-delà des prévisions statistiques plus ou moins optimistes, l'internet des objets soulève de nombreuses questions en matière de normalisation, de gouvernance et de sécurité. Quels risques ? Super-branchés, mais à quel prix ? Au départ, les objets connectés à Internet semblaient être destinés à quelques technophiles excentriques qui rêvaient de vivre comme dans les films de science-fiction.
Mais aujourd'hui, il s'agit d'un marché en pleine expansion qui devrait atteindre plusieurs dizaines de milliards de dollars de profits dans les prochaines années. 50 milliards d'objets connectés en 2020 : quel impact sur notre consommation d'énergie ? Des objets connectés pour rapprocher les amants éloignés. Chiens guides, cannes et… objets connectés pour les malvoyants. Mi-drone, mi-bracelet, "Nixie" vous suivra partout avec sa caméra. La vidéo de présentation du projet laisse rêveur.
Microsoft se lance dans les accessoires vestimentaires connectés. L'appareil est vendu à 199 dollars.
Microsoft a lancé parallèlement une nouvelle application compatible avec les smartphones fonctionnant avec son système d'exploitation Windows, mais aussi avec les logiciels concurrent iOS (Apple) et Android (Google). Le premier film créé pour l’Oculus est un film d’horreur. Ça devait arriver : le premier film de fiction adapté pour l’Oculus Rift, ce casque de réalité virtuelle qu’il suffit de se mettre sur la tête pour basculer dans un autre univers, est sorti.
Il s’agit d’un film d’horreur, « Banshee Chapter », qui était d’abord sorti en vidéo à la demande en 2013. Treez, le petit bracelet pour lutter contre la déforestation. Treez est une nouvelle marque de bracelets permettant, à chaque achat, de lutter contre la déforestation dans plusieurs pays du monde.
Treez, c’est le nom de cette nouvelle marque engagée, qui te permet, quand tu achètes un de ses jolis bracelets, de planter un arbre au Ghana, en France, en Thaïlande, au Brésil ou encore au Pérou, avec l’aide du collectif PurProjet, collectif engagé dans la promotion de projets de régénération des écosystèmes, en partenariat avec des communautés défavorisées. Des bracelets fabriqués en France, dans des matières pensées pour réduire leur impact sur l’environnement : faits en bois massif et en coton pour le cordon, ils sont livrés dans un minimum d’emballage, et avec un minimum de temps de transport. L’autre avantage de cette marque, sans aucun doute la transparence. Objets connectés : on va tous y passer. Entreprise / Emploi La mode est aux objets connectés.
On vous en vend de toutes parts, et le marché est si juteux que les industriels se battent pour en croquer! Dans ce marché qui est rendu plus visible aujourd’hui par les smartphones, les tablettes et les montres connectées, il y a en effet aussi un large pan de développement invisible mais tout aussi juteux que le marché des objets à destination du grand public. Si on parle pour tout un chacun de l’Internet des objets (IoT ou Internet of Things), les entreprises élargissent le concept à l’Internet du tout connecté (Internet of Everything ou IoE). Du point de vue du groupe américain d’infrastructure réseau Cisco, c’est simple: le monde entier va connecter tout ce qui peut l’être et ce business va lui permettre de remplir ses carnets de commandes pour 10 ans. DataSTICKIES concept reinvents USB drives as sticky notes - TechGeek. Imagine the possibility of simply using sticky notes as USB drives.
You can finally identify what’s on the drive, and stick them anywhere outside your pocket. For instance, storing financial records and placing it in your wallet; or, inside a notebook filled with family photos. Meet dataSTICKIES, a new concept created by an Indian duo of designers Aditi Singh and Parag Anand. These ‘sticky notes’ flash drives that are made from a graphine-based material sandwiched between a protective layer; and like sticky notes, can be stuck on any surface. There is also a low-tack multiuse conductive adhesive that allows you to stick these together to increase the storage of the ‘drive’. Instead of using a USB port to access and write data, the user sticks these notes on a Optical Data Transfer Surface that is attached to the front of surfaces (e.g. television, monitor).
It is an interesting concept not because of the technology used, but what it can be used for. Quand Google achète des thermostats, il y a une raison. « L’amoureux est un sémiologue sauvage à l’état pur », écrivait Roland Barthes, l’amoureux scrute l’être aimé et le monde, y cherchant les signes qui lui diront s’il peut aller vers demain le cœur léger.
Eh bien, j’ai parfois l’impression que nous sommes réduits par Google à l’état d’amoureux, guettant le moindre geste de l’entreprise pour y lire de quoi notre avenir sera fait. Il y a trois jours, Google a bougé, faisons un peu de sémiologie. Tech.days 2014 : La révolution des objets connectés est en marche. Bernard Ourghanlian, directeur technique et sécurité de Microsoft parle des objets connectés avec Henri Seydoux, PDG de Parrot.
« Trop d’objets connectés n’offrent qu’un service faible à un prix fort » Les objets connectés deviennent des objets intuitifs mais trop de produits n’offrent qu’un service faible à un prix fort. C’est ce que regrette Jean-Philippe Cunniet, spécialiste de la conception des objets intuitifs. Il anime le 8 avril prochain un atelier de travail interactif de création d’objets intuitifs. Question : qui crée des objets connectés et pour quels besoins? Jean-Philippe Cunniet : ceux qui créent des objets connectés aujourd’hui sont des entrepreneurs qui désirent se différencier, qu’il s’agisse de start-up ou de grandes entreprises. Bienvenue dans le monde de l'électricité sans fil - 9 août 2014. Brancher son smartphone, sa lampe de chevet ou même sa télé va-t-il devenir aussi désuet que de raccrocher le téléphone avant de pouvoir se connecter à internet ?
C'est en tout cas la promesse de l'électricité sans fil. Avec cette technique, plus de galère de chargeur pour son ordi, plus de quête d'une prise pour sa voiture électrique, plus de câbles disgracieux pour toute l'électronique de la maison. Comment vous devenez accros aux objets connectés. Objets connectés : quel contrôle a-t-on réellement sur nos données personnelles ? Montres, lunettes, vêtements connectés… Et si le problème était leur manque de sociabilité. L'artiste et programmeur Noah Feehan (@akamediasystem) du New York Times Labs (@nytlabs) évoquait il y a quelques mois les "wearables sociaux", ces objets que l’on porte conçus pour favoriser les relations sociales.
Pour lui, les wearables sont presque exclusivement des enregistreurs : nous les utilisons pour enregistrer les valeurs des capteurs à une résolution que nous, humains, sommes incapables de faire. Les objets connectés qui se portent n’existent dans le monde physique que parce que les capteurs sont nécessaires, qu’ils ne sont pas encore assez petits pour complètement disparaître ou nous êtres implantés sous la peau. Mais les appareils portables ont pourtant besoin d’avoir une raison d’être pour qu’on les utilise, pour qu’on les transporte sur soi. Or, la plupart de ces capteurs portent en eux-mêmes un malaise conceptuel diffus. Les objets connectés seront-ils nos nouveaux gourous ? PSFK livre une intéressante discussion avec Maria Bezaitis (@mariabz), chercheuse en expérience utilisateurs au laboratoire d’ethnographie d’Intel, sur l’avenir de l’internet des objets et sur comment ces objets vont créer de nouveaux types d’engagement pour les utilisateurs.
Elle esquisse la fusion entre l’internet des capteurs et le nudge, ce "coup de pouce" cher à l’économie comportementale, et explique comment l’internet des capteurs va nous aider à adopter des comportements positifs...