background preloader

Mondialisation

Facebook Twitter

Port360 | Port of Rotterdam. Les câbles sous-marins, enjeu majeur de la mondialisation de l'information. Qui a dit qu'Internet reposait sur des flux immatériels d'information ? Il semble bien au contraire exister une matérialité des réseaux numériques qui n'ont rien de "virtuel". La société de l'information exige ses infrastructures, ses serveurs, ses ordinateurs, ses téléphones portables, ses satellites... et surtout ses câbles qui en sont les artères principales.

Le centre de recherche américain Telegeography publie chaque année une nouvelle carte des câbles sous-marins dans le monde (voir les cartes 2014, 2015, 2016 et 2017). En 2018, le site recense 428 câbles sous-marins, soit une longueur totale atteignant plus d'1,1 million de kilomètres. Commençons par cette vidéo d'accroche extraite du Journal de 20h diffusée par la chaîne de télévision France 2 le 5 juillet 2016. Mondialisation : 20 000 câbles sous les mers (extrait du journal télévisé de France 2) 1) Une grille de lecture géohistorique L'empire britannique et son réseau de télécommunications, 1947 (Atlantic Cable) Références.

Le canal de Suez, les nouvelles dimensions d’une voie de passage stratégique. Bibliographie | citer cet article En 1886, Pierre Loti évoquait, dans Pêcheur d’Islande , le passage du canal : « Un jour, on était arrivé à une ville appelée Port-Saïd. Tous les pavillons d’Europe flottaient dessus au bout de longues hampes, lui donnant un air de Babel en fête, et des sables miroitants l’entouraient comme une mer. (…) Avec un bruit continuel de sifflets et de sirènes à vapeur, tous ces navires s’engouffraient dans une sorte de long canal, étroit comme un fossé, qui fuyait en ligne argentée dans l’infini de ces sables.

Du haut de sa hune, il les voyait s’en aller comme en procession pour se perdre dans les plaines. (…) Le lendemain, dès le soleil levé, ils étaient entrés eux aussi dans l’étroit ruban d’eau entre les sables, suivis d’une queue de bateaux de tous les pays. Cela avait duré deux jours, cette promenade à la file dans le désert ; puis une autre mer s’était ouverte devant eux, et ils avaient repris le large ». 1. Encadré 1. 2. 3. Le corridor est bien gardé. 4. L'Asie au coeur des routes Est-Ouest de la conteneurisation. Outre la question – « Les espace maritimes : approche géostratégique » – elle peut offrir un support utile à d’autres mises en œuvre relatives au thème de « la mondialisation en fonctionnement ». L’essor du commerce maritime et de la conteneurisation en particulier permettent de revenir sur la division internationale du travail (étude de cas sur un produit mondialisé) et sur le processus de métropolisation particulièrement sensible en Asie orientale (L’Asie du Sud et de l’Est : les défis de la population et de la croissance).

La cartographie est construite en deux temps : La première phase fait appel à l’outil Khartis développé par l’Atelier de cartographie de Sciences Po et présenté lors de formations académiques l’année passée.Cette phase permet de revenir sur des pratiques partagées. Une fois sur l’interface en ligne – onglet « données » - on sélectionne le fond de carte lié à l’échelle de travail (« Monde > pays (2016) ») puis on télécharge le jeu de données recueilli. Le plus grand conteneur du monde est français. La dernière fois qu’un chef d’État a inauguré un bateau commercial, c’était en 1962, pour le France. Un paquebot au funeste destin, mais qui à l'époque de sa mise à l'eau était un fleuron de la construction navale et du luxe à la française.

Alors de quoi le Jules Verne est-il le nom ? Pas tellement du made in France cher à notre ministre du redressement productif puisqu'il sort des chantiers … sud-coréens ! Le Jules Verne, avec les 16 000 boîtes empilées à son bord, un record absolu, est surtout la déclinaison bleu blanc rouge de la mondialisation. Car l'invention du container dans les années 50 et de son corollaire le porte container a fait exploser le volume du commerce mondial.

De l'usine au magasin, les produits sont conditionnés dans cette boite transportée par camion puis par bateau. Le Jules Verne en est la version la plus aboutie Mais plus pour très longtemps. Mais quand la crise pointe son nez, les armateurs prennent le bouillon. C'est ce que révèle le site Mediapart. La pizza, histoire d'une mondialisation heureuse. L'art du pizzaïolo napolitain, qui fait valser la pâte dans les airs, vient d'être classé patrimoine immatériel de l'humanité par l'Unesco. Une belle reconnaissance pour la pizza, qui a su conquérir la planète sans s'uniformiser. L'anthropologue Sylvie Sanchez revient sur l'histoire de sa diffusion planétaire, dans le sillage des migrants italiens. Sacré morceau que de retracer l’histoire de la pizza ! C’est pourtant le défi qu’a relevé Sylvie Sanchez, anthropologue à l’Institut interdisciplinaire d'anthropologie du contemporain.

Pour partir sur les traces de la pizza, elle a mené « un vrai travail de détective », parcourant les archives, les registres, les témoignages... Des premières mentions de la pizza, il reste peu de chose : le mot apparaît dans le dialecte napolitain au 16e siècle mais désigne alors une pâte nue, simplement badigeonnée d’huile d’olive ou de saindoux, la pizza bianca. De l'Italie à New York et la Provence Une pizzeria à New York dans les années 50. Océans, conteneurisation, mondialisation.

Café géographique de Saint-Brieuc, le Vendredi 13 Octobre 2017 Antoine Frémont est agrégé de géographie et directeur de recherche à l’IFSTTAR (Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux). Il est l’auteur de l’ouvrage « Le monde en boîtes. Conteneurisation et mondialisation » Presses de l’INRETS, 2007. Il est également l’auteur avec Anne Frémont-Vanacore du dossier « Géographie des espaces maritimes » documentation photographique, mars/avril 2015. Il a dirigé avec Laetitia Dablanc l’ouvrage « La métropole logistique » Armand Colin, 2015. « Océans, conteneurisation, mondialisation », les trois termes de l’intitulé du café géographique de ce soir revient à poser l’hypothèse que la mondialisation passe par la mer. C’est ce que propose de nous démontrer Antoine Frémont qui part d’un constat : alors qu’aujourd’hui 10 milliards de tonnes de marchandises empruntent la voie maritime, en 1950 le total s’élevait à 550 millions de tonnes !

Visualisation of Global Cargo Ships | By Kiln and UCL. This 30-Day Time-Lapse From A Cargo Ship Is Stunning. ​The world's oceans are incomprehensibly vast, a fact that's quite apparent in this spectacular time-lapse of a cargo ship's journey over the course of a month. YouTuber JeffHK took 80,000 photos over a 30-day period, resulting in a 10-minute video: If you don't have 10 minutes to watch the whole thing, JeffHK made a handy little viewer's guide for you, complete wth timestamps: 0:32 Milky Way 0:53 Sirius Star (I think) Correction: Jupiter the planet according to some viewers 1:17 Approaching Port of Colombo 1:45 Cargo Operation 2:08 Departure Colombo with Rainstorm 2:29 Beautiful Sunrise 3:13 Lightning Storm at Malacca Strait and Singapore Strait 3:29 Clear night sky Milky Way with lightning storm 4:01 Camera getting soaked 5:09 Arrival Singapore 5:56 Departure Singapore 6:20 Moon-lit night sky 6:48 Another Sunrise 8:30 Headed due north and you can see Ursa Major rotating neatly around Polaris. 8:36 Squid Boats 8:54 Chaotic Traffic 9:15 Arrival Hong Kong [JeffHK]

Containers : la vie en boîtes #DATAGUEULE 33. Le concentré de tomate, un produit agro-industriel mondialisé. La parution de l'ouvrage de Jean-Baptiste Malet, L’Empire de l’or rouge. Enquête mondiale sur la tomate d’industrie (Fayard, 2017, 288 pages) a conduit la presse d'actualité à publier de nombreux articles sur la tomate dans la mondialisation. L'auteur enquête sur l'histoire et la géographie du concentré de tomates, produit phare de l'industrie agro-alimentaire. Il s'agit d'une géographie entièrement mondialisée, dans laquelle la province chinoise du Xinjiang est intégrée aux circuits mondiaux par l'intermédiaire de conglomérats agro-industriels détenus par des généraux de l'Armée populaire de Chine, comme l'entreprise Cofco.

Les pays occidentaux n'en sont pas les seuls débouchés : le concentré de tomate en boîte envahit les marchés des pays en développement, y compris dans les populations les plus pauvres qui peuvent l'acheter à la cuillère dans certains pays, alors que c'est déjà l'un des produits alimentaires les moins chers. Pour compléter : Une mondialisation s'éloigne, une autre arrive - Les Echos. Transport maritime : routes principales et routes alternatives - Philippe Rekacewicz - Visionscarto. Activité Éducation et Numérique. Industrialisation et développement des échanges de marchandises Ces nouvelles terres ont donné aux puissances européennes des occasions de commercer, avec l'Afrique et l'Asie d'abord, puis avec les nouvelles colonies d'Amérique également.

La première période de la colonisation a surtout touché l'Amérique, du Sud pour les Ibériques, du Nord pour les Français et les Anglais. Le commerce d'esclaves, dont le fameux "commerce triangulaire", était alors déjà fréquent, mais ce n'a été qu'à partir du XVIIIe siècle qu'il a vraiment pris un caractère généralisé. La révolution industrielle a ensuite donné au Royaume-Uni un avantage considérable et lui a assuré une suprématie mondiale avec le plus puissant Empire colonial, notamment grâce à sa prédominante flotte. Durant la première révolution industrielle (1780-1850), une série de découvertes technologiques a modifié la relation avec le temps et l'espace, comme le télégraphe, le téléphone, mais aussi la machine à vapeur qui permis.

Mapping the Flow of International Trade. According the UN’s Comtrade database, the global market for imported goods totaled $15.6 trillion in 2015. This map shows where those goods came from and where they went, each dot representing $1 billion in value. Select a country to see the flow of goods in and out of that country. The Flow of International Trade (full screen) Full screen version / Youtube With the election of Donald Trump, international trade is suddenly at the top of the U.S. agenda. And it occurred to me, I actually have very little idea what the big picture of foreign trade looks like.

What does this map tell us? I can only speak for myself, but what jumps out most to me is how concentrated the flows are in just three countries: the U.S., China, and Germany. Germany has the largest economy in the EU, but not by much. What strikes me about the United States is how balanced its trade is with Canada and Mexico. Credit: International trade flows from U.N.

Follow Metrocosm Related Your World Map is Hiding Something Click Me! Containers : la vie en boîtes #DATAGUEULE 33. Log In. Tokyo dans la mégalopole japonaise. Géographie 4ème. Objectifs Le programme de 4e, applicable à partir de la rentrée 2011, s'intitule : "approches de la mondialisation". La séquence proposée se situe dans la partie I : "des échanges à la dimension du monde", thème 4 : "les lieux de commandement" ou "les entreprises transnationales". Rappel du programme "Connaissances : les grandes métropoles. Centres décisionnels majeurs, elles concentrent le pouvoir économique, financier, culturel, politique et technologique. Démarche : étude de cas : Tokyo dans la mégalopole. Cette étude de cas débouche sur la présentation de planisphères : grandes métropoles, places boursières, réseau mondial de l'Internet... Objectifs de contenus Notions : métropole mondiale, mégalopole, métropolisation, pouvoir de commandement Vocabulaire : mégapole, verticalité, terre-plein articifiel, conteneurisation, indice Nikkei...

Intégration du thème transversal Histoire des arts L'étude de cas au collège Elle ne débouche pas comme au lycée sur une mise en perspective longue. Durée. Product (Arte) : la vie des produits avant leur consommation. Fermer AccueilEnglish Product (Arte) : la vie des produits avant leur consommation Product est une série de documentaires de 3 minutes, chacun proposant de suivre, en vue subjective, toutes les étapes de la vie de différents produits, de leur production jusqu’à leur consommation.

D’où viennent leurs matières premières ? Qui les a transportés, travaillés, transformés ? Combien de pays ont-ils traversé ? Combien de kilomètres ont-ils parcouru ? Suivez ainsi le périple, souvent mondialisé : des crevettes ; des betteraves pour la fabrication des bonbons ; des cheveux pour des extensions ; des bouteilles en plastiques pour des baskets recyclées ; des noisettes pour de la pâte à tartiner ; des roses ; du lin des vestes ; de l’étain pour les circuits imprimés ; du titane pour des mât-réacteurs d’avion ; des arbres pour le papier.

Cette série a été développée pour Arte sur le site duquel on pourra voir ou revoir ces vidéos. Pour en savoir plus, consultez cette page. Soyez le premier à écrire un commentaire. Pascal Goblot : Made in partout 2. Pollution mondiale : laissez la Chine tranquille. Emissions de CO2 en 2012 : une carte en trompe-l’oeil Sur son blog, Thomas Piketty se livre à une géographie des inégalités mondiales de la pollution par les gaz à effet de serre. Résumée ainsi pour le néophyte : les plus gros pollueurs sont les Chinois. Haro donc sur la Chine ! « Ce faisant, pour Piketty, on oublie plusieurs choses. D’abord, les volumes d’émissions doivent être ramenées à la population de chaque pays : avec près de 1,4 milliards d’habitants, la Chine est près de 3 fois plus peuplée que l’Europe (500 millions), et plus de 4 fois plus peuplée que l’Amérique du Nord (350 millions). On constate alors que les Chinois émettent actuellement l’équivalent de 6 tonnes de CO2 par an et par habitant (soit environ la moyenne mondiale), contre 13 tonnes pour les Européens, et plus de 22 tonnes pour les Nord-Américains.

. « Et où se trouvent les 1% les plus gros pollueurs du monde ? Source des cartes : www.planetoscope.com WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème 10 novembre 2012. France Culture - (ré)écouter.