background preloader

PENSEURS

Facebook Twitter

Lao Tseu. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Lao Tseu

Pour les articles homonymes, voir Lao. Lao Tseu en dieu taoïste avec l’éventail en main Le Tao Tö King (Livre de la Voie et de la Vertu) que la tradition lui attribue est un texte majeur du taoïsme, considéré comme important par d'autres courants également. Lao Tseu est considéré par les taoïstes comme un dieu (太上老君, Tàishàng lǎojūn, « Seigneur suprême Lao ») et comme leur ancêtre commun. Il est représenté comme un vieillard à la barbe blanche, parfois monté sur un buffle. Mythe ou personnage réel ? Zhang Boduan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zhang Boduan 張伯端 (983? -1081?) , encore appelé Zhang Ziyang (張紫陽), est un taoïste des Song du Nord considéré comme le fondateur de l’École alchimique du Sud[1] dont il est l’un des cinq patriarches, et comme l’auteur du Wuzhenpian (悟真篇) ou Éveil à l’authentique, un important ouvrage de référence.

Comme les autres taoïstes célèbres de son temps, il promeut l’alchimie interne neidan et l’union de la pensée des « Trois Enseignements » : taoïsme, confucianisme et bouddhisme. Biographie[modifier | modifier le code] Il aurait eu pour prénom social Pingshu (平叔) ; sur le tard, il aurait changé son prénom en Yongcheng (用成) et pris le nom religieux de Ziyang (紫陽). Zhang Lu (seigneur de la guerre) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode.

Zhang Lu 張魯(? —216 ?) , nom social Gongqi (公祺, parfois 公旗), était un seigneur de guerre de la fin des Han qui occupa pendant près de vingt-cinq ans Hanzhong, qu’il gouverna selon les principes de l’école taoïste des Cinq boisseaux de riz, qu’aurait fondée son grand-père Zhang Ling. Dans la religion taoïste, il est un immortel et le troisième de la lignée des maîtres célestes Zhang, dont prétendent descendre les patriarches actuels de Zhengyi. La famille Zhang serait originaire de Fengxian (豊県) dans le pays de Pei (沛國)[2], d’où son grand-père Zhang Ling (張陵) aurait émigré pour se fixer au Sichuan où il aurait fondé l’une des premières sectes taoïstes connues. Néanmoins, en 211, Zhong Yao (鍾繇) persuade Cao Cao d’envoyer une armée reprendre Hanzhong. Wei Huacun. Wang Chongyang. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Biographie[modifier | modifier le code] Les débuts[modifier | modifier le code] Il naît en 1113 dans une famille aisée du village de Daweicun (大魏村)[3] près de Xianyang au Shaanxi, troisième fils de Wang Baiwan (王百萬). Il reçoit une éducation lettrée qui porte ses fruits, si l’on en croit les textes et poèmes qu’il a laissés, d’assez bonne qualité littéraire. Entre 1135 et 1140, il se présente aux examens impériaux et est reçu avec d’excellents résultats ; il change son prénom et son nom social pour marquer le début de sa carrière de fonctionnaire.

Shen Dao. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Shen. On lui attribue le Shenzi[4], un ensemble de douze discours selon le Shiji, de quarante-deux chapitres selon le Livre des Han, perdus presque entièrement dès la dynastie Song. Les cinq chapitres qui restent semblent être de date beaucoup plus tardive, et doivent être corrigés à partir des citations dans les textes anciens. Dans le Zhuangzi[modifier | modifier le code] Le dernier chapitre du Zhuangzi place Shen Dao ainsi que deux autres académiciens de Jixia, Tian Pian[5] et Peng Meng[6], dans la lignée de ceux qui ont avancé vers la compréhension du Tao car ils en avaient une vision universelle et non spécifique comme Mozi ou Yangzhu. On retrouve donc chez lui une similitude avec la pensée attribuée à Laozi ou à Zhuang Zhou. Dans le Hanfeizi[modifier | modifier le code] Dans le Xunzi[modifier | modifier le code]

Wang Changyue. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Wang Changyue (王常月)(? -1680) est un important maître de l'école taoïste Quanzhen Dao, septième patriarche de la branche Longmen (龍門). Kou Qianzhi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode.

Origine[modifier | modifier le code] Il était originaire de Shanggu (上谷) dans le district de Changping (昌平) actuellement dépendant de Pékin ; La famille se serait déplacée à Fengyi (馮翊) au Shaanxi suite aux troubles de guerre. Il s’agissait d’un important clan local revendiquant parmi ses ancêtres Kou Xun (寇恂), personnage célèbre des Han orientaux. Tao Hongjing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Tao Hongjing 陶弘景 (456 -536), nom social Tongming 通明, surnom religieux l'Ermite de Huayang[1], nom posthume Sire de la chasteté immaculée[2], est un lettré chinois des Royaumes du Sud connu pour sa contribution au taoïsme, en particulier le courant Shangqing-Maoshan[3], ainsi qu'à l'alchimie et à la médecine.

Né sous les Liu-Song, il servit à la cour des Qi et mourut sous les Liang, ayant passé presque la moitié de sa vie comme ermite. Dans les nombreux écrits qu'il a laissés il aborde également la divination, la géomancie, l'astronomie ainsi que des sujets plus classiques comme les Généalogies impériales[4] ou le Commentaire du Canon de la piété filiale et des Analectes de Confucius[5]. Liu An. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux. Ge Hong. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ge Hong

Ge Hong 葛洪, géhóng (283 – 343), nom public Zhichuan[1], surnom Baopu Zi[2], est un lettré chinois et auteur prolifique dont beaucoup de textes ne nous sont pas parvenus. Il est essentiellement connu pour l’intérêt qu’il porta à la poursuite de l’immortalité taoïste et ses recherches sur les techniques censées y mener, exposées dans le Baopuzi. Ce livre a eu une grande influence sur le développement de l’alchimie chinoise, de la pratique et de la pensée taoïste, et reste de nos jours un ouvrage de référence pour leur étude, malgré son abord ardu et l’aspect difficilement interprétable d’une partie de son contenu. Il offre également un intérêt philosophique et documentaire sur la société de l’époque.

Parmi les autres écrits qui restent de lui, on peut mentionner Biographies des divins immortels[3]ainsi que des textes sur la médecine et la pharmacopée, intégrés dans des traités de médecine chinoise. Zhang Sanfeng. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zhang Sanfeng Zhang Sanfeng (chinois simplifié : 张三丰; chinois traditionnel : 張三丰 ; variante 張三豐 ; pinyin : Zhāng Sānfēng ; Wade-Giles : Chang San-feng) est un taoïste errant partiellement légendaire, spécialiste des arts martiaux internes (neijia), ayant vécu entre les Song et le début des Ming[1]. La tradition lui attribue la fondation de l’école d’arts martiaux du mont Wudang et, depuis le XIXe siècle, l’invention du tai-chi-chuan, ce dont les historiens doutent fortement. C’est en tout cas un personnage populaire du folklore et des arts martiaux chinois, à propos de qui circulent de nombreuses légendes.

Surnommé « Zhang Le souillon » (張邋遢, zhānglátà), il est souvent représenté en tenue de moine avec un chapeau de paille à large bord dans le dos. Guo Xiang. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On sait peu de choses de sa vie, sinon qu'il avait une réputation de brillant causeur et devint fonctionnaire sur le tard, ayant parait-il refusé plusieurs postes car il préférait se consacrer à l’étude et à la pratique du dao. Il est rangé dans le courant Xuanxue ou « étude du mystère », autrefois nommé néo-taoïsme, caractérisé par une vision transcendante du dao. Lu Xiujing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux.

Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. Lu Xiujing 陸修靜 (406-477) était un taoïste de la dynastie Liu-Song. Il structura le mouvement des Maîtres célestes du Sud, précisa les détails des rituels et renforça la hiérarchie du clergé. Éditeur du Canon du courant Lingbao et compilateur du premier Canon taoïste, dont la structure sera reprise systématiquement à partir des Tang, il joua un rôle important dans la diffusion des idées des différents courants. Huángdì. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page contient des caractères spéciaux.

Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. L'Empereur jaune L'Empereur Jaune (黄帝 Huáng Dì) est selon la tradition chinoise un souverain civilisateur de la haute antiquité qui aurait règné de -2697 à -2598 av. Ge Xuan. Yin Xi. Wang Bi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cette page contient des caractères spéciaux. Si certains caractères de cet article s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode. C'est à travers cette théorie faisant du 'non-être' / 'non-avoir' (wu) (3) l'origine de toutes choses et le vocabulaire qui l'exprime que furent introduits en Chine les premiers textes du bouddhisme mahâyâna, en particulier la littérature prajnaparamita et le concept de 'vide' (sunyata).

Wang Bi est également connu pour ses versions commentées du Dao De Jing et du Yi Jing qui devinrent la référence principale dans les siècles suivants, et sur lesquelles se fondent presque toutes les traductions en langues étrangères. Néanmoins, en toute rigueur Wang Bi n'est pas vraiment un taoïste, et il fait de Confucius, plutôt que de Lao Zi, le modèle du sage qui a "élargi la Voie". He Yan.

Liu Hai. Lie Yukou. Tchouang-tseu. Zhang Daoling. Sun Simiao. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sūn Sīmiǎo 孙思邈 (581 - 682) est un médecin et alchimiste taoïste chinois du début de l'époque des Tang, né près de la capitale Chang'an, dans la province du Shanxi. Il est l'auteur du Qianjin yaofang, 《千金要方》, l'écrit médical peut-être le plus cité du premier millénaire, toujours très célèbre en Chine et dans toute l'Asie Orientale, du Japon et de la Corée au Viêt Nam.