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Max Weber

Max Weber
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Weber. Max Weber Max Weber en 1894 Max Weber, né le et mort le , est un économiste et sociologue allemand[1], Il est l'un des fondateurs de la sociologie moderne et l'un des premiers à avoir pensé la modernité d'un point de vue critique. On lui doit une analyse de la bureaucratie, forme d'organisation sociale. Outre son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique. Introduction[modifier | modifier le code] Max Weber est considéré comme le fondateur de la sociologie compréhensive. L'œuvre de Weber est dominée par une recherche sur la rationalité et, plus spécifiquement, sur le processus de rationalisation de l'action pratique comme caractéristique propre de la modernité en Occident. « Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […]. Réception de son œuvre[modifier | modifier le code] Related:  Critiques, polémistes, essayistes

Raymond Aron Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aron. Raymond Aron Philosophe occidental XXe siècle Raymond Aron (à gauche) en 1966. Raymond Claude Ferdinand Aron, né le 14 mars 1905 à Paris et mort le 17 octobre 1983 à Paris, est un philosophe, sociologue, politologue, historien et journaliste français. Pendant trente ans, il est éditorialiste au quotidien Le Figaro. Il garde néanmoins tout au long de sa vie un ton modéré. Famille[modifier | modifier le code] Raymond Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu plutôt aisé des deux côtés. Cette fortune a permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire des études. Études[modifier | modifier le code] En 1928, il est reçu 1er à l'agrégation de philosophie, alors que Sartre est recalé à l'écrit, avant d'être à son tour reçu 1er l'année suivante, et avec un total de points supérieur à Aron l'année précédente[13]. Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Georg Lukács Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Lukács. Georg Lukács Philosophe Occidental Époque moderne Georg Lukács ou György Lukács, né György Löwinger le 13 avril 1885 et décédé le 4 juin 1971, est un philosophe marxiste et sociologue de la littérature hongroise hongrois d'expression allemande. Biographie[modifier | modifier le code] György Lukács naît dans une famille de la bourgeoisie juive de Budapest. En 1917, il adhère au marxisme et entre par la suite au Parti communiste de Hongrie. Après l'échec de ce soulèvement, il s'exile en Autriche, puis à Berlin, et enfin à Moscou à partir de 1933. Il est ministre de la Culture dans le gouvernement d'Imre Nagy en 1956. Travaux[modifier | modifier le code] Il a été lauréat du Goethe-Preis décerné par la ville de Francfort-sur-le-Main en 1970. Histoire et Conscience de classe[modifier | modifier le code] Œuvres en langue allemande[modifier | modifier le code] Die Seele und die Formen.

Émile Durkheim Pour les articles homonymes, voir Durkheim. David Émile Durkheim, né le à Épinal et mort le à Paris[1], est un sociologue français considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie moderne. En effet, si celle-ci doit son nom à Emmanuel-Joseph Sieyès et a été popularisée par Auguste Comte à partir de 1848, c'est grâce à Durkheim et à l'École qu'il formera autour de la revue L'Année sociologique[2] (1898) que la sociologie française a connu une forte impulsion à la fin du XIXe siècle et au début du XXe. Formé à l'école du positivisme, Durkheim définit le « fait social » comme une entité sui generis, c'est-à-dire en tant que totalité non réductible à la somme de ses parties. L'apport de Durkheim à la sociologie est fondamental, puisque sa méthode, ses principes et ses études exemplaires, comme celle sur le suicide ou la religion, constituent toujours les bases de la sociologie moderne. Biographie[modifier | modifier le code] Années de formation[modifier | modifier le code]

Jean-François Revel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Revel. Jean-François Revel Jean-François Revel par Elsa Dorfman, 1999 Œuvres principales Ni Marx ni Jésus (1970)La Tentation totalitaire (1976)La Connaissance inutile (1996)Le Voleur dans la maison vide. Jean-François Revel (né Jean-François Ricard le à Marseille, mort le au Kremlin-Bicêtre, Val-de-Marne) est un philosophe, écrivain et journaliste français. Biographie[modifier | modifier le code] Il se consacre ensuite à sa carrière de journaliste et d'écrivain. En plus de la politique et la philosophie[2] (sujet de son premier essai pamphlétaire Pourquoi des philosophes et de son Histoire de la philosophie occidentale. Il est élu le à l'Académie française au 24e fauteuil[3]. Jean-François Revel meurt le 30 avril 2006 et est enterré le 5 mai au cimetière du Montparnasse (10e division). Pensée[modifier | modifier le code] On lui doit la théorisation en 1979 du droit d'ingérence. Œuvres[modifier | modifier le code]

Werner Sombart Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Werner Sombart Werner Sombart, vers 1930. Son début de carrière, le socialisme et l'économie[modifier | modifier le code] Né à Ermsleben, dans le Harz, en Allemagne, fils d'un riche homme politique libéral, industriel et propriétaire foncier, Anton Ludwig Sombart, il étudie aux universités de Pise, Berlin et Rome, à la fois le droit et l'économie. Comme économiste et plus encore en tant que militant « social », Sombart était alors considéré comme d'extrême gauche, et de ce fait, il lui fut seulement offert — après des travaux pratiques comme directeur juridique de la Chambre de commerce de Brème — un poste de professeur assistant de la lointaine Université de Breslau. En 1902, son œuvre majeure, Le Capitalisme Moderne (Der moderne Kapitalismus), parut en six volumes. En 1906, Sombart accepta un poste de professeur à l'école de commerce de Berlin, une institution moins prestigieuse que Breslau mais plus proche de l'action politique.

La Distinction. Critique sociale du jugement - Philippe Cabin, article Sociologie Dans La Distinction. Critique sociale du jugement, Pierre Bourdieu oppose à la vision courante, qui tient les goûts pour un don de la nature, l'observation scientifique qui montre que ceux-ci sont déterminés et organisés entre eux par notre position dans la société. Il peut paraître évident que ceux qui boivent du champagne ont plus de chance que les buveurs de gros rouge d'avoir des meubles anciens, de pratiquer le golf, de fréquenter musées et théâtres. P. [ lire la suite... ]Article de 1344 mots.

Bertrand de Saint-Vincent Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bertrand de Saint Vincent est un journaliste et chroniqueur littéraire, il est rédacteur en chef du Figaro. Il tient également depuis 2008 une chronique quotidienne dans Le Figaro, « Sur invitation ». Bertrand de Saint-Vincent a également reçu le prix Louis-Hachette pour sa chronique quotidienne dans Le Figaro.

Emmanuel Kant Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emmanuel Kant Philosophe occidental Époque moderne Biographie[modifier | modifier le code] Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse-Orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans un milieu modeste : son père, d'origine écossaise, est sellier, et sa mère, décrite par Kant comme une femme très intelligente, est foncièrement piétiste. C'est là qu'il découvre Newton et la physique, preuve selon lui qu'une science a priori de la nature est possible (c’est-à-dire les mathématiques et la physique)[2]. En 1746, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour donner des cours : il est engagé comme précepteur par des familles aisées et il accomplit cette tâche durant neuf ans. En 1755, il obtient une promotion universitaire et une habilitation grâce à une dissertation sur les principes premiers de la connaissance métaphysique. En 1781 paraît la première édition de la Critique de la raison pure.

L'oeuvre d'art à l'époque de sa ... - Walter Benjamin Félix Fénéon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Signac, Sur l'émail d'un fond rythmique de mesures et d'angles, de tons et de teintes, Portrait de M. Félix Fénéon en 1890, Opus 217[1]. Félix Fénéon est un critique d'art, journaliste et directeur de revues français, né à Turin (Italie) le et mort à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) le . Jean Paulhan a écrit un essai intitulé Félix Fénéon ou le critique : Félix Fénéon incarne en effet avant tout le critique qui ne se trompait jamais, qui savait que Rimbaud, Jules Laforgue, Stéphane Mallarmé, Paul Valéry et Apollinaire seraient les grands écrivains de son temps et non Sully Prudhomme ou François Coppée, et qui rendait justice aux impressionnistes puis post-impressionnistes quand ses confrères encensaient les Pompiers. Le Prix Fénéon, littéraire et artistique, est créé en 1949 à l'initiative de la veuve de Félix Fénéon, Fanny Goubaux. Biographie[modifier | modifier le code] Signature de Félix Fénéon Œuvres[modifier | modifier le code]

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