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Composantes pédagogiques

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Sans titre. Deux « incontournables » : deux livres révélations qui changent notre regard en un éclair de compréhension.

sans titre

Comprendre que la difficulté, l’échec scolaire n’est pas une fatalité. Le témoignage de Pennac, Chagrin d’école, est à la fois drôle, vrai, émouvant, il permet à l’enseignant qui n’a jamais connu l’échec à l’école de comprendre un peu du mystère de la difficulté scolaire… tout en se régalant d’une écriture à la Pennac et en sortant de ce livre avec le sourire. Même pas grave, l’échec scolaire ça se soigne produit le même effet : on rit, on est ému par tous ces petits morceaux de vies que nous avons rencontrés nous aussi, mais surtout, nous comprenons ! Comprendre c’est de la lumière en plus, comprendre c’est ce que nous demandons à nos élèves, comprendre, étymologiquement « saisir par l’intelligence, embrasser par la pensée », c’est le premier pas vers l’autre, surtout quand notre mission est de l’aider à grandir.

Ces deux-là, pourtant si différents, parlent bien le même langage ! Le livre qui a tout changé. Un prof de maths qui va vous parler d’un livre.

Le livre qui a tout changé

Je vois votre œil méfiant… et vous avez raison. D’abord parce que je ne suis pas un grand amateur de littérature (qui a dit « ça se voit vu les fautes qu’il laisse traîner ici » ?) Mais aussi parce que ce billet se veut surtout pédagogique. Il est donc intéressé. Ce livre qui me fait sortir aujourd’hui de ma zone de confort au point d’en parler publiquement, c’est Chagrin d’école de Daniel Pennac. Lorsque j’ai lu ce livre, j’étais un jeune prof, peu expérimenté. Avant de lire les premières pages de Chagrin d’école, je n’avais que très peu commencé ma construction professionnelle. A travers les mots de Pennac, j’ai pris conscience que tout cela était bien plus complexe. Nous avons tous dans nos classes des petits Pennac. Trois intox sur la réforme du collège passées au crible. Les débats houleux autour des nouveaux programmes du collège, que Najat Vallaud-Belkacem souhaite mettre en place dès septembre 2016, ne semblent pas près de s’apaiser.

Trois intox sur la réforme du collège passées au crible

Entre les affirmations inexactes des opposants et les imprécisions du ministère de l’Education, on tente d'y voir clair sur le contenu réel d’une réforme soumise à consultation auprès des 800.000 enseignants de France, jusqu’au 12 juin prochain. 1L’intox : le latin et le grec vont disparaître C’est l’un des points les plus controversés : la réforme des programmes entraînerait la disparition du latin (actuellement enseigné en option dès la cinquième) et du grec (option accessible à partir de la troisième). Une décision motivée par le faible engouement des collégiens pour les langues de l’Antiquité : les cours de latin sont suivis par seulement 18% des élèves. Dans le nouveau projet, le latin et de grec restent donc proposés aux élèves, sous la forme d’un "enseignement de complément" parallèle à l’EPI. Alexis Orsini.

Réforme du collège

Docs pour PFEG. Apprendre à l ère du numérique. Nouvelles approches de la relation pédagogique. Discipline, sanction, punition. Pédagogie - Sources d'information non institutionnelles. Quid de l'évaluation. Numérique et Education. En finir avec le redoublement ? La pensée complexe. Evaluation des compétences. Socle commun connaissances, compétences, culture. A LA DECOUVERTE DES SCOP. Veille numerique collaborative. La pédagogie inversée. Bienveillance/mieux être dans le milieu scolaire. Climat scolaire - Accueil. Dix conseils pour bien gérer les relations parents-enseignants. Comment recevoir des parents d'élèves ?

Dix conseils pour bien gérer les relations parents-enseignants

Jean-Louis Auduc, ancien directeur d'IUFM, analyse toutes les situations et donne des conseils concrets. Une fiche à ne pas égarer... Des parents angoissés pour le futur Nous sommes aujourd’hui dans une situation où aucun parent n’est assuré que son enfant vivra dans le futur mieux que lui. C’est une rupture profonde avec ce qui a existé depuis deux siècles où la notion mythifiée, fantasmée, de l’ascension sociale a été un moteur puissant de l’espoir dans le futur. Cette perspective était un élément fondateur d’un projet collectif, d’une confiance dans l’école. Les parents sont souvent plus désemparés que démissionnaires. Nous sommes passés : - d’une société fondée sur des PROMESSES matérielles dans lesquelles l’école jouait un rôle clé en délivrant des diplômes reconnus sur le marché du travail - à une société pleine de MENACES matérielles où l’école joue souvent le rôle de bouc-émissaire. 1) Comment combattre et vaincre les peurs réciproques ?