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Dans le Val-de-Marne, un local de rétention administrative fermé pour « traitements inhumains » Le local de rétention administrative (LRA) de Choisy-le-Roi a été fermé, samedi 6 février, la préfecture du Val-de-Marne ayant mis en application une décision de justice épinglant le lieu pour « traitements inhumains et dégradants ».

Dans le Val-de-Marne, un local de rétention administrative fermé pour « traitements inhumains »

La décision de justice, rendue le 5 février par le tribunal administratif de Melun, « a été mise en œuvre dès ce matin », a déclaré la préfecture. « Il y avait encore un étranger en situation irrégulière qui était dans le LRA, mais il a été mis fin à sa rétention administrative, donc il n’y a plus de personnes actuellement accueillies dans ce LRA » d’une capacité de douze personnes. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Crise sanitaire : situation alarmante dans les centres de rétention administrative La préfecture a fait savoir que des travaux pour garantir « un meilleur accès aux sanitaires » commenceraient « dans les prochaines semaines ». « On travaillait sur ce sujet des sanitaires dès avant la décision de justice », a-t-elle assuré. Le Monde avec AFP. « Nous ne voulons pas de centre de rétention administrative, ni à Orléans, ni ailleurs »

L’État a pris la décision d’ouvrir un centre de rétention administrative à Olivet, en agglomération immédiate d’Orléans, dans le Loiret.

« Nous ne voulons pas de centre de rétention administrative, ni à Orléans, ni ailleurs »

Son ouverture est programmée pour 2023. Membres de la société civile d’Orléans et du Loiret, militant·es associatifs et associatives, syndicalistes, universitaires, écrivain·es, acteurs et actrices de la vie culturelle et artistique, nous voulons dire ici le rejet viscéral que nous inspire ce projet. Un centre de rétention administrative c’est une prison pour étranger·es. EXCLU FRANCE BLEU - Le cauchemar de trois touristes sud-américaines en centre de rétention près de Rouen. C'est une histoire digne d'un véritable cauchemar que vous révèle France Bleu Normandie.

EXCLU FRANCE BLEU - Le cauchemar de trois touristes sud-américaines en centre de rétention près de Rouen

Au départ, Wilma, Lilianna et Jennifer ne se connaissent pas du tout. L’internement des nomades, une histoire française. « On est torturés, on est humiliés » : 44 sans-papiers en grève de la faim au CRA de Vincennes. Ils n’ont commis aucun délit mais ils vivent enfermés, retenus dans des centres de rétention, les fameux CRA, « où les douches sont dégueulasses et où la bouffe est immonde. » Plusieurs dizaines de sans-papiers du CRA de Vincennes ont donc choisi de se mobiliser, comme ils l’affirment dans un appel publié le 3 janvier et relayé par le blog « A bas les CRA !

« On est torturés, on est humiliés » : 44 sans-papiers en grève de la faim au CRA de Vincennes

». Quarante-quatre d’entre eux, selon nos informations, ont même commencé une grève de la faim pour alerter sur leurs conditions de vie. “Il y a eu des copains (retenus) tabassés puis déportés en étant casqué, bâillonné et scotché, écrivent-ils. Il y a eu des copains drogués qui se sont réveillés de retour dans un pays où ils ne connaissaient plus grand monde. On a tous une histoire différente, qu’on soit travailleur, étudiant depuis peu en France ou vivant ici depuis presque 20 ans.

Chaque année, environ 50 000 étrangers en France sont enfermés dans ce type de centres. L’histoire d’H. est loin d’être exceptionnelle. Arno PEDRAM. Près de Roissy, à la rencontre d’étrangers enfermés trois mois pour une expulsion aléatoire. Un sans-papier soudanais accuse la police de lui avoir fait subir « une véritable séance de torture » Le 19 décembre (2), quand Ali (1) a vu cinq policiers se pointer devant sa chambre au Centre de rétention de Oissel, non loin de Rouen, le jeune homme était loin de penser qu’il s’apprêtait à vivre un tel calvaire.

Un sans-papier soudanais accuse la police de lui avoir fait subir « une véritable séance de torture »

Devant un agent de police judiciaire, dans une plainte que StreetPress a pu consulter, ce sans-papier soudanais raconte les brimades, les insultes, les coups que lui ont portés les policiers chargés de son expulsion. Des mots crus et rudes, rares dans la bouche de réfugiés, plutôt enclins d’habitude à minimiser les agressions qu’ils subissent : « C’était une véritable séance de torture. » Le membre d’une association de soutien aux réfugiés renchérit : « Quand je l’ai vu, je ne l’ai pas reconnu. Expulsion attendue Le 19 décembre, cela fait plus de 40 jours qu’Ali est enfermé au Centre de rétention. Au dernier jour de rétention, la tentative d’expulsion était donc attendue. . « Ils m’ont enfermé dans une petite pièce dans le noir. . « J’ai perdu connaissance » Ali voit les avions.

Arrêté du 30 mars 2011 pris en application de l'article R. 553-1 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile. Le plus grand centre de rétention de France ouvre près de l'aéroport de Roissy. De conception carcérale, ce centre a une capacité d'accueil de 240 places.

Le plus grand centre de rétention de France ouvre près de l'aéroport de Roissy

La Cimade le qualifie de "camp d'internement pour étrangers". Le Monde | 16.03.2010 à 15h22 • Mis à jour le 16.03.2010 à 20h41 | Par Laetitia Van Eeckhout L'ouverture de ce nouveau CRA, qualifié de "camp d'internement pour étrangers" par la Cimade, une association habilitée à intervenir en rétention, intervient alors que le ministre de l'immigration, Eric Besson, s'apprête à présenter en conseil des ministres un nouveau projet de loi visant "à simplifier" les retours forcés d'étrangers en situation irrégulière.