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Presse

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Du Charivari à Charlie Hebdo, l’histoire mouvementée du dessin de presse. Tollé sur les réseaux sociaux, excuses du Monde, démission de Xavier Gorce… En deux jours, un dessin sur l’inceste qui, en d’autres temps, serait passé inaperçu, est devenu « l’affaire Gorce », posant à nouveau la lancinante question : peut-on rire de tout ?

Du Charivari à Charlie Hebdo, l’histoire mouvementée du dessin de presse

Dans les années 1960-1970, les dessinateurs de Hara Kiri et de Charlie Hebdo répondaient en se moquant de tout et de tout le monde, les morts, les infirmes, les grabataires, les cancéreux, faisaient méthodiquement exploser les tabous, sans se demander si cela blessait quiconque. Pourtant, en 2021, et malgré les odes à la liberté d’expression et les #JeSuisCharlie répétés en boucle, la réponse n’est toujours pas tranchée. La presse est désormais lue majoritairement au format numérique. Plus des deux tiers de la lecture de la presse se fait sur des terminaux numériques, loin devant le format papier.

La presse est désormais lue majoritairement au format numérique

Cela devait arriver un jour. La lecture de la presse se fait désormais majoritairement sur support numérique. Selon une étude OneNext publiée par l’Alliance pour les chiffres de la presse et des médias (ACPM), 82,9 % des Français lisent au moins une marque de presse en version numérique (ordinateur, mobile ou tablette) soit 43,7 millions de personnes. Résultat : la lecture de la presse en numérique représente aujourd'hui plus des deux tiers des lectures des marques de presse (68 %). Le mobile est le support privilégié (45 %) par les lecteurs devant la version papier (32 %), l'ordinateur (14 %) et la tablette (9 %).

La lecture numérique séduit particulièrement les femmes. 91,4% des 15-34 ans optent pour la lecture numérique contre 70 % du reste de la population. « J’ai hurlé » : la révolte des « Forçats de l’info » Comme une onde sur la moquette bleue.

« J’ai hurlé » : la révolte des « Forçats de l’info »

Ce lundi 25 mai 2009, Boris Razon, rédacteur en chef au Monde.fr, perçoit une agitation inhabituelle à travers la paroi vitrée qui sépare son bureau de l’open space où s’activent les journalistes de son équipe. Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, novembre 2020) Dernière mise à jour : décembre 2020 (v. 16.2) Cette affiche prend le parti de la lisibilité plutôt que de l’exhaustivité. Y figurent des médias d’information qui « font l’opinion » et qui dépendent d’intérêts industriels ou financiers, de groupes de presse ou de l’État : • les titres de presse écrite papier à diffusion nationale de type généraliste, économique et politique ; • les titres de la presse quotidienne régionale ; • la télévision nationale (et quelques chaînes de télévision locales) ; • les canaux de radio à portée nationale ; • certains sites d’information en ligne.

Les titres indépendants (comme Le Canard enchaîné) ainsi que la presse dite alternative ne sont pas représentés (1). Enfin, on a limité les liens capitalistiques aux principaux actionnaires (2). Conception : Jérémie FabreDocumentation : Marie Beyer, Jérémie Fabre et Suzy GaidozAdaptation : Guillaume Barou, avec Boris Séméniako et Cécile Marin. Du Moyen-âge à Charlie Hebdo : la caricature, une longue histoire française.

Amp.lepoint. Gender editor : "Il ne s'agit pas d'imposer mais d'impulser !" C’est une première en France.

Gender editor : "Il ne s'agit pas d'imposer mais d'impulser !"

La création d’un poste de "gender editor" dans un journal. Mediapart a décidé de nommer son ancienne responsable du service politique Lénaïg Bredoux comme responsable éditoriale des questions de genre. Un moyen d’après le site de "veiller de manière transversale à ce que le journal soit inclusif dans son traitement éditorial et dans son fonctionnement interne. Twitter.

Twitter. Ces fausses Unes qui font le tour des réseaux sociaux. On connaissait les fake news, aujourd'hui on parle des "fake couvs", c’est à dire des fausses couvertures de magazines et des fausses unes de journaux !

Ces fausses Unes qui font le tour des réseaux sociaux

Depuis la semaine dernière, une fausse couverture de l’hebdomadaire Jeune Afrique circule sur les réseaux sociaux. Elle met en avant la Première dame de RD Congo, Denise Nyakeru Tshisekedi, pour mieux l’attaquer sur une prétendue ancienne relation amoureuse. Le directeur du journal, Marwane Ben Yahmed, ne compte plus ces détournements. Selon lui, cette pratique se développe depuis 4 ou 5 ans. Pays champion : le Gabon. On a vu beaucoup d’exemples de Unes détournés ces derniers temps... Le magazine le plus détourné au monde n'est autre que le Time. Quelques conseils pour ne pas se faire avoir... 1. 2. 3. 4. Pourquoi voit-on se multiplier ces fausses unes ? C’est la force du rapport titre-image. Alors, loin de nous l’idée de donner des mauvaises idées mais n’importe qui peut, en fait, réaliser une fausse une de journal... Le dessin d'actualité. La Charte de la traçabilité de l'information - Alliance Presse. Le constat A de trop nombreuses reprises, des membres de l’Alliance ont remarqué que les règles de base permettant la traçabilité de l’information, à savoir la citation de la source (nommer le média qui a révélé cette information) et le renvoi vers l’article d’origine via un lien externe sur le web, n’étaient pas respectées.

La Charte de la traçabilité de l'information - Alliance Presse

La plupart du temps, cela est dû à l’absence de mode d’emploi partagé dans les rédactions. Les signataires, respectueux du principe de base de l’éthique journalistique que constituent ces deux grands principes (sourcer et renvoyer vers l’article d’origine), ont décidé de respecter les engagements suivants.