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Cognition

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Pyramide de l'apprentissage. Recently, I set up a class session where the class worked in small groups developing visual representations of the key concepts for the day.

Pyramide de l'apprentissage

I checked in with the groups and everyone seemed engaged by the assignment. I asked for a group to volunteer to transfer their visual representation to the dry erase board and together we noted the major aspects of the concept to include. I did not collect the class work. Throughout the class, I found myself sitting or pacing around wondering if they were really learning the concept. I felt so uncomfortable, like I wasn’t teaching. Where should learning occur?

Most of my class sessions are “flipped” this semester. Image from: Here are some measures I am incorporating: Collect some of the in-class work (but not all of it). What ideas do you have? Image from: (43) Cyril Maitre. Zone proximale de développement. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Zone proximale de développement

Diagramme représentant la notion de zone de prochain développement vers laquelle un sujet peut se tourner pour accroître son action sur le monde, grandir, apprendre. La zone proximale de développement (ZPD), aussi traduit par « zone de proche développement » ou « zone de développement prochain » dans les traductions les plus récentes, est un concept issu du travail de Lev Vygotski sur le développement précoce de l’enfant. Cette théorie suggère que les enfants sont aptes à mieux apprendre les problèmes et à s'améliorer davantage autour d'un enfant plus expérimenté, d'un parent ou d'un enseignant, plutôt que d'un enfant à leur niveau cognitif. Cela encourage donc l'apprentissage en milieu scolaire à ce stade de la vie. La zone proximale de développement augmente nettement le potentiel d'un enfant à apprendre plus efficacement[1].

Fondements cognitifs des apprentissages scolaires - Psychologie cognitive expérimentale - Stanislas Dehaene - Collège de France - 06 janvier 2015 09:30. Le cours 2014 a été consacré aux liens qu’entretiennent ou que devraient entretenir les sciences cognitives avec les sciences de l’éducation. Ces liens sont nombreux et réciproques. Comprendre comment l’éducation parvient à transformer le cerveau humain est l’un des grands problèmes ouverts en neurosciences cognitives, qui soulève de nombreuses questions passionnantes : comment les apprentissages scolaires (langues première et seconde, lecture, écriture, mathématiques) s’inscrivent-ils dans les circuits de notre cerveau ?

Quels rôles respectifs jouent l’organisation précoce et la plasticité cérébrale dans ces modifications ? Pourquoi l’espèce humaine est-elle la seule qui parvienne à modifier ses représentations mentales et ses circuits cérébraux par le biais d’un enseignement explicite ? Au cours des trente dernières années, d’importants progrès ont été réalisés dans la compréhension des principes fondamentaux de la plasticité cérébrale et de l’apprentissage. Taxonomie de Bloom. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Taxonomie de Bloom

La roue de la taxonomie de Bloom. La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique. Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. L’individu doit satisfaire les besoins qui sont à la base afin de pouvoir réaliser ceux qui sont au niveau supérieur.

Le plus haut niveau étant le besoin de s’épanouir. Le cerveau à tous les niveaux. Welcome to GoCognitive. Accueil - Mon Cerveau à l'école. Les écrans, le cerveau et... l'enfant. Comprendre, apprendre, mémoriser. Les neurosciences au service de la. Joseph Stordeur, chercheur belge, commence par expliquer la différence, en termes de processus biologiques sous-jacents, entre comprendre, apprendre et mémoriser.

Comprendre, apprendre, mémoriser. Les neurosciences au service de la

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene. L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene

Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Welcome to GoCognitive. L'attention, ça s'apprend ! À propos du cours L'époque actuelle est caractérisée par une abondance de stimulations de toutes sortes et une intensification des échanges et des informations.

L'attention, ça s'apprend !

L'attention, dont la fonction est de sélectionner à chaque instant ce que le cerveau doit traiter en priorité est donc sursollicitée, avec pour conséquences de plus en plus fréquentes des difficultés de concentration et des manques d'attention. Codex des biais cognitifs 2016 at DuckDuckGo.