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Nouveaux enjeux

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Biodiversité et EDD: Les relations de l’homme et de la nature au cours du temps. Pour essayer de rendre compte des rapports homme-nature, il faut identifier au cours de l’histoire des hommes les différentes phases de leur conception de la nature et les actions qui en ont découlé.

Biodiversité et EDD: Les relations de l’homme et de la nature au cours du temps

Une première conception des rapports homme-nature s’inscrit dans la préhistoire jusqu’à l’avènement des monothéismes. La nature semble « aller de soi », elle est considérée comme le cadre spatial dans lequel les hommes, peu nombreux, exercent leurs activités. Résister à la tentation d’une ville sans contact. Pourquoi il faut voir la fragilité comme une force. « Les virus sont une des forces majeures qui façonnent la biosphère »

Omniprésents dans le vivant, tous les virus ne déclenchent pas une pandémie.

« Les virus sont une des forces majeures qui façonnent la biosphère »

Pour l'écologue Franck Courchamp, l'humain favorise lui-même ce genre de catastrophe en appauvrissant les ressources et en dégradant la biodiversité dont les parasites font partie intégrante. « Il faut renoncer aux futurs déjà obsolètes » Ne leur parlez pas de développement durable, ni de RSE.

« Il faut renoncer aux futurs déjà obsolètes »

Enseignants-chercheurs à l'ESC Clermont et membres de l'Origens Media Lab, Emmanuel Bonnet, Diego Landivar et Alexandre Monnin sautent à pieds joints dans l'Anthropocène, et demandent aux entreprises de regarder les choses en face : des pans entiers de nos économies sont obsolètes au regard du monde qui vient, et nous n'avons pas les moyens écologiques de faire advenir une bonne partie des révolutions technologiques annoncées.Une entreprise peut-elle prendre ce constat au sérieux, et agir en conséquence - c'est à dire le plus souvent renoncer, démanteler, désinvestir… pour se rediriger ? Coronavirus : le confinement modifie le mouvement de la terre. Copyright de l’image Getty Tant de gens restent chez eux que la Terre tremble moins Des milliards de personnes dans le monde entier restent chez elles à cause de la pandémie de coronavirus.

Coronavirus : le confinement modifie le mouvement de la terre

Le nombre de confinés est tellement important qu'en en fait cela change la façon dont la Terre se déplace. En raison du confinement, il y a moins de déplacements pour le travail ou les loisirs sur les routes ou par rail, et de nombreuses industries lourdes ont fermé boutique. En fait, nous sommes si nombreux à en faire moins de mouvement que cela a réduit les vibrations de la croûte terrestre. C'est assez étonnant si l'on considère que notre planète pèse six milliards de billions de tonnes. Atelier de lecture théorique. La destruction des écosystèmes par l'humain favorise l'émergence d'épidémies. Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.

La destruction des écosystèmes par l'humain favorise l'émergence d'épidémies

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L’inventaire annuel, c’est maintenant qu’il faut le faire. A la demande de bon sens : « Relançons le plus rapidement possible la production », il faut répondre par un cri : « Surtout pas ! ». La dernière des choses à faire serait de reprendre à l’identique tout ce que nous faisions avant. Il y a peut-être quelque chose d’inconvenant à se projeter dans l’après-crise alors que le personnel de santé est, comme on dit, « sur le front », que des millions de gens perdent leur emploi et que beaucoup de familles endeuillées ne peuvent même pas enterrer leurs morts. Mark Alizart : « Le climato-scepticisme doit se comprendre comme un fait politique, non comme une opinion » (Coup d’état climatique) S’il y a un seul essai à lire en ce moment, c’est bel et bien celui de Mark Alizart : le vif et puissant Coup d’état climatique qui vient de paraître aux PUF.

Mark Alizart : « Le climato-scepticisme doit se comprendre comme un fait politique, non comme une opinion » (Coup d’état climatique)

C’est de loin la réflexion la plus remarquable et tonique qu’on a pu tenir sur les questions climatiques, et en particulier sur la question de l’usage politique du réchauffement climatique. Pour Mark Alizart, ce réchauffement n’est pas une opinion mais un fait politique majeur qui est au cœur d’un carbo-fascisme qui consume nos sociétés. Ecologie et cosmopolitisme : l’enjeu des migrations. Face aux questions soulevées par le phénomène migratoire, l’écologie est souvent en peine de définir une position.

Ecologie et cosmopolitisme : l’enjeu des migrations

Rien ne l’autorise à déterminer la composition du corps social ancré dans un territoire, mais elle peut œuvrer à ce que le « territoire » fournisse la mémoire et la matière à ce que Kwane Appiah nomme un « cosmopolitisme enraciné ». Temps de lecture : 15 minutes.