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Histoire des ordinateurs

Précurseurs[modifier | modifier le code] Premiers outils de calcul[modifier | modifier le code] Depuis des milliers d'années, l'homme a créé, fabriqué et utilisé des outils pour l'aider à calculer : Les premiers pourraient être de simples notations de grandeurs tels que les os d'Ishango, dont l'interprétation est néanmoins toujours très controversée. L'un des premiers outils naturels utilisés par la plupart des premières sociétés furent peut être la main (d'où le système décimal ou le système duodécimal), ainsi que d'autres parties du corps, comme auxiliaires de calcul. Calculateurs analogiques[modifier | modifier le code] Le fragment principal de la machine d'Anticythère : 20 × 20 cm environ. Lorsque les conditions initiales d'un calculateur analogique sont saisies, il n'est plus modifié que par l'action continue de son stimulateur ; manivelle, pendule/poids, roue d'un véhicule, etc.. Un calculateur analogique produit toujours le même résultat pour des conditions initiales identiques. — C.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_ordinateurs

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Ferranti Mark I Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Ferranti Mark 1, également connu sous le nom de Manchester Electronic Computer[1] et donc parfois appelé Manchester Ferranti, était le premier ordinateur électronique généraliste commercialisé du monde. Histoire et spécifications[modifier | modifier le code] Les instructions, comme celles du Manchester Mark I, utilisaient un format à adresse unique dans lequel les opérandes étaient modifiées et déposées dans l'accumulateur. Il y avait environ 50 instructions au total. Les nouveautés d'Archos Archos annonce la création d’une gamme d’appareils dédiés aux plus jeunes. Elle inclura pour son lancement le smartphone et la tablette Archos Junior. Pas de doute pour Archos. Si vous vous demandez s’il est bien raisonnable d’offrir un smartphone ou une tablette à vos enfants, la firme répond par la positive et se propose même de les fournir puisqu’elle annonce aujourd’hui la création d’une gamme dédiée.

La Nasa réinvente les tubes à vide Avant le transistor, ce composant électronique qui a révolutionné le monde, il y avait le tube à vide. Gourmands en énergie, dégageant une forte chaleur, peu fiables et prenant une place considérable, ces tubes ont formé les unités de calcul des premiers ordinateurs et furent à ce titre les précurseurs de l'informatique moderne. Mais cette technologie devenue marginale pourrait revenir sur le devant de la scène grâce à la Nasa. Dans un article publié sur IEEE Spectrum, Jin-Woo Han et Meyya Meyyappan, chercheurs au Centre de recherche Ames de la Nasa, détaillent en effet comment ils ont créé un prototype de transistor utilisant un «canal à vide». Un tube à vide traditionnel est conceptuellement proche d'un transistor (mot-valise de transfer resistor, résistance de transfert), notamment d'un Mosfet (transistor à effet de champ à grille métal-oxyde). Une réinvention grâce aux nanotechnologies

Le modèle d’architecture de von Neumann Le tableau de ce qu’en 1945 on n’appelait pas encore l’informatique présente un paysage contrasté. D’un côté, la notion de calcul effectif a trouvé un cadre rigoureux grâce aux avancées d’une discipline nouvelle née dans les années 1930, la méta-mathématique. Le lambda-calcul du mathématicien Alonzo Church et la machine universelle (abstraite) d’Alan Turing, schémas dont Turing a montré l’équivalence, sont proposés en 1936 comme base de définition de l’algorithme, pièce maîtresse du processus calculatoire. D’un autre côté, plusieurs tentatives indépendantes visent à construire des machines électroniques ou électro-mécaniques capables d’exécuter des calculs complexes à grande vitesse. Les précurseurs en sont John Atanasoff en 1938 aux États-Unis et Konrad Zuse en 1941 en Allemagne. À gauche, John W.

sans titre Au cours des dernières années, l’intelligence artificielle (IA) a connu un essor considérable. Les chercheurs ont développé de nouveaux algorithmes d’apprentissage automatique, tout en perfectionnant des techniques comme celle des réseaux de neurones artificiels. Mais pour beaucoup d’experts, le but ultime à atteindre est une IA qui se créerait elle-même, sans aucune intervention humaine dans son processus d’évolution. Et même si nous en sommes aujourd’hui encore loin, les bases technologiques d’un tel objectif commencent déjà à être posées. UNIVAC I Une démonstration de l'UNIVAC I L'UNIVAC I (UNIVersal Automatic Computer I) est le premier ordinateur commercial réalisé aux États-Unis. Il a été créé par J. Presper Eckert et John Mauchly, déjà à l'origine de l'ENIAC. Avant que d'autres machines ne sortent dans la même série, l'UNIVAC I était tout simplement appelé UNIVAC.

Vous ne comprenez rien à la blockchain ? On vous explique C’est un peu comme l’histoire du Viagra. Les laboratoires Pfizer voulaient fabriquer un médicament contre l’angine de poitrine. Et ils se sont aperçus par hasard que leur remède avait de tout autres vertus, bien plus attrayantes. La blockchain, de même, a été inventée en 2008 par un génie anonyme qui a conçu une monnaie virtuelle, le bitcoin. Celle-ci reste d’un usage confidentiel. Mais la technologie qui permet son fonctionnement, elle, est immensément prometteuse. MICRAL N Dans une jeune entreprise de la banlieue parisienne, la société R2E (Réalisations Études électroniques), dirigée par André Truong, le Français François Gernelle construit, autour du microprocesseur Intel 8008, un petit ordinateur, en réponse à un appel d'offres de l'Institut national de la recherche agronomique. Deux brevets mondiaux sont déposés en 1973 par cette société. R2E commercialise la machine sous le nom de Micral (puis Micral N), au prix public de 8 500 francs. Cinq cents commandes sont enregistrées en un an, essentiellement un marché de calculateurs industriels où le Micral, robuste et fiable, remplace un mini-ordinateur pour un cinquième du prix.

Des machines enfin intelligentes ? L’homme sait L’ordinateur ne sait rien Comment est-il possible que d’un ensemble de messages physico-chimiques, aussi aveugles que les zéros et 1 en informatique, émerge une conscience ? Nous sommes conscients de nous-même, c’est le moi, et conscients d’être conscients. Nous savons que nous savons ce que nous savons. Le greenwashing ou écoblanchiment, mais qu'est-ce que c'est au fait ? Le « greenwashing », en français : écoblanchiment, est une technique usurpant la créativité publicitaire pour exprimer, suggérer ou même dire n'importe quoi, sous couvert de responsabilité écologique ou de développement durable, et cela, depuis trop longtemps déjà… Avec cette manie de nommer les choses avec des mots empruntés au lexique d'une autre langue ! Déroutés sommes-nous, assurément !

Microsoft : l’étonnant réveil du mammouth Historique ! Le premier PC portable de Microsoft - le Surface Book - débarque en France ce vendredi. Tout un symbole pour la firme de Redmond qui, menacée par Google, Amazon et Apple, trouve enfin l'inspiration pour se réinventer. Enquête. Dans le bâtiment 43 du campus géant de Microsoft, les spécialistes du cloud ont cédé la place aux ouvriers. Dans cet immeuble de briques, on abat tous les murs. Obsolescence Programmée - concepts, exemples et actualités Quelques hommes et femmes qui ont pensé, étudié ou dénoncé l’obsolescence programmée et les modèles qui s’y rattachent… 1925 : Stuart Chase anticipe son époque avec « La Tragédie des déchets »Economiste et ingénieur américain formé au MIT, Stuart Chase fut conseiller du président Roosevelt et père du concept de New Deal. Il fût également visionnaire en décrivant dès 1925, dans son livre « La Tragédie des déchets », l’obsolescence programmée, la publicité trompeuse et la toute puissante consommation qui symboliseront le 20ème siècle.

Il faut aller sur le lien en bas a gauche. by nathanguigand Feb 1

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