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Facebook veut vassaliser la presse en accueillant ses contenus. Le réseau social compte héberger directement sur son site les contenus des médias et se confondre avec l'Internet.

Facebook veut vassaliser la presse en accueillant ses contenus

Facebook est en négociation avec une douzaine de grands sites d’infos pour héberger leurs contenus directement sur son site, révèle le New York Times. Des titres aussi importants que le New York Times, le Guardian, BuzzFeed et National Geographic sont concernés par le deal, qui pourrait aboutir concrètement dans les prochains mois. Facebook testerait ainsi un nouveau format de publication sur son site, avec des articles écrits par des rédactions tierces. En échange du contenu, le réseau social proposerait aux sites d’info une part des recettes publicitaires générés par la publication.

Un échange classique de bons procédés, comme le pratique par exemple YouTube et les maisons de disques. Facebook veut se confondre avec le web. Stickier News: What Newspapers Don't Know about Web Traffic Has Hurt Them Badly – But There is a Better Way. A new paper by Matthew Hindman, Joan Shorenstein Fellow (Fall 2014) and Associate Professor in the School of Media and Public Affairs at The George Washington University, examines why local newspapers are falling behind in online audience growth and how they can fix the problem.

Stickier News: What Newspapers Don't Know about Web Traffic Has Hurt Them Badly – But There is a Better Way

Hindman’s research finds that although national news websites have robust traffic, traditional local newspapers are severely behind in adopting the technology and digital content practices needed to retain and grow audiences. Knight Foundation April 2015. Les cinq paradoxes d’une presse qui se meurt. The Business Model That Will 'Save' Journalism. Les cinq étapes du déni — Welcome to TheFamily. La transition numérique affecte moins les entreprises que les filières.

Les cinq étapes du déni — Welcome to TheFamily

Une filière, rappelons-le, est un ensemble d’entreprises qui travaillent ensemble tout au long d’une chaîne de valeur. Offrez-vous un Owni. Des milliers de témoignages de réconfort et de soutien, et beaucoup évoquant le souhait de participer financièrement. Il nous reste à déterminer si cette somme de bonnes intentions peut effectivement transformer notre modèle économique et faire vivre le média. Depuis lundi, Owni a baissé le rideau pour offrir à ses lecteurs un espace d’échanges autour de la situation financière et de l’avenir du média. Cet échange a lieu via Twitter (#ownioupas), au travers de vos mails sur demain@owni.fr (merci à tous, nous vous répondons personnellement et individuellement), ou encore grâce à votre participation au wiki que nous avons mis en place pour vous faire participer à nos réflexions. ‘Content is king’ again: why Bill Gates may be right after all. For many of us working in the content industries, the last few years have been challenging, with layoffs in old companies, shrinking online ad rates in the new and tech investors who would rather back “platforms” than “media”.

‘Content is king’ again: why Bill Gates may be right after all

But I think we may be back, baby. After only a few hours at the Monaco Media Forum this week, I was struck by the enthusiasm displayed around a clutch of companies — especially those like BuzzFeed, Vox Media, Buzz Media, Thrillist and Tumblr — that suggests, just as Bill Gates said 16 years ago, content is the next hot business model again. « Quelles stratégies de survie pour les pure-player français ? » Compte-Rendu Master Class de Sciences Po. Compte rendu Ecole De Journalisme de Sciences Po: « Quelles stratégies de survie pour les pure-player français ?

« Quelles stratégies de survie pour les pure-player français ? » Compte-Rendu Master Class de Sciences Po

Sites d'infos : et maintenant, qui va payer ? 5, 10, 30, voire 50 millions de visites par mois.

Sites d'infos : et maintenant, qui va payer ?

Si l'info en ligne a gagné le pari de la popularité et de la consommation de masse, il lui reste le plus dur, et peut-être le plus urgent, à relever : la monétisation. « On n’a plus le temps... », par Serge Halimi. Ceux qui se désolent du manque d’attention à leur cause, à leur activité, se voient souvent opposer la même explication : « On n’a plus le temps. » On n’a plus le temps de se plonger dans un livre « trop long », de flâner dans une rue ou dans un musée, de regarder un film de plus de quatre-vingt-dix minutes.

« On n’a plus le temps... », par Serge Halimi

Ni celui de lire un article abordant autre chose qu’un sujet familier. Ni de militer ni de faire quoi que ce soit sans être aussitôt interrompu, partout, par un appel qui requiert d’urgence son attention ailleurs. Pour une part, ce manque de temps découle de l’apparition de technologies qui ont permis de… gagner du temps : la vitesse des déplacements s’est accrue, celle des recherches, des transmissions d’informations ou de correspondances aussi, souvent à un coût modeste ou dérisoire. Les infomédiaires vous donnent rendez-vous. Nikos Smyrnaios est maître de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication à l’université de Toulouse 3, où il travaille dans le Laboratoire d’études et de recherches appliquées en sciences sociales (Lerass).

Les infomédiaires vous donnent rendez-vous

Sa thèse en 2005 portait sur les modèles de l’information en ligne. La Dépêche se lance aussi dans la course au payant. Newsonomics - How the emerging business of digital news shapes what we read and know. Fini les journaux gratuits sur le web? Taxe Google 09-2012.