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Actualité articles 2 : Les trous noirs

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Les trous noirs sont-ils à l'origine de nouveaux Univers ? Une série d'Univers connectés par des trous de vers.

Les trous noirs sont-ils à l'origine de nouveaux Univers ?

Les trous noirs sont-ils à l'origine de nouveaux Univers ? - 4 Photos La physique et la cosmologie du XXième siècle ont été dominées par deux théories cadres importantes : la théorie de la relativité générale d’Einstein et la mécanique quantique. Malheureusement, ces deux théories décrivant l’une l’infiniment grand et l’autre l’infiniment petit entrent en contradiction lorsqu’on cherche à les appliquer simultanément dans deux situations où elles doivent intervenir : l’intérieur d’un trou noir et le début de l’Univers.

Dans les deux cas on considère des régions de l’espace plus petites qu’une particule élémentaire et avec une courbure de l’espace-temps colossale. Ses travaux de cosmologie quantique montraient en effet qu’une forme simplifiée et résolvable des équations de la LQG éliminait effectivement la singularité initiale du Big Bang. Un espace-temps qui ne serait pas continu Crédit : Universe review. Des astronomes ont vu en direct un trou noir supermassif avaler une étoile. Selon les scientifiques, une telle orgie stellaire ne survient en moyenne qu'une fois tous les 10 000 ans dans une galaxie donnée.

Des astronomes ont vu en direct un trou noir supermassif avaler une étoile

"Les trous noirs sont un peu comme les requins, on considère à tort que ce sont de perpétuelles machines à tuer. En réalité, ils restent calmes durant la majeure partie de leur vie. Mais occasionnellement, une étoile s'aventure trop près, et c'est là que la frénésie carnassière se déclenche", explique Ryan Chornock, du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian, co-auteur de l'étude publiée mercredi dans la revue Nature. Une 2e étoile près du trou noir supermassif de la Voie Lactée.

Édité par: Manon Le Boulengé 4/10/12 - 22h33 Source: belga.be Illustration Des astronomes américains ont découvert l'existence d'une nouvelle étoile gravitant autour du trou noir supermassif au coeur de notre galaxie, la plus proche jamais observée à proximité de ce corps qui empêche toute matière de s'échapper, ont indiqué ces chercheurs jeudi.

Une 2e étoile près du trou noir supermassif de la Voie Lactée

Les scientifiques de l'université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont expliqué que leur découverte les aiderait à tester la théorie de la relativité d'Einstein et ses hypothèses au sujet de ces trous noirs, dont le champ gravitationnel est hyper intense. Cette étoile, S0-102, parcourt l'orbite de ce trou noir situé au centre de la Voie Lactée en 11 ans et demi, contrairement aux 60 ans ou plus qu'il faut à la plupart des autres étoiles pour faire de même, précise l'étude des astronomes qui sera publiée dans le numéro de vendredi du magazine Science. Des graines de trous noirs supermassifs dans la Voie lactée ? La voûte céleste, telle que la verrait un observateur situé près d'un hypothétique trou noir devant le centre de notre galaxie.

Des graines de trous noirs supermassifs dans la Voie lactée ?

À cause de la déflexion de la lumière passant près du trou noir, l'image de la Voie lactée n'est plus rectiligne, de plus les principales constellations sont très déformées. On peut tout de même reconnaître le Sagittaire et le Scorpion, en haut à gauche, et Alpha et Bêta du Centaure, en bas à droite. À la lumière des trous noirs. Les trous noirs fascinent tant les amateurs de science-fiction que les scientifiques. Leur notoriété auprès du grand public n’est plus à démontrer, contrairement à leur mécanisme encore mal maîtrisé. Mystérieux et quelque peu effrayants pour les uns, ils se révèlent attrayants pour les autres. Ces monstres du bestiaire astronomique recèlent en effet des informations que les astrophysiciens rêvent de déchiffrer à l’aide d’instruments très performants. En juin dernier, la Nasa a d’ailleurs lancé le satellite Nustar (Nuclear Spectroscopic Telescope Array) conçu pour observer quelques-uns des phénomènes les plus violents de l’espace.

Les trous noirs ne sont pas tendres avec les étoiles, planètes, nuages et tout autre objet ayant le malheur de s’en approcher. David Elbaz, astrophysicien au Commissariat à l’énergie atomique (CEA), se dit particulièrement intéressé par les trous noirs supermassifs et il n’est pas le seul dans la communauté scientifique. . « « , assure-t-il. Source lalibre.be. Trous noirs intermédiaires : un nouveau modèle de formation. À l'image, le grand astrophysicien théoricien Chandrasekhar, vers l'âge de 72 ans.

Trous noirs intermédiaires : un nouveau modèle de formation

Grand spécialiste de la théorie des trous noirs, il a reçu le prix Nobel de physique en 1982 pour, notamment, ses contributions à ce domaine. © AIP Trous noirs intermédiaires : un nouveau modèle de formation - 2 Photos Découvrez notre dossier sur les trous noirs Subrahmanyan Chandrasekhar et Robert Oppenheimer ont été les premiers à comprendre qu’il existait une masse limite pour une étoile ayant épuisé son carburant thermonucléaire, au-delà de laquelle elle devait s’effondrer pour former ce que l’on appelle désormais un trou noir. Ces objets nous sont familiers aujourd’hui mais on a peine à croire qu’entre les travaux de ces chercheurs, dans les années 1930, et ceux de Wheeler, Penrose et Hawking, à la fin des années 1960, ils ont été considérés comme des spéculations stériles, voire pseudoscientifiques.

Ces corps intermédiaires finiraient bien sûr un jour par être avalés par le trou noir supermassif. Des trous noirs supermassifs... nomades ! Cette image d'un champ de galaxies a été prise à l'aide du télescope CFHT dans le visible.

Des trous noirs supermassifs... nomades !

Sur la droite, des zooms montrent dans le domaine des rayons X et dans le visible la galaxie contenant CID-42. © Rayon X : Nasa/CXC/SAO/F. Civano et al. ; visible : CFHT, Nasa/STScI Des trous noirs supermassifs... nomades ! - 2 Photos Découvrez notre dossier sur les trous noirs Arthur Eddington et Albert Einstein pensaient que l’effondrement gravitationnel d’une étoile devait forcément s’arrêter avant d’atteindre une singularité de densité infinie. En langage moderne, Einstein et Eddington pensaient que des trous noirs ne pouvaient pas se former dans l’univers et qu’il s’agissait de simples curiosités mathématiques des équations de la relativité générale, sans application physique au cosmos observable. Le rayon d'un trou noir mesuré pour la première fois.

Une équipe du Massachusetts Institute of Technology (MIT) a pu mesurer l'horizon d'un trou noir, c'est à dire la limite en dessous de laquelle la matière qu'il attire ne peut plus faire demi-tour.

Le rayon d'un trou noir mesuré pour la première fois

Les chercheurs étudiaient à la base les jets de particules qui se produisent quand la matière s’agglomère à la périphérie des trous noirs. Si l’on peut estimer la masse d’un trou noir, mesurer sa taille est bien plus compliqué. Rien que de savoir où commencent ses limites pose problème. Alors qu’ils cherchaient à étudier un autre phénomène lié aux trous noirs, une équipe de chercheurs formée autour du Massachusetts Institute of Technology (MIT) a proposé une solution pour remédier à cette difficulté : mesurer l’horizon des trous noirs.

Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter. L'importance des trous noirs en tant que source de chaleur du cosmos. Jusqu'à présent, les astrophysiciens pensaient que les trous noirs super-massifs ne pouvaient influencer que leur environnement immédiat.

L'importance des trous noirs en tant que source de chaleur du cosmos

Une équipe internationale - formée de chercheurs allemands, canadiens et américains - a découvert que les gaz (Un gaz est un ensemble d'atomes ou de molécules très faiblement liés et quasi-indépendants. Dans l’état gazeux, la matière n'a pas de forme propre ni de volume propre : un...) diffus dans l'univers (L'Univers est l'ensemble de tout ce qui existe et les lois qui le régissent.) pouvaient "absorber" les rayons gamma émis par les trous noirs augmentant ainsi très significativement la température (La température est une grandeur physique mesurée à l'aide d'un thermomètre et étudiée en thermométrie.

Dans la vie courante, elle est reliée aux sensations de froid et de chaud, provenant du transfert de...) de ces gaz. Les trous noirs galactiques pourraie... La galaxie du Sombrero, NGC 4594, a été la troisième où l'étude des mouvements des étoiles centrales a conduit à la mise en évidence d'un trou noir central.

Les trous noirs galactiques pourraie...

Ce n'est pas une galaxie elliptique. Crédit : Nasa Les trous noirs galactiques pourraient se nourrir d'amas globulaires - 2 Photos L’immense majorité des galaxies de l’univers observable possèdent en leur cœur un trou noir supermassif dont la masse va de quelques millions à quelques milliards de masses solaires. Si ces trous noirs géants permettent de résoudre l’énigme de la nature des quasars, c’est pour en poser une nouvelle : celle de leur origine. Les deux plus gros trous noirs jamais observés. Deux trous noirs ayant une masse équivalente à près de dix milliards de fois celle du Soleil viennent d’être découverts au sein de deux galaxies géantes.

Les deux plus gros trous noirs jamais observés

Situés à plusieurs centaines de millions d'années-lumière de la Terre, il s’agit d’un record absolu. Selon une étude publiée hier dans Nature, les deux trous noirs les plus massifs jamais observés viennent d’être découverts. Jusqu'alors, le record était détenu par le trou noir de 6,3 milliards de masses solaires situé au centre de la galaxie spirale M 87. Bien qu’il s’agisse d'une voisine de la nôtre, la Voie Lactée, M 87 se trouve tout de même à plus de 53 millions d'années-lumière (une année-lumière équivalant 9.460 milliards de kilomètres) de la Terre. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter.

Trou noir : un immense tourbillon de matière filmé par Hubble. Grâce à des données de Hubble, des physiciens ont pu créer des vidéos d'un tourbillon de matière à l'entrée d'un trou noir supermassif. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Le trou noir de notre galaxie sur le point d'exploser. Rien n'est plus tranquille que l'étendue de la Voie Lactée flottant dans le ciel d'une nuit d'été.

Enfin, c'est ce que vous pensez ! En réalité, le centre de notre galaxie est un chaos d'étoiles et de débris qui tournent autour d'un immense trou noir qui fait 4 millions de fois la masse du soleil. Et les choses ne sont pas prêtes de se calmer. Des astronomes ont découvert qu'une boule de gaz, appelée G2, s'est égarée et se dirige actuellement vers le trou noir. Ce gaz avance très vite. Le trou noir central a beau être immense, il reste mille fois trop petit pour être observé avec le télescope spatial Hubble. D'ici deux ans, le réseau de l'Event Horizon Telescope augmentera donc considérablement ses capacités d'observation. L'évaporation des trous noirs. Après la période de disparition des galaxies et des amas, le phénomène le plus marquant dans le futur de l’Univers sera l’évaporation des trous noirs. La relativité générale décrit les trous noirs comme des corps auxquels rien ne peut échapper, ni la matière, ni la lumière, ce qui implique que leur masse ne peut qu’augmenter avec le temps.

Cependant, dans les années 1970, l’astrophysicien britannique Stephen Hawking montra que cette vision n’est pas correcte. Au contraire, un processus quantique qui met en jeu les particules virtuelles peut très bien faire diminuer la masse d’un trou noir. Trou noir (1/2) : le monde est-il un hologramme ? Représentation d'artiste de la conjecture de Maldacena, encore appelée correspondance AdS/CFT. Elle relie la théorie des cordes dans un espace-temps anti-de Sitter à cinq dimensions (plus cinq autres dimensions spatiales supplémentaires compactifiées, par exemple sous forme de sphère) possédant une frontière spatiale plate.

Trou noir (2/2) : le monde est-il un hologramme ? Thèse : Quelques propriétés du trou noir (thèse)