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Histoire et analyse d'images et oeuvres. Vidéo Le travail des femmes au XIXe siècle Contexte historique Si le thème du travail dans la peinture est courant en Hollande, et ce depuis le XVIIe siècle, ce n’est pas le cas en France, où l’on a longtemps jugé ce sujet indigne.

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Boucher et Fragonard ont, certes, peint des lavandières au XVIIIe siècle, mais ce n’était là qu’un prétexte pour montrer des scènes galantes et des paysages oniriques.Millet est un des premiers, au milieu du XIXe siècle, à décrire sans détour des scènes de labeur, en l’occurrence celles de paysans ; il ouvrait ainsi la voie à l’exploration d’un thème dans lequel s’inscrivent ces quatre toiles conjuguées au féminin. Analyse des images Au-delà de ce premier point, force est de constater que le traitement varie d’une œuvre à l’autre. Chez Daumier comme chez Delachaux, il se dégage des personnages une impression de noblesse.

Au contraire, La Blanchisseuse suggère clairement la difficulté de la tâche accomplie jour après jour. Interprétation Bibliographie Liens. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Le moulin de la Galette qui donne son titre à ces deux toiles se situait sur la butte Montmartre (annexée à Paris en 1860), à côté du moulin qui existe encore aujourd’hui et auquel il doit son nom.

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De nombreux moulins à vent rythmaient la vie sur la Butte depuis le Moyen Age. Sorte de grand hangar, le moulin de la Galette était une de ces nombreuses guinguettes, qui prennent leur essor à mesure que se développent l'industrie du spectacle et l'ère des loisirs, et où l’on pouvait danser le dimanche, à partir de 15 heures et ce jusqu’à la nuit, en mangeant des galettes. L’ambiance joyeuse de liberté et de plaisir attirait alors la bohème et les artistes qui y trouvaient des modèles non professionnels, le menu peuple qui aimait s’y divertir, mais aussi des bourgeois venus s’encanailler. Les deux toiles de Renoir et Van Dongen ont été peintes à trente ans d’intervalle, et l’ambiance est très différente de l’une à l’autre. La toile de Renoir adopte délibérément un point de vue positif. La fascination pour le Cambodge au début du XXe siècle. BOIS G., « Le sculpteur Rodin et les danseuses cambodgiennes en France », L’Illustration , 28 juillet 1906.BOIS G., Les danseuses cambodgiennes en France, Hanoï, 1913.BUTLER Ruth, Rodin : la solitude du génie , Paris, Gallimard / musée Rodin, 1998.

La fascination pour le Cambodge au début du XXe siècle

Trad. de l’anglais par Dennis Collins. Première édition Rodin : The Shape of Genius, Londres, Yale University Press, 1993.COLLECTIF, « Au temps des colonies », hors-série les collections de L’Histoire, n° 11, juin 2001.GIRARDET Raoul, L’idée coloniale en France de 1871 à 1962, Paris, La Table Ronde, 1972 (rééd. Paris, Hachette, coll. « Pluriel », 1978).JUDRIN Claudie, Inventaire des dessins. IV, Paris, musée Rodin, 1984-1992. Claudie JUDRIN, « La fascination pour le Cambodge au début du XXe siècle », Histoire par l'image [en ligne], consulté le 14 septembre 2020. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Contexte historique Montmartre, cœur des années folles Deux places mythiques de la nuit parisienne ponctuent le boulevard de Clichy, qui sert de déambulatoire à la butte Montmartre : la place Blanche, chantée par Jacques Dutronc et dominée depuis 1889 par les ailes du Moulin-Rouge ; et la place Pigalle, non moins sulfureuse et peuplée de cabarets.

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Le Pigall’s, au numéro 7, y a succédé au Rat Mort, ancien café de la bohème fréquenté notamment par Degas, Manet ou Courbet. La baraque de la Goulue et le bal Bullier. Contexte historique L’essor des spectacles dans le Paris de la Belle Époque Sous l’impulsion du baron Haussmann, Paris se transforme en profondeur au cours de la seconde moitié du XIXe siècle.

La baraque de la Goulue et le bal Bullier

La « Ville lumière » brille autant par l’éclat de ses monuments que par les feux de ses mouvements artistiques, qui attirent les créateurs du monde entier. La variété des spectacles qui font la « nuit parisienne » élargit encore l’aura de la capitale. Cabarets des chansonniers, cafés-concerts, premières revues et bals populaires (grandes salles d’hiver ou jardins d’été) accueillent la bourgeoisie comme les classes populaires. Le bal Bullier, construit en 1847 avenue du Montparnasse, à l’emplacement de l’actuelle Closerie des Lilas, a été pendant un demi-siècle le plus grand bal de Paris. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Représentations de la danseuse à la barre à la fin du XIXe siècle. Contexte historique Indispensable pour s’échauffer, pour apprendre le bon placement du corps et pour faire travailler correctement les muscles dans les positions qui seront ensuite reprises pour les exercices au milieu de la salle, le travail à la barre constitue une partie fondamentale de l’apprentissage et de l’entraînement quotidien de la danse.

Représentations de la danseuse à la barre à la fin du XIXe siècle

La barre est également utile pour les exercices d’étirement qui servent à développer la souplesse des muscles du dos en effectuant des cambrés et à travailler la hauteur des jambes et l’« en-dehors », c’est-à-dire la capacité d’ouverture des jambes à partir des hanches. L’angle qu’elles doivent pouvoir former passe de 90 degrés aux XVIIe et XVIIIe siècles à 180 degrés au XIXe siècle, à la suite d’un renouvellement esthétique et technique de la danse. Déjà en 1854, Eugène Delacroix recommande aux artistes le recours aux modèles photographiés au lieu des longues et coûteuses séances de pose. Degas sculpteur et le réalisme audacieux de la Petite danseuse de 14 ans. Contexte historique Mieux connu par son œuvre de dessinateur et de peintre, Degas est aussi un sculpteur prolifique : à sa mort, en 1917, il laisse dans son atelier 150 sculptures en cire ou en terre.

Degas sculpteur et le réalisme audacieux de la Petite danseuse de 14 ans

Sans craindre ni le poids ni la fixité de la matière, Degas réussit à représenter le mouvement avec la même facilité dont il fait preuve dans ses peintures et ses pastels. Même les figures statiques révèlent une propension au mouvement : les corps des modèles représentés sont parcourus par une tension qui les étire, les courbe, les soutient dans des poses souvent difficiles à maintenir longtemps. Degas et la célébration de la danse féminine à l'Opéra. Contexte historique « Peintre des danseuses » : ainsi Manet définit-il Degas dans une lettre adressée à Fantin-Latour en 1868, anticipant d’une dizaine d’années le jugement des critiques ; ainsi est-il encore connu aujourd’hui en raison du grand nombre d’œuvres qu’il a consacrées à ce sujet de 1860 jusqu’aux années 1890.

Degas et la célébration de la danse féminine à l'Opéra

Degas ne partage pourtant pas, à l’égard des danseuses, l’admiration intéressée de la plupart des habitués de l’Opéra, notamment des riches abonnés. Si le peintre insiste auprès de l’administration du théâtre pour obtenir l’abonnement annuel à trois soirées hebdomadaires, partageant les frais – et la place – avec des amis, et s’il se réserve le très convoité droit d’accès aux coulisses et au foyer de la danse, ce n’est pas pour des aventures galantes. Degas est fasciné par le monde des danseuses et le représente tel qu’il est, sans tomber dans le voyeurisme ou dans les préjugés qu’il suscite dans la société de son temps. Degas et la vie quotidienne des danseuses de l'Opéra. Contexte historique À partir de la fin des années 1860, Degas suit les danseuses pendant les classes et les entraînements réguliers, près des feux de la rampe et même dans les coulisses, assistant non seulement à leur travail, mais aussi à leur repos.

Degas et la vie quotidienne des danseuses de l'Opéra

Dans ses études au pastel et à la cire, il approfondit ses recherches sur leurs mouvements, privilégiant les lieux où, comme les salles de répétition et les loges, il peut observer leur vie quotidienne. En dépit de l’intimité des instants qu’il saisit, le regard de Degas n’est jamais indiscret ; il s’emploie inlassablement à reproduire fidèlement les gestes qui sont parfois révélateurs de la psychologie des danseuses. Dès les années 1890, l’artiste se concentre sur la figure de la danseuse en elle-même, sans se soucier de l’insérer dans un espace reconnaissable. Il s’agit souvent de danseuses dans les coulisses, sans aucun détail qui permette d’identifier les ballets. De la classe à la scène, le ballet de l'Opéra de Paris vu par Edgar Degas. Lieu incontournable de la vie culturelle et mondaine de la bonne société parisienne, le théâtre de l’Opéra a successivement occupé trois salles au cours du XIXe siècle.

De la classe à la scène, le ballet de l'Opéra de Paris vu par Edgar Degas

L’Opéra de la rue de Richelieu (salle Montansier), inauguré en 1793, est démoli à la suite de l’assassinat du duc de Berry, poignardé par Louis Pierre Louvel à la sortie du théâtre le 13 février 1820. Une nouvelle salle est inaugurée le 19 août 1821 : il s’agit de l’Opéra de la rue Le Peletier, théâtre provisoire qui sera pourtant actif pendant un demi-siècle, jusqu’à sa destruction par un incendie dans la nuit du 28 au 29 octobre 1873. Quinze ans auparavant, alors qu’il se rendait au théâtre le 14 janvier 1858, Napoléon III échappe miraculeusement à la mort lors d’un attentat préparé par le patriote Felice Orsini pour plaider la cause de l’indépendance italienne. Cet événement tragique (l’attentat fait huit morts et cent cinquante blessés) pousse Napoléon III à annoncer la construction d’un nouveau théâtre. Splendeurs et misères d’une courtisane : Émilienne d’Alençon.

Contexte historique La photographie au service d’une cocotte de haut vol Contrairement aux hétaïres grecques, les courtisanes de la Belle Époque n’ont pas besoin d’être cultivées et raffinées pour accéder au rang de cocottes de haut vol : tel est le cas d’Émilienne d’Alençon, qui s’affirme dans le demi-monde parisien grâce à sa beauté et à la notoriété que lui apportent ses amants illustres et le recours à la photographie, qui diffuse son effigie à l’échelle internationale. Née Émilie André, à Paris, le 18 juillet 1869, fille d’une concierge de la rue des Martyrs, la future Émilienne d’Alençon reçoit son pseudonyme de la prostituée Laure de Chiffreville, qui lui prédit une brillante carrière. Lancée par l’« intrépide vide-bouteilles » Charles Desteuque, chroniqueur du Gil Blas, Émilienne se produit comme dresseuse de lapins au Cirque d’Été et fréquente les lieux favoris du demi-monde parisien : le bois de Boulogne, Chez Maxim’s, les théâtres.

Loïe Fuller, incarnation du Symbolisme sur la scène. Contexte historique La « fée électricité » de la Belle Époque Le mythe de Paris « Ville lumière » est indissociable de la « fée électricité » Loïe Fuller, artiste emblématique du climat d’enthousiasme pour le progrès scientifique, technologique et social qui marque la Belle Époque et que célèbre le ballet Excelsior (1881) de Marenco et Manzotti. Née dans un village de l’Illinois en 1862, Mary Louise Fuller, dite Loïe, débute dans le théâtre amateur à l’âge de quatre ans ; à seize ans, elle anime une troupe ambulante avant d’intégrer une troupe à New York.

En 1889, Loïe Fuller émigre à Londres ; en 1892 elle débute à Paris, où elle s’installe avec sa mère Dalilah. Isadora Duncan entre hellénisme et modernité. Contexte historique Renouveler la danse en puisant à ses sources C’est à Paris, vitrine de toutes les avant-gardes, que se forge le mythe d’Isadora Duncan, chef de file de la danse libre, fondée sur des mouvements naturels et sur des vêtements mieux adaptés aux gestes et au corps des danseurs. Née à San Francisco en 1877, cadette de quatre enfants, Isadora connaît très jeune la misère et l’injustice sociale. Éduquée par sa mère, pianiste de talent sacrifiée au foyer familial, à la liberté et à l’amour pour la nature et pour les arts, Isadora montre un talent précoce pour la danse, mais elle refuse d’apprendre la danse académique et de se plier au joug des pointes, des corsets et des collants qui sont le quotidien des danseuses célébrées par Degas (voir De la classe à la scène, le ballet de l'Opéra de Paris vu par Edgar Degas).

Adulte, Isadora poursuit sa quête du naturel et du spontané dans l’art à des fins bientôt pédagogiques autant qu’artistiques. Cléo de Mérode, une icône entre Romantisme et Symbolisme. Une icône de beauté angélique À la Belle Époque, sous l’influence du décadentisme et du symbolisme, hédonisme et spiritualité se côtoient : littérature, spectacle vivant et arts figuratifs reprennent le thème romantique de la femme comme idole de beauté tantôt angélique, tantôt diabolique. Il confine alors à l’obsession, et les exemples de femmes fatales se multiplient : un des personnages favoris est celui de Salomé, à qui Oscar Wilde consacre le drame éponyme illustré par Aubrey Beardsley. À cette image sulfureuse correspondent « les trois Grâces de la Belle Époque », les artistes et demi-mondaines Liane de Pougy, Émilienne d’Alençon et la belle Otero, tandis que l’idéal angélique est incarné par Cléo de Mérode, icône d’une beauté sans fard ni ombres, qu’elle entretient et défend à tout prix.

Plongée dans la vie mondaine, Cléo préserve néanmoins sa vie privée et ses amours, beaucoup moins nombreuses que celles que les rumeurs lui attribuent. L’art de devenir un chef-d'œuvre vivant. La Belle Otero, emblème de la Belle Époque. Contexte historique Le soleil d’Espagne dans les théâtres parisiens La fièvre de l’exotisme parcourt l’Europe pendant tout le XIXe siècle, influençant la littérature, les arts figuratifs et décoratifs, la musique et les arts du spectacle ; en particulier, le charme de pays plus ou moins lointains agrémente les opéras, les ballets et autres formes de divertissement. Parmi les pays « exotiques », l’Espagne exerce un très fort pouvoir d’attraction, notamment sous le Second Empire, grâce à la belle Eugénie de Montijo, épouse de Napoléon III et animatrice de la « fête impériale » ; sa proximité avec la France favorise, en outre, le passage à Paris de nombreux artistes en quête de célébrité.

Marie Taglioni et l'apogée du ballet romantique. Marie Taglioni est l’une des personnalités les plus marquantes de l’histoire de la danse et le symbole par excellence du ballet romantique ; son influence dépasse les limites de la vie théâtrale et artistique de la première moitié du XIXe siècle pour atteindre la vie culturelle et même la mode de son époque.

Cécile Sorel, de la Comédie-Française au couvent, en passant par le music-hall et le cinéma. Contexte historique Le portrait photographique au service d’une grande artiste. Marie-Madeleine Guimard et le ballet français du XVIIIe siècle redécouverts. Contexte historique L’esprit galant du XVIIIe siècle et ses protagonistes reviennent à la mode dans la seconde moitié du XIXe siècle : les compositeurs se penchent sur la musique et le monde du XVIIIe siècle pour puiser leur inspiration, un intérêt qui se poursuit au XXe siècle et contribue au développement du courant néoclassique. Les références au siècle des Lumières sont très fréquentes, surtout dans l’opéra : Auber en 1856 et Massenet en 1884 s’inspirent du roman de l’abbé Prévost pour leurs versions lyriques de Manon Lescaut. Dumas fils crée en 1848 le touchant personnage de Marguerite dans La Dame aux camélias, qui inspirera à son tour Verdi pour Violetta dans La Traviata (1853).

Sur le plan musical, l’intérêt pour le XVIIIe siècle et le culte voué à Mozart et au classicisme viennois sont parfois révélateurs d’un désir de « refoulement du romantisme », par exemple chez Saint-Saëns. La dépopulation et les mères françaises. Contexte historique. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Les artistes sous l’Occupation : Joséphine Baker. Contexte historique Joséphine Baker à Paris en 1940 Chanteuse, danseuse et meneuse de revue, Joséphine Baker (1906-1975) connaît un immense succès en France dans les années 20 et 30.

Splendeurs et misères d’une courtisane : Émilienne d’Alençon. Histoire et analyse d'images et oeuvres. En 1863, Victorine Meurent, modèle préféré de Manet dans les années 1860, pose pour ce nu jugé à l’époque comme le plus scandaleux des nus féminins jamais peints. Si l’œuvre est acceptée au Salon de 1865, c’est que le jury craint l’organisation d’un nouveau « Salon des refusés », comme en 1863. Mais elle fut ridiculisée et injuriée avec une rare violence, ce qui affecta Manet, qui cherchait à s’inscrire dans la suite des maîtres du passé.Certains pourtant, comme Zola, surent déceler la modernité de cette œuvre offerte à l’Etat en 1890 grâce à une souscription publique organisée par Claude Monet. Cette œuvre a choqué par son sujet comme par son traitement. Le sujet s’inscrit pourtant dans la tradition du nu féminin cultivée par Titien, Vélasquez ou Goya, entre autres, ainsi que par des peintres académiques de l’époque de Manet.

<em>Rolla</em> ou le suicide pour une courtisane. Contexte historique. La traite des planches ou la prostitution au spectacle. Contexte historique. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Un regard trouble entre misogynie et fascination Le recours à l’allégorie pour dénoncer la prostitution est très fréquent au XIXe siècle. Ce tableau de Gustav Adolf Mossa, intitulé Elle et daté de 1905, prolonge le thème de l’araignée étudié par l’artiste dans les années 1903-1904 par lequel il révélait déjà une conception névrotique de la femme, sadique et dévorant ses proies.

Cora Pearl, célèbre courtisane du Second Empire. Contexte historique. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Les galeries du Palais-Royal, ancêtre des passages couverts. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Femmes et frissons de plaisir à la Belle Époque. Histoire et analyse d'images et oeuvres.

Madame Roland et l'engagement politique des femmes sous la Révolution. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Le don patriotique des femmes sous la Révolution. Les tricoteuses pendant la Révolution française. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Exotisme et érotisme à la Belle Époque : Mata-Hari au Musée Guimet. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Les artistes sous l’Occupation : Joséphine Baker. Rose Valland à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres.

Les victimes civiles de la guerre de 1914-1918. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Louise Weiss, féministe des années 1930. Histoire et analyse d'images et oeuvres. La marche du 5 juillet 1914 pour le droit de vote des femmes. Le vote des femmes en France : le « référendum » du 26 avril 1914. Les artistes femmes au début du XIXe siècle. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Loïe Fuller, incarnation du Symbolisme sur la scène. Louise Weiss, féministe des années 1930. Les tricoteuses pendant la Révolution française. La marche du 5 juillet 1914 pour le droit de vote des femmes. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres.

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Histoire et analyse d'images et oeuvres. Le vote des femmes en France : le « référendum » du 26 avril 1914. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Séverine, une figure de l'idéal socialiste. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Le vote des femmes en France : féminisme, pacifisme et antifascisme à l’heure du Front populaire. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Le vote des femmes en France : le « référendum » du 26 avril 1914. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres. Histoire et analyse d'images et oeuvres.