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Apprendre

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Qu’enseigner à l’école ? Qu’enseigner à l’école ? Ce qui doit l’être, ce qui ne doit pas l’être Le contenu des programmes ne cesse de faire l’objet de batailles idéologiques. Les uns voudraient que ceci soit enseigné, quand les autres ne le voudraient surtout pas. Remarquez à ce propos combien les positions sont souvent tranchées, comme si l’on avait d’autre alternative que le oui ou le non. En ce qui concerne l’enseignement du code à l’école, je ne saurais formuler un avis hyper tranché. Encore que je me sois souvent exprimé sur le sujet et souvent en défaveur de cet apprentissage. Comme on ne parviendra jamais à s’entendre vraiment sur le sujet (pensez à ceux qui ne veulent même pas que les enfants prononcent un mot d’Anglais à l’école primaire…), je propose un truc tout bête qui a déjà dû germer dans d’autres esprits auparavant mais dont je n’ai pas la connaissance.

Fais ce que voudras Et si une heure ou deux par semaine, on laissait la possibilité à l’enfant de faire ce qu’il veut ? Créer une culture de collaboration dans nos collèges: Est-ce possible. Le palmarès des lycées ou les comparaisons de performances entre les collèges français ont le mérite de nous apporter chaque année de riches enseignements. Malheureusement, lorsque ces études sont rendues publiques, l’attention est polarisée sur les établissements collectionnant les médailles ou sur ceux se battant pour éviter le bonnet d’âne.

Pourtant, ces classements nous indiquent aussi, par exemple, que deux établissements distants de quelques centaines de mètres, de populations comparables à la fois en termes de taille et de niveau socio-économique obtiennent parfois des résultats diamétralement opposés. C’est un constat d’autant plus surprenant que ces établissements sont censés faire face aux mêmes difficultés et devraient donc obtenir des performances assez proches. En France, cette démarche collaborative est rarement encouragée par le système.

Signaler ce contenu comme inapproprié. Fonctions, Missions, Activités, Tâches. Mercredi, 04 Mars 2009 16:40 Administrateur Fonctions C’est la raison d'être d’une situation de travail. Se confondant souvent avec le titre qui lui est attaché, elle situe le niveau de responsabilité et la place dans l’organisation. Missions Désignent les finalités d’un service ou d’une unité, ou une d’une situation de travail selon le niveau où l’on se place. Activités C’est l’ensemble d’actions et d’opérations dirigées vers la réalisation d’une mission. Tâches Elles correspondent aux opérations élémentaires à effectuer pour réaliser une activité donnée. Philippe CARRE, Cours d'Ingénierie Pédagogique, Université de Nanterre - Paris X - 2008.

Un prof motivant. Mes 14 outils indispensables pour apprendre efficacement. Dans le cadre professionnel, j’accompagne plusieurs enfants dans leurs apprentissages. J’avais envie de partager avec vous les 14 outils incontournables que j’utilise pour les aider à apprendre efficacement et à prendre plaisir dans leurs apprentissages.

Ce sont des méthode et des outils qui pourraient être enseignés à l’école pour apprendre, réviser et mémoriser plus facilement et avec plus de plaisir. 1. Le Mind Mapping Hélène Weber (auteur de l’ouvrage Objectif mémoire) définit une Mind Map® comme un outil d’organisation des informations qui favorise à la fois leur compréhension et leur mémorisation. Mind map des questions ouvertes. Le Mind Mapping est un outil qui facilite la compréhension à travers le : respect du fonctionnement naturel du cerveau (par associations d’idées),la mise en lien visuel des idées. Hélène Weber ajoute que l’élaboration d’une Mind Map® oblige le cerveau à trier, sélectionner, organiser, structurer et mettre en lien les informations d’un contenu. 2. 3. 4. 5. 6.

Évaluer sans décourager. Par Roch Chouinard Département de psychopédagogie et d'andragogie, Université de Montréal, Centre de recherche et d'intervention sur la réussite scolaire (CRIRES) Conférence donnée sur invitation dans le cadre des sessions de formation liées à la réforme en éducation, offertes aux personnes-ressources, Ministère de l'Éducation, Québec, les 18 et 19 mars 2002.

La majorité des enfants arrivent à l'école primaire avec l'intention d'apprendre. Si vous demandez à un enfant de cinq ans ce qu'il ira faire à l'école, il vous paraîtra surpris par la question et il vous répondra probablement quelque chose du genre « Je m'en vais apprendre à lire ». Bien sûr, les enfants de cet âge ont toutes sortes de craintes à l'endroit de l'école. Ils peuvent avoir peur de ne pas être aimé de leur enseignante, d'être « oublié au service de garde », de ne pas se faire d'amis ou de perdre des effets personnels... Figure 1 Ames, C. (1992). Bandura, A. (1986). Boileau, L. (1999). Brophy, J.E. et Good, T.L. (1970). Bien apprendre : 8 techniques pédagogiques incontournables. Il n’existe pas qu’une seule technique pédagogique… et heureusement !

C’est ce qui rend le métier de formateur si passionnant : on n’apprend pas à tout le monde de la même façon. Une fois qu’on a dit cela, reste une interrogation : quelle est la technique pédagogique la plus adaptée ? Notre équipe de Sydologues fait pour vous le point sur les méthodes les plus répandues. Et sur la meilleure façon d’en tirer profit ! De l’exercice au débat, comment favoriser l’apprentissage ? Au fil des années, la pédagogie a changé. Elle s’est adaptée aux mœurs, aux techniques, aux technologies, aux attentes des élèves et/ou du public. . – L’exercice Un classique de chez classique ! – La simulation Pour bien apprendre, le cerveau humain a besoin de se sentir impliqué.

. – L’expérimentation Le principe de l’expérimentation est vieux comme le monde : il suffit de suivre des consignes et d’analyser les résultats pour en tirer des conclusions. . – Le multimédia – L’exposé – L’étude de cas – Le conseil mutuel – Le débat. Bande dessinée exposant des astuces pour apprendre l'école. David Servan-Schreiber - Le cerveau emotionnel. Boostez votre mémoire en 15 leçons - Journal du Net Management. Mes 14 outils indispensables pour apprendre efficacement. Comment j’apprends.

Au moment où on entend parler de plus en plus des moocs et autres classes inversées, il est toujours intéressant de revenir à des fondamentaux ! Or dans notre domaine de spécialité, ce qui est fondamental c’est le sujet qui apprend (cf la vidéo de cloture du mooc itypa2 dans l’échange que j’ai eu avec Marcel Lebrun). Les méthodes d’enseignement sont-elles capables de transformer les formes de l’apprentissage des sujets ?

Les sujets doivent-ils s’adapter aux formes d’enseignement qui leur sont proposées ? La mesure des taux d’échecs ou d’abandon face aux différents systèmes, méthodes, types d’enseignement, nous renseigne au moins sur un point, bien connu depuis longtemps : il ne suffit pas d’enseigner pour que quelqu’un apprenne !!! Pour revenir aux fondamentaux, regardons simplement comment chacun de nous apprend. Mais le problème initial est que l’école a tout déformé ou formaté. La question qui se pose à chacun de nous est donc de comprendre comment on apprend soi même. Les grands principes de l'apprentissage (Stanislas Dehaene)

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation. Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens.

Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Focalisez l’attention de vos apprenants sur l’essentiel Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. 2. 3. C’est ici qu’entre en jeu notre cervelet. 4. 5. Source : J. Untitled. Méthode des six chapeaux. La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3].

Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4]. Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'ordre d'adoption des chapeaux varie en fonction du type de problème. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]).

Portail du management. Accueil - Mon Cerveau à l'école. Lucy : n'utilise-t-on que 10% de notre cerveau ? | Scilogs.fr :Mémoire & Cie. « On utilise en moyenne 10% de nos capacités cérébrales. Elle est à 100% ». Voilà l’annonce faite dans l’affiche de Lucy, le dernier film de Luc Besson. Certes il s’agit d’un film de Science-Fiction destiné à nous distraire car la belle Scarlett Johansson va bien au-delà des possibilités du cerveau humain, en voyant par télépathie à très longue distance et possédant des pouvoirs magnétiques qui nécessiteraient des aimants de plusieurs tonnes !!! Mais qu’en est-il de l’hypothèse si l’on s’en tient à un niveau réaliste… Jessica Forde © EUROPACORP - TF1 FILMS PRODUCTION - GRIVE PRODUCTIONS D’où vient l’opinion des « 10% » ? Déjà il y a une ambiguïté sur l’origine de cette opinion des « 10% du potentiel cérébral utilisé ».

Mais je ne pense pas que ce soit l’origine de l’opinion des « 10% » car j’en entendais parler déjà dans les années 1970 lorsque j’étais jeune chercheur et dans un autre contexte. L’hyper-spécialisation du cerveau Est-ce qu’on utilise tout le cerveau ? Quelques références. Socio-constructivisme. Ce mouvement pédagogique est à la base des principes du social learning. Mais de quoi s’agit il ? En réalité, il font suite aux travaux de Piaget, et démontrent que le processus d’assimilation/accommodation est en réalité assuré par une médiation sociale dans laquelle l’apprenant est co-auteur dans l’acquisition de la connaissance. Ainsi, l’environnement social, affectif, émotionnel joue un rôle primordial dans le développement cognitif de l’enfant et de l’adulte. Dans cette perspective, il est important de mettre en avant le fait que les acteurs de la construction et du développement intellectuel de l’individu sont bien évidemment les parents et les professeurs mais également les autres élèves de la classe.

Ainsi le processus d’apprentissage comporte plusieurs dimensions : la capacité cognitive de l’individu en terme de développement neuronal par exemple mais aussi la richesse des interactions sociales dont il pourra bénéficier. A consulter ici. Qu'est-ce que le connectivisme ? Les théories et les modèles de l'apprentissage se suivent et ne se ressemblent pas forcément; chacun présente une approche spécifique avec ses avantages et ses limites et on n'a pas toujours intérêt à adopter inconditionnellement l'une ou l'autre de ces approches. Le modèle transmissif où l'enseignant est le détenteur du savoir et s'évertue à le transmettre à un apprenant qui aspire à correspondre à un modèle a vu ses beaux jours décliner quoiqu'il soit encore appliqué dans des bastions réfractaires tels que certains espaces universitaires traditionnels (et les xMoocs).

Le béhaviorisme, avec le balisage de l'apprentissage du plus simple au plus complexe avec force renforcements, positifs et/ou négatifs, des informations fournies juste à temps à l'apprenant et les remédiations pertinentes qui récupèrent tout retardataire vivra encore de très beaux jours et amènera des réussites ponctuelles satisfaisantes. Toutes ces approches correspondent à des pratiques courantes dans l'apprentissage. Les 4 mécanismes psychologiques de l'apprentissage.

Exercices pratiques pour développer sa capacité de concentration. Un article écrit par Anne Jeger, psychologue clinicienne. Pourquoi développer la capacité de concentration? Pour faciliter le travail scolaire de son enfantPour maintenir performantes ses capacités de mémorisation, faire travailler sa mémoirePour développer ses capacités d’apprentissagePour ne pas oublier un rendez-vous, ses affaires, etc. Quelques exercices J’aime particulièrement la méthode Vittoz développée par Roger Vittoz , Médecin Lausannois qui propose 4 types d’exercice de concentration: sur le corpssur les sensationssur les graphismessur l’idée Avant de proposer des exercices de concentration à son enfant, il peut être utile de les essayer pour soi. => Les exercices proposés ci-dessous sont destinés aux enfants et aux adultes. 1. Avant de commencer les exercices de concentration proprement dits, des exercices de préparation du corps et de l’esprit peuvent être proposés. 2. 3.

L’esprit et le corps sont ainsi prêts pour des exercices de concentration. Visualiser pour mieux comprendre. Apprendre à apprendre. Neurosciences et apprentissage – Gestion de classes - interview de Sylvie Dubé, CEDEP Inc. Principe d’engagement actif, d’attention et de plaisir. Comment faciliter au maximum l’apprentissage? Les recherches en neurosciences ont identifié plusieurs facteurs qui modulent la vitesse de l’apprentissage et la durée de la mémoire : L’engagement actif de l’enfant Pour apprendre rapidement, l’enfant doit être sollicité, engagé, actif. L’apprentissage est le plus efficace lorsque l’enfant, sollicité par une question ou un exercice, essaie de générer de lui-même une réponse (à haute voix ou mentalement).

L’attention Faire attention à un aspect du monde extérieur amplifie massivement l’activation cérébrale qu’il évoque. Le plaisir L’apprentissage est facilité lorsque l’enfant est récompensé de ses efforts. Nos recommandations En résumé, l’enseignant doit proposer un environnement motivant, où l’enfant soit actif, trouve du plaisir à apprendre, se sente autorisé à faire des erreurs (mais soit rapidement corrigé), et toujours récompensé de ses efforts.