background preloader

Féminisme, grossophobie, validisme

Facebook Twitter

Histoires de femmes artistes, lutter pour créer – série de podcasts à écouter – France Culture. Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux.

Histoires de femmes artistes, lutter pour créer – série de podcasts à écouter – France Culture

Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Débat : « Lady Sapiens », un nouveau stéréotype des femmes préhistoriques? L’idée que la femme paléolithique aurait été rabaissée par des siècles de préjugés misogynes constitue de nos jours une source d’inspiration inépuisable.

Débat : « Lady Sapiens », un nouveau stéréotype des femmes préhistoriques?

La dernière œuvre dans cette veine, Lady Sapiens, qui réunit un jeu vidéo, un documentaire et un livre, bénéficie d’un large écho médiatique. À première vue, pour toute personne soucieuse de l’émancipation féminine et de la promotion de la connaissance scientifique, il n’y a là que des motifs de réjouissance. Pourtant, Lady Sapiens véhicule une image des femmes de la préhistoire entachée de nombreux biais, en restituant ce qui apparaît bien davantage comme un fantasme contemporain que l’état réel de la connaissance scientifique. La femme paléolithique est ainsi dépeinte sous les traits d’une working woman émancipée, choisissant ses partenaires, contrôlant sa fécondité, accédant peu ou prou aux mêmes activités que les hommes et exerçant une influence sociale sur un pied d’égalité avec eux.

Rapt des femmes et polygamie. La ville est-elle faite pour les femmes ? L’honnêteté masculine et l’amour romantique. Coral Herrera Gómez. Traduction : Elisende Coladan Ce blog « reprend vie » après un long silence.

L’honnêteté masculine et l’amour romantique. Coral Herrera Gómez

J’ai été prise par la préparation de ma présentation pendant la 2nd Non-Monogamies and Contemporary Intimacies Conference début septembre, puis par la rentrée, ensuite par le mouvement #metoo et enfin par ma participation au 2e Eixams, début décembre, dont je parlerai très bientôt. J’avais commencé à traduire cet article de Coral Herrera Gómez dès sa parution, puis il est resté bien au chaud quelque part dans le disque dur de mon ordinateur. Les vacances de fin d’année et une baisse de travail en début d’année me donnent, et me donneront, le temps de continuer mes traductions et publications. C’est le 3ème article de Coral que je traduis ici et le 5e que je traduis. Pourquoi les hommes patriarcaux mentent-ils ? Pourquoi un homme peut être quelqu’un de bien avec tout le monde, sauf avec sa femme ?

Ces mensonges sont intimement liés à la masculinité patriarcale. Possédées, dépossédées : les femmes et le patrimoine - Ép. 2/3 - Une économie de la propriété. Au moment de la Révolution française, le député Amar a cette phrase : « C'est pour n'avoir pas de roi pour la France qu'on en veut un dans chaque famille. » Le Code civil concrétise cette idée en 1804 en faisant un transfert d'autorité du roi sur ses sujets au mari sur l'épouse. - Claire-Lise Gaillard Au XIXe siècle, le Code civil empêche l’épouse de bénéficier de ses propriétés sans le consentement de son mari.

Possédées, dépossédées : les femmes et le patrimoine - Ép. 2/3 - Une économie de la propriété

La common law est à l'époque encore plus sévère : en Grande-Bretagne, la femme n’était que l’extension juridique de son mari, c’est-à-dire qu’elle perdait tout contrôle sur ses biens une fois mariée. Esclavafrofem. Gras Politique. En mathématiques, les filles restent des inconnues. Zéro.

En mathématiques, les filles restent des inconnues

Aucune fille n’a intégré le département de mathé­­ma­tiques de l’Ecole normale ­supérieure (ENS) de la rue d’Ulm (Paris) l’an dernier. Voilà, un problème réglé. Après la disparition, en 1985, de l’ENS jeunes filles de Sèvres la prédominance des «mâles» n’a cessé de se confirmer. Elles s’appellent Edwige, Lola, ­Sonia, Camille, elles ont réalisé un parcours sans faute, mais pas sans douleurs, pour s’imposer parmi les meilleurs élèves de la filière des mathématiques.

Elles ont intégré l’une des ENS ou l’Ecole polytechnique, et racontent les petites vexations et les grands préjugés, les révoltes et les victoires remportées contre le mécanisme qui voudrait qu’elles n’aient rien à faire dans le domaine des mathématiques, qu’elles soient appliquées ou fondamentales. Il y a d’abord Camille Démarre (2), une trajectoire rectiligne à «Stan», Stanislas un établissement privé situé dans le VIe arrondissement de Paris, du collège à la prépa. Egaux devant Pythagore «Travailler dur» Tips for living alone.